Introduction

Le Système National de Recherche Agricole (SNRA) du Bénin depuis une vingtaine d’années, a développé plusieurs technologies agricoles destinées à promouvoir l’agriculture dans les divers sous-secteurs que sont la production végétale, la production animale, la production halieutique au niveau des différents maillons des filières agricoles tels que la production, le stockage et la conservation, la transformation et la commercialisation. Les technologies développées concernent toutes les filières agricoles quelle que soit leur importance dans la sécurité alimentaire et nutritionnelle, l’économie familiale, l’exportation des produits agricoles et pour leurs apports à la constitution du Produit Intérieur Brut (PIB).

Pour élaborer ce recueil, les auteurs, sous l’impulsion du Ministère de l’Agriculture, de l’Elevage et de la Pêche (MAEP), ont d’abord recensé et compilé ces technologies qui ne sont pas toujours faciles d’accès aux différentes catégories d’utilisateurs. Ils ont ensuite intégré ces technologies dans une base de données dynamique, donc périodiquement mise à jour, d’où sont dégagées les plus prometteuses pour faire l’objet de recueil.

Le présent recueil vient à point nommé et pourra contribuer à la mise en œuvre de la nouvelle politique agricole du Gouvernement qui a pour ambition le développement des filières à hautes valeur ajoutée tels que l’anacarde, l’ananas et les produits maraîchers, des filières conventionnelles comme le riz, le maïs et le manioc et d’autres produits non moins importants à savoir la viande, le lait et les œufs de table. Les acteurs des différents pôles de développement des filières agricoles créés par le Gouvernement en seront les premiers utilisateurs.

La forte dynamique de la science, dans nos institutions de recherches agricoles, dans nos universités agricoles et dans d’autres structures non étatiques telles que les ONG, doit profiter à la fois à la viabilité de notre agriculture familiale qu’au développement de notre agriculture d’exportation. Cette dernière doit rester dans la dynamique de développement afin d’être compétitive sur le plan régional et international. Pour se faire, elle doit régulièrement intégrer les innovations agricoles.

Sachant qu’une agriculture sans innovation n’a plus sa place de nos jours dans la dynamique régionale et internationale, j’en appelle aux utilisateurs finaux que sont les agriculteurs individuels ou en groupement, les entreprises agricoles formalisées, les transformateurs individuels ou en groupement, les usines de transformation et les exportateurs à saisir cette opportunité pour développer leurs produits.

J’invite également les acteurs politiques, dont les élus locaux et les partenaires au développement, à exploiter ce recueil lors de leur appui à nos populations, surtout les plus vulnérables. En effet elles pourront bénéficier des technologies en les inscrivant dans les plans de développement local et dans les programmes et projets et en assurant leur transfert dans les exploitations agricoles à travers la formation des utilisateurs finaux et intermédiaires que sont les vulgarisateurs, les ONG.…

Enfin, j’adresse mes félicitations à toutes les personnes morales et physiques qui, à un titre ou à un autre, de près ou de loin, ont contribué au développement de ces technologies et à l’élaboration de ce recueil.


Dr Delphin Olorounto KOUDANDE, Ministre de l’Agriculture, de l’Elevage et de la Pêche

AfricaRice :

Centre du riz pour l'Afrique

APRA :

Appui au Programme Recherche Agricole

APNV :

Approche Participative Niveau Village

CaBEV :

Catalogue Béninois des espèces et variétés végétales

CIRAD :

Centre de Coopération Internationale en Recherche Agronomique pour le Développement

CORAF/WECARD :

Conseil Ouest et Centre Africain pour la Recherche et le Développement Agricoles

CRA :

Centres de Recherches Agricoles

CRA-A :

Centres de Recherches Agricoles Agonkanmey

CRA-Nord :

Centres de Recherches Agricoles Nord

CRA-PP :

Centres de Recherches Agricoles Plantes Pérennes

CSESS :

Conseil supérieur de l'Economie sociale et solidaire

DICAF :

Direction du Conseil Agricole et de la Formation Opérationnelle

ENSAGAP :

Ecole Nationale Supérieure d’Aménagement et de Gestion des Aires Protégées de Kandi

ENSTA :

Ecole Nationale des Sciences et Techniques Agronomiques de Djougou

ENSTA :

Ecole Nationale des Sciences et Techniques Agronomiques de Kétou

ENSTA :

Ecole Nationale des Sciences et Techniques Agronomiques de Kétou

EPAC :

Ecole Polytechnique d’Abomey-Calavi

FA :

Faculté d’Agronomie

FAO :

Fonds des Nations Unies pour l’Agriculture et l’Alimentation

FARA :

Forum pour la Recherche Agricole en Afrique

FAST :

Faculté des Sciences et Techniques

FSA :

Faculté des Sciences Agronomiques

IITA :

International Institute for Tropical Agriculture

ISRA :

Institut Sénégalais de Recherches Agricoles

INSAE :

Institut National de Statistique et de l'Analyse Economique du Bénin

GIZ :

Gesellschaftfür Internationale Zusammenarbeit

MAEP :

Ministère de l’Agriculture, de l’Elevage et de la Pêche

NERICA :

New Rice Cultivar for Africa

OCDE :

Oslo de l’Organisation de Coopération et de Développement Economique

ONG :

Organisation Non Gouvernemental

PAG :

Programme d’Action du Gouvernement

PIB :

Produit Intérieur Brut

PIP :

Programme d’Investissement Publique

PPAAO :

Projet de Productivité Agricole en Afrique de l’Ouest (PPAAO)

PRONAF :

Projet Niébé pour l’Afrique

PTAA :

Programme de Technologie Agricoles Alimentaires

REPAB :

Réseau des Producteurs d’Ananas du Bénin

RTE :

Référentiels Technico-Economiques

SNRA :

Système National de Recherche Agricole

SRPV :

Service des Relations Publiques et de Valorisation

UAC :

Université d’Abomey Calavi

UP :

Université de Parakou

Au Bénin, le secteur agricole constitue la principale source de création des richesses économiques. Plus de 60% des actifs masculins et 35,9% des actifs féminins réellement occupés exercent une profession agricole. Par ailleurs, la contribution du secteur agricole au Produit Intérieur Brut (PIB) a évolué de manière erratique au cours des six dernières années (2009-2014) avec une moyenne de 32,7%. Le rapport diagnostic du secteur agricole au Bénin montre que ledit secteur est dominé par de petites exploitations familiales paysannes, orientées vers la polyculture associée souvent au petit élevage (volailles, petits ruminants ou porcins). La plupart des exploitants agricoles ont très peu recours aux technologies améliorées et s’adonnent à des pratiques qui accentuent la dégradation des ressources naturelles. Aussi, le secteur agricole est-il exposé à la variabilité et aux changements climatiques.

Pour relever ces défis, une attention soutenue doit être accordée à la génération et à la diffusion d’innovations technologiques.

Afin de valoriser les acquis de recherche générés par le Système National de Recherche Agricole du Bénin, une première étude a été conduite en 2015 avec l’appui financier du « Forum pour la Recherche Agricole en Afrique (FARA) ». En 2015, cette étude a été complétée et a permis de faire l’inventaire et la caractérisation des technologies agricoles générées et prometteuses. Elle a permis de recenser les technologies développées ces vingt dernières années et celles prometteuses et transférables à la vulgarisation ont été identifiées et caractérisées.

Les technologies développées sont de diverses natures se rapportant aux centres d’intérêts ci-après : itinéraire technique, intrant, équipement, nouvelle variété végétale, nouvelle race. Les connaissances répertoriées sont en majorité les résultats d’études réalisées pour le diagnostic du secteur ou de la filière concernée. Elles servent à la prise de décision ou débouchent sur le développement de technologies.

Les connaissances et les technologies développées et recensées au niveau du Système National de Recherche Agricole (SNRA) révèlent un total de 609 innovations technologiques générées de 1996 à 2015 dont 445 technologies (73,1%) et 164 connaissances (26,9 %). Cette liste n’est pas exhaustive.

Au total, 208 innovations technologiques ont été jugées prometteuses dans les trois sous-secteurs. La production végétale demeure le sous-secteur le plus couvert (80 %), suivi de la production animale (14 %) et de la production halieutique (6 %). Dix-sept (17) filières ont été touchées par ces technologies prometteuses auxquelles s’ajoutent les essences forestières (tamarin et baobab). Les filières cultures maraichères, maïs, riz et viande et lait se montrent dominantes en termes de technologies prometteuses. Les filières phares contenues dans le Programme d’Action du Gouvernement (PAG) « Bénin Révélé », sont prises en compte par 128 innovations technologiques prometteuses. Le présent recueil des technologies prometteuses, se veut de mettre en lecture facile celles qui sont les plus pertinentes pour les utilisateurs finaux.

Outre la définition de quelques concepts et la présentation de la méthodologie adoptée, le présent recueil aborde successivement les technologies sur les filières à haute valeur ajoutée (anacarde, ananas et les produits maraîchers), les filières traditionnelles (riz, maïs et manioc), les produits animaux et halieutiques, puis à la fin quelques filières non moins importantes.

Quelques définitions des concepts utilisés dans le document

Innovation

L’innovation est l’un des principaux moyens pour acquérir un avantage compétitif en répondant aux besoins du marché ou des utilisateurs. Innover, c’est créer de nouveaux produits, développer des technologies ou produits nouveaux. Adopter les innovations permet d’optimiser son système de production.

Le Manuel d'Oslo de l’Organisation de Coopération et de Développement Economique (OCDE) propose la définition suivante : une innovation est la mise en œuvre (implémentation) d’un produit (bien ou service) ou d’un procédé (de production) nouveau ou sensiblement amélioré, d’une nouvelle méthode de commercialisation ou d’une nouvelle méthode organisationnelle dans les pratiques d’une entreprise, l’organisation du lieu de travail ou les relations extérieures.

L’innovation comporte trois piliers :

  • la créativité (création de nouveautés relatives) ;
  • la valeur (valeur d'estime, valeur d'usage et valeur d'échange) ;
  • la socialisation (maîtrise de la conduite du changement).

Pour les économistes classiques, l'innovation est l'un des moyens d'acquérir un avantage compétitif en répondant aux besoins du marché et à la stratégie d'entreprise. L'innovation est un phénomène polymorphe et complexe qui se manifeste au travers de produits, de composants, de services, de procédés, de pratiques sociales, de logiciels, de technologie, de business model.

Les innovations regroupent les technologies et les connaissances développées. Toute innovation s’appuie sur les connaissances disponibles. Le caractère cumulatif des connaissances a des implications de première importance pour la dynamique des économies. Il implique en effet, qu’une économie pourra innover d’autant plus qu’elle disposera déjà d’un stock important de connaissances.

Innovation technologique

Selon l’OCDE (1997), on entend par innovation technologique de produit, la mise au point/commercialisation d'un produit plus performant dans le but de fournir au consommateur des services objectivement nouveaux ou améliorés. Par innovation technologique de procédé, on entend la mise au point/adoption de méthodes de production ou de distribution nouvelles ou notablement améliorées. Elle peut faire intervenir des changements affectant séparément ou simultanément - les matériels, les ressources humaines ou les méthodes de travail.

Technologie agricole

C’est une méthode, une technique nouvelle ou améliorée, un procédé de mise en œuvre dans le domaine de la production agricole, animale, la transformation des aliments, la gestion et l’exploitation des entreprises agricoles pour l’amélioration de la productivité agricole. En d’autres termes, une technologie agricole est un système de techniques intégrées, non spéculatives, mais reposant sur des connaissances expérimentales, pouvant impulser un gain en productivité au niveau d’un ou de plusieurs maillons d’une chaîne de valeur d’une filière agricole.

Innovation sociale

Nous retenons la définition donnée par le Conseil supérieur de l'Economie sociale et solidaire (CSESS) : « l'innovation sociale consiste à élaborer des réponses nouvelles à des besoins sociaux nouveaux ou mal satisfaits dans les conditions actuelles du marché et des politiques sociales, en impliquant la participation et la coopération des acteurs concernés, notamment des utilisateurs et usagers. Ces innovations concernent aussi bien le produit ou service, que le mode d'organisation, de distribution, de commercialisation dans des domaines comme la production végétale, la production animale, l’aquaculture, etc. ». Elle est appréhendée dans le document sous l’appellation de connaissances développées au cours de ces 20 dernières années dans les différents sous-secteurs ci-dessus cités.

Coût d’investissement initial

L’estimation des coûts d’investissements liés à une technologie développée constitue un élément-clé de son adoption. La fiabilité de cette estimation suppose notamment de s’assurer de la complétude des éléments de coûts retenus. Le coût d’investissement initial lié à une technologie agricole est l’ensemble des coûts que l’utilisateur engage dans l’acquisition de cette technologie. C’est l'investissement initial permettant la mise en service ou l’utilisation de la technologie.

Coût d’utilisation

Les coûts d’utilisation liée à une technologie sont les coûts générés tout au long du cycle de vie de la technologie. En fait, lorsqu’il s’agit d’un ouvrage, d’un équipement ou d’un matériel, des frais d’utilisation viendront s’ajouter au coût d’investissement initial pendant leur durée de vie : entretien, consommables, pièces de rechange, consommation d’énergie, traitement des déchets, formation, etc.

La méthodologie utilisée comporte 3 étapes

Etape 1 : Revue documentaire et élaboration des outils de collecte de données

Les données à collecter dans le cadre de cette étude sont de deux sources : des données secondaires et des données primaires. Les données secondaires sont collectées à partir de la documentation existante notamment à partir des travaux de CARA/PADSA2 en 2006, des travaux du PPAAO sur le riz, l’ananas, l’anacarde et les produits aquacoles et ceux du CNS/Maïs sur le maïs en 2013, de la base de données et des rapports issus des travaux de FARA en 2015, et de la documentation au niveau du SRPV sur les fiches techniques et les RTE.

Les outils de collecte de données utilisés lors de la phase de terrain regroupent les fiches de renseignement sur les technologies et connaissances générées. Ces outils sont élaborés lors de la phase préparatoire. A cela s’ajoute une correspondance adressée aux 06 Centres de Recherches Agricoles (CRA) de l’INRAB et 08 correspondances adressées aux Facultés et Ecoles d’Agriculture des Universités du Bénin. Les fiches de renseignement sont jointes aux correspondances et envoyées aux différentes structures afin qu’elles les renseignent.

Etape 2 : Collecte des données sur les innovations technologiques et connaissances disponibles

La collecte des données primaires est réalisée en étroite collaboration avec les chercheurs et enseignants-chercheurs des différentes structures. Les responsables de chaque structure a mis à la disposition de l’INRAB des chercheurs et enseignants-chercheurs avertis pour les tâches suivantes : (i) collecter, compléter et centraliser les données dans la structure de recherche concernée selon un canevas joint ; (ii) approuver (i.e. s’il s’agit réellement d’une technologie) et compléter les technologies et les données manquantes dans le répertoire mis à la disposition de la structure; (iii) dégager toutes les technologies prometteuses/performantes ; (iv) centraliser toutes les fiches techniques des technologies développées, les documents techniques d’informations, les posters, les études réalisées et toutes les innovations institutionnelles (tous ces documents sont présentés autant que possible  en version électronique). Les chercheurs désignés ont eu au maximum deux semaines pour faire le travail. Ensuite, deux (02) équipes de la Direction Scientifique de l’INRAB se sont rendues sur le terrain pour récupérer toutes les données et collecter au besoin des informations complémentaires. Ces équipes ont été renforcées par une équipe de supervision de deux (02) personnes. Les fiches de collecte de renseignement et les questionnaires semi-structurés ont permis de collecter les données en entretien individuel avec les chercheurs.

Cette collecte des données primaires est faite sur toute l’étendue du territoire national et est principalement réalisée au niveau des Centres de Recherches Agricoles de l’INRAB, des Facultés et Ecoles d’Agriculture du Bénin. Il s’agit en particulier des Centres de Recherches Agricoles Nord, Centre, Sud, Agonkanmey, Coton et Fibres, Plantes Pérennes, des Facultés et Ecoles d’agriculture telles que : Faculté des Sciences Agronomiques (FSA), Faculté des Sciences et Techniques (FAST)  et l’Ecole Polytechnique d’Abomey-Calavi (EPAC), Faculté d’Agronomie de l’Université de Parakou (FA/UP), Ecole Nationale des Sciences et Techniques Agronomiques de Djougou (ENSTA), Ecole Nationale Supérieure d’Aménagement et de Gestion des Aires Protégées de Kandi (ENSAGAP), Ecole Nationale des Sciences et Techniques Agronomiques de Kétou (ENSTA) et Faculté des Sciences et Techniques de Dassa-Zoumê. Trois semaines après l’envoi des correspondances aux structures de recherche, une mission composée de deux équipes de deux personnes chacune est organisée du 17 au 26 novembre 2015 pour appuyer au remplissage des fiches, collecter les fiches remplies et faire l’inventaire des technologies développées par le Système National de Recherche Agricole (SNRA) du Bénin de 1996 à 2015.

L’approche méthodologique adoptée par les équipes se résume en deux points :

  1. Explications du remplissage des fiches de collecte de données

Au cours de la première étape, les membres de chaque équipe ont rencontré chacun des responsables chargés du recensement des technologies et connaissances au niveau des 06 CRA et des Facultés et Centres Universitaires d’Agriculture du Bénin ainsi que des personnes ressources. Ces rencontres ont permis aux équipes d’expliquer comment remplir les différentes colonnes du fichier Excel qui leur a été remis séance tenante en remplacement du fichier Word préalablement envoyé. L’accent a été mis sur ce que c’est qu’une technologie et une connaissance. Au terme de ces explications, des questions d’éclaircissement ont été posées et les membres des équipes ont apporté des explications. Collecte des fiches des données sur les innovations technologiques et connaissances disponibles et leur exploitation

Le deuxième point a été consacré à la collecte des fichiers, à la lecture et à la reformulation de certaines technologies et connaissances avec les différents points focaux des structures concernées. Si nécessaire, une description de la technologie est refaite avec les chercheurs concernés.

Etape 3 : Rédaction des livrables

Cette troisième étape fut composée deux (02) phases :

  • le traitement, l’analyse des documents et des informations reçus, la rédaction du recueil des innovations technologiques et des connaissances générées ces 20 dernières années et le rapport de mission par chaque équipe ;
  • la consolidation des livrables générés par chaque équipe sous forme de synthèse et l’élaboration de la base de données dynamique par l’informaticien de l’INRAB.

Données collectées

Les données collectées sont relatives à :

  • l’innovation : nom, description, domaine, filière, stade, niveau de développement, année de génération, première année et période de vulgarisation, la zone agroécologique appropriée, l’échelle spatiale de vulgarisation et ou d’adoption/utilisation ;
  • acteurs : type et rôle des structures ayant mis au point l’innovation, type et nombre de bénéficiaires ;
  • l’impact de l’innovation : rendement généré, prise en compte du genre, effets positifs et ou négatifs ; 
  • l’adoption de l’innovation : main d’œuvre nécessaire, coût de l’investissement, coût d’utilisation, facteurs favorables, facteurs défavorables,  contraintes, avantages, etc.

Mini-atelier de validation des résultats de l’étude

A la suite de l’analyse des données recueillies et de la production des livrables, un mini-atelier a été organisé auquel ont pris part les chercheurs de l’INRAB et les enseignant-chercheurs des Facultés et des Centres Universitaires d’Agriculture. Il a permis de valider les résultats de l’étude sur l’inventaire des technologies et des connaissances de la période de 1996-2015.

Technologies

La production de porte-greffe et l'opération de greffage peuvent être réalisées au cours de la même campagne et permettre au plant greffé d'être transplanté. En moyenne trois mois sont nécessaires pour la production de plants greffés aptes à être transplantés. Les greffons sont prélevés sur les arbres élites identifiés et marqués par l'INRAB à travers plusieurs villages. Le porte greffe est un jeune plant issu de graine saine et bien formée pré-germée en pépinière. Le greffage se fait en fente terminale du porte-greffe sur les jeunes plants âgés de moins d’un mois en pépinière. Ensuite, les jeunes plants greffés sont plantés au champ à des écartements de 10 m x 10 m.






Perspectives :

  • Formation d’un nombre important de semenciers (producteurs de plants greffés)
  • Subventionner les producteurs de plants greffés et les planteurs d’anacardiers qui veulent s’investir dans la plantation des plants greffés.
Structure de mise au point et adresse : CRA-Centre/INRAB, Savè
Auteurs : Kouami NDJOLOSSE
Année de génération : 2013
Sources de financement : ProCAD/PPAAO et iCA
Zone d’application de la technologie : Collines, Borgou, Donga, Zou, Atacora, Alibori, Plateau nord et Couffo nord
Bénéficiaires : pépiniériste (semenciers), planteurs
Avantages potentiels de l’adoption : amélioration des rendements et de la qualité des noix ; amélioration des revenus des planteurs
Contraintes potentielles à l’adoption : insuffisance de semenciers (producteurs de plants greffés d’anacardiers) ; difficulté liée à la réalisation des trous de plantation
Rendement de la technologie : 0,8 à 1 t/ha à partir de la quatrième année
Rentabilité : Bénéfice moyen annuel 228 515 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 125000 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 500 FCFA/plants greffé
Main d’œuvre nécessaire : 65 HJ/ha

Techniques de réhabilitation des anciennes plantations d’anacardiers pour l'amélioration de la production. C’est un complexe de techniques comprenant l’éclaircissement (élimination de arbres improductifs) des plantations touffues, l’élagage des branches touffues, le surgreffage des rejets des souches des arbres improductifs, l’association culturale avec les légumineuses tels que le soja, l’arachide, le voandzou, le pois de terre (dohiwé), après l’éclaircissement et l’élagage, pour contrôler les mauvaises herbes. Eviter le niébé, le pois d’angole et les céréales dans ces associations.






Perspectives :

Appui massif aux planteurs d’anacardier pour réhabiliter les anciennes plantations

Structure de mise au point et adresse : CRA-Centre/INRAB, Savè
Auteurs : Kouami NDJOLOSSE
Année de génération : 2013
Sources de financement : ProCAD/PPAAO et iCA
Zone d’application de la technologie : Collines, Borgou, Donga, Zou, Atacora, Alibori, Plateau nord et Couffo nord.
Bénéficiaires : Producteurs d’anacardiers
Avantages potentiels de l’adoption : bon rendement, économie de temps et d’intrants
Contraintes potentielles à l’adoption : ........
Rendement de la technologie : 525 kg/ha
Rentabilité : Bénéfice moyen de 228 515 FCFA/ha par an contre 53 600 FCFA
Coût estimatif de l’investissement initial : 75.385 FCFA/ha par an
Coût d’utilisation : 35000 FCFA/ha pour les éclaircies
Main d’œuvre nécessaire : 15,12 HJ/ha

Le jus est obtenu à partir de la pomme cajou fraîche lavée, découpée, pressée. Ce jus est clarifié soit avec l'amidon de manioc (6 à 8 heures de temps) soit au gruau de riz (20 à 30 minutes) puis pasteurisé. La technique de pressage (presse hydraulique) a été améliorée pour augmenter le rendement en jus. Jus de pommes cajou très nourrissant et propre à la consommation






Perspectives :

-Appuyer la vulgarisation de la technologie afin d’éviter les pertes énormes de pomme cajou observées au niveau de toutes les plantations villageoises.

-Promouvoir la presse

-Réaliser l’analyse socio-économique et élaborer le Référentiel Technico-économique

Structure de mise au point et adresse : CRA-A/INRAB, Porto-Novo
Auteurs : Wilfrid PADONOU
Année de génération : 2013
Sources de financement : ProCAD/PPAAO
Zone d’application de la technologie : Zou, Collines, Borgou, Donga, Atacora et Alibori
Bénéficiaires : transformateurs et producteurs
Avantages potentiels de l’adoption : Amélioration du revenu des transformateurs et de la qualité nutritionnelle pour les consommateurs
Contraintes potentielles à l’adoption : Manque d'information ou de sensibilisation
Rendement de la technologie : 70% de jus de fruit
Rentabilité : .....
Coût estimatif de l’investissement initial : ...
Coût d’utilisation : ...
Main d’œuvre nécessaire : ...

Un équipement composé de deux parties. La première partie est un moule dans lequel est insérée la noix cajou et la seconde partie est une lame munie d'un manche permettant de fendre la coque de la noix immobilisée par le moule.






Perspectives :

-Former les artisans locaux ou nationaux pour la reproduction facile de cet équipement

-Appuyer les artisans dans l’acquisition de la matière première à coût subventionné.

-Réaliser l’analyse socio-économique et le Référentiel Technico-Economique

Structure de mise au point et adresse : PTAA/INRAB, Porto-Novo
Auteurs : Roger AHOUANSOU
Année de génération : 2013
Sources de financement : ProCAD/PPAAO
Zone d’application de la technologie : Collines, Borgou, Donga, Zou, Atacora, Alibori, Plateau nord et Couffo nord
Bénéficiaires : transformateurs et commerçants de noix de cajou
Avantages potentiels de l’adoption : Facilité de concassage des noix de cajou
Contraintes potentielles à l’adoption : Manque d'information ou de sensibilisation
Rendement de la technologie : 50 kg/j
Rentabilité : moins de 1% de taux de brisure
Coût estimatif de l’investissement initial : ....
Coût d’utilisation : 75 à 100 kg de noix brutes par jour de travail
Main d’œuvre nécessaire : 1 HJ

Dispositif de pré-cuisson composé d’une marmite de base et d’une marmite passoire permettant le décorticage et le dépellicullage des noix et des amandes de cajou par leur exposition à la vapeur à 95°C pendant 4 minutes. La capacité de la marmite de base est de 10 litres environ et fonctionne comme une couscoussière.






Perspectives :

-Former les artisans locaux ou nationaux pour la reproduction facile de cet équipement

-Appuyer les artisans dans l’acquisition de la matière première à coût subventionné

Structure de mise au point et adresse : PTAA/INRAB, Porto-Novo
Auteurs : Roger AHOUANSOU
Année de génération : 2013
Sources de financement : ProCAD/PPAAO
Zone d’application de la technologie : Collines, Borgou, Donga, Zou, Atacora, Alibori, Plateau nord et Couffo nord
Bénéficiaires : transformateurs et commerçants
Avantages potentiels de l’adoption : facilité de dépelliculage des amandes
Contraintes potentielles à l’adoption : Manque d'information ou de sensibilisation
Rendement de la technologie : Capacité de cuisson de noix d’anacarde : 250kg à 300kg/J
Rentabilité : ...
Coût estimatif de l’investissement initial : ...
Coût d’utilisation : ...
Main d’œuvre nécessaire : 1 HJ

Une description de l'itinéraire technique d'une production suivant les normes du commerce équitable de l'ananas a été faite. Les différentes quantités de fumure organique et de produit de traitement ont été déterminées.






Perspectives :

-Rendre disponible les fiches techniques et le Référentiel Technico-économique

-Vulgariser à grande échelle la technique de production biologique

Structure de mise au point et adresse : CRA-PP/INRAB, OBEPAB, HELVETAS
Auteurs : Christophe TOSSOU
Année de génération : 2009
Sources de financement : ...
Zone d’application de la technologie : Atlantique, Ouémé, Plateau, Couffo et Mono
Bénéficiaires : producteurs d’ananas biologique
Avantages potentiels de l’adoption : satisfaction de la demande élevée d’ananas biologique en Europe
Contraintes potentielles à l’adoption : très peu de formation au profit des producteurs
Rendement de la technologie : 50 t/ha
Rentabilité : 1 806 000 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 2 694 000 FCFA/ha
Coût d’utilisation : ...
Main d’œuvre nécessaire : 304 HJ/ha

Après la préparation du sol, il recouvert de film polyéthylène suivi de la plantation des rejets d’ananas. Il empêche l’apparition des mauvaises herbes et favorise le stockage de l'eau dans le sol (réduit l’évaporation) au profit de la plante.






Perspectives :

-Rendre disponible les fiches techniques et le Référentiel Technico-économiques

-Vulgariser à grande échelle la technique d’utilisation de films polyéthylènes

-Rendre accessible aux producteurs les films polyéthylènes

Structure de mise au point et adresse : REPAB IRA et CRA-PP/INRAB
Auteurs : Marcellin C. ALLAGBE
Année de génération : 2010
Sources de financement : ProCAD/PPAAO
Zone d’application de la technologie : Atlantique, Ouémé, Plateau, Couffo et Mono
Bénéficiaires : producteurs d’ananas
Avantages potentiels de l’adoption : suppression de l’enherbement des champs, bon développement des plants et amélioration de la production
Contraintes potentielles à l’adoption : non disponibilité du film polyéthylène sur le marché béninois
Rendement de la technologie : 70 t/ha
Rentabilité : 4650 800 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 2986 200 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 800 000 CFA/Rouleau soit 2 800 000 FCFA/ha pour l’achat de film polyéthylène
Main d’œuvre nécessaire : 203 HJ

Plusieurs opérations culturales sont appliquées après la récolte de l’ananas pour avoir 9 à 10 rejets par souche. Il s’agit de : -le désherbage qui consiste à enlever les adventices après la récoltes des fruits pour maintenir le champ dans un état de propreté et d’aération optimale ;- le rabattage qui consiste à réduire la taille des feuilles 2 à 4 semaines après la récolte des fruits en temps humide afin de stimuler l’apparition des rejets et faciliter leur récolte ; - l’apport de l’urée qui consiste à apporter une capsule de bière d’urée à l’aisselle des feuilles de base tous les trois mois à partir du rabattage pour favoriser l’émission et le développement des rejets ; - le traitement phytosanitaire consistant à traiter les plants avec un mélange d’insecticide et de fongicide, 3 semaines après le rabattage pour protéger les plants contre les nuisibles ; -la récolte et la mise en pépinière des rejets de 100 à 150 g sur des planches de 12 m x 1 m avec des écartements de 15 cm x 15 cm suivi d’arrosages réguliers de d’apport d’engrais pour avoir un nombre plus important de rejets ; - la récolte des rejets de bonne qualité, ayant 350 à 400 g.






Perspectives :

-Spécialiser et former des producteurs de rejets sains d’ananas surtout des variétés Cayenne lisse et MD2

-Réaliser les études socio-économiques et élaborer le Référentiel Technico-Economique

Structure de mise au point et adresse : CRA-PP/INRAB, DICAF/MAEP
Auteurs : Christophe TOSSOU
Année de génération : 2014
Sources de financement : ProCAD/PPAAO
Zone d’application de la technologie : Départements de l’Atlantique, du Plateau, de l’Ouémé et du Couffo
Bénéficiaires : semenciers et producteurs d’ananas
Avantages potentiels de l’adoption : disponibilité des semences de qualité pour accroître les superficies et les rendements de l’ananas
Contraintes potentielles à l’adoption : pas de producteurs spécialisés dans la production et la distribution de rejets d’ananas
Rendement de la technologie : 9 à 10 rejets de qualité par souche d’ananas
Rentabilité : ....
Coût estimatif de l’investissement initial : ...
Coût d’utilisation : ...
Main d’œuvre nécessaire : ...

Cette technique qui permet d’obtenir rapidement des rejets (semences) d’ananas consiste à faire successivement les opérations suivantes : - le choix et la délimitation de la parcelle (sol profond, bien drainé et sablo-limoneux) ; - une bonne préparation du sol (nettoyage et labour, planage) ; - le calibrage séparation des rejets en lot de même poids ; - le parage (enlever les feuilles sèches de la base) - le traitement aux fongicide-insecticide des rejets-mères ; - la plantation aussitôt après le traitement phytosanitaire des rejets traités aux écartements de 0,3 m x 0,8 m à la profondeur de 0,05 à 0,10 m ; - l’entretien tous les mois ; - l’apport d’engrais : 1 capsule d’urée par rejet juste après la plantation suivi tous les 2 ou 3 mois d’un mélange de KCl et d’urée ou, à défaut du le NPK seulement ; - la destruction du méristème terminal 3 à 7 mois après la plantation (le plant doit être capable de porter des fruits) en enfonçant et tournant la gouge dans le cœur de la plante afin d’exciter l’émission d’autres rejets autres de la couronne ; - la récolte des rejets de 100 à 150 g chaque mois après la destruction du méristème terminal ; - la mise en pépinière des rejets récoltés pour






Perspectives :

Produire et multiplier les fiches techniques et le Référentiel Technico-Economique

Elaborer le règlement spécifique de production, de contrôle de la qualité et de certification et de commercialisation des rejets (semences) d’ananas

Spécialiser et former des producteurs de rejets sains d’ananas surtout des variétés Cayenne lisse et MD2

Structure de mise au point et adresse : CRA-PP/INRAB, DICAF/MAEP, Cotonou
Auteurs : Christophe TOSSOU
Année de génération : 2014
Sources de financement : ProCAD/PPAAO
Zone d’application de la technologie : Atlantique, Plateau, Ouémé et Couffo
Bénéficiaires : Semenciers et producteurs d’ananas
Avantages potentiels de l’adoption : disponibilité des semences de qualité pour accroître les superficies et les rendements de l’ananas
Contraintes potentielles à l’adoption : pas de producteurs spécialisés dans la production et la distribution de rejets sains d’ananas
Rendement de la technologie : 4 à 6 rejets au moins par plant sur une période de 8 à 12 mois.
Rentabilité : ...
Coût estimatif de l’investissement initial : ...
Coût d’utilisation : ...
Main d’œuvre nécessaire : ...

Les opérations sont identiques à celles précédemment décrites jusqu’à l’apport de fumure. Puis suivent : - la préparation de la solution d’hormonage contenant 500 g de carbure + le calcium dans 200 l d’eau, 2 heures de temps avant l’hormonage ; - l’hormonage qui consiste à appliquer une boîte de tomate (70 ml) de la solution dans le cœur de la plante par temps frais (fin de journée) 3 à 7 mois après la plantation et répéter 2 semaines plus tard pour induire l’émission des fleurs ; - la destruction de la fleur après le TIF 2 à 3 semaines après le TIF qui consiste à enfoncer et tourner la gouge dans le cœur de la plante pour exciter l’émission des rejets autre que la couronne ; - la récolte des rejets de 100 à 150 g chaque mois après la destruction du méristème terminal afin d’avoir des rejets qui peuvent croître rapidement ; - la mise en pépinière des rejets récoltés (apport de terreau, arrosage régulier) pour avoir des rejets directement transplantables

 

 

 






Perspectives :

Produire et multiplier les fiches techniques et le Référentiel Technico-Economique

Elaborer le règlement spécifique de production, de contrôle de la qualité, de certification et de commercialisation des rejets (semences) d’ananas

Spécialiser et former des producteurs de rejets sains d’ananas surtout des variétés Cayenne lisse et MD2

Structure de mise au point et adresse : CRA-PP/INRAB, DICAF/MAEP, Cotonou
Auteurs : Christophe TOSSOU
Année de génération : 2014
Sources de financement : ProCAD/PPAAO
Zone d’application de la technologie : Départements de l’Atlantique, du Plateau, de l’Ouémé et du Couffo
Bénéficiaires : semenciers et producteurs d’ananas
Avantages potentiels de l’adoption : disponibilité des semences de qualité pour accroître les superficies et les rendements de l’ananas
Contraintes potentielles à l’adoption : pas de producteurs spécialisés dans la production et la distribution de rejets d’ananas
Rendement de la technologie : 4 à 6 rejets au moins par plant sur une période de 8 à 12 mois
Rentabilité : ...
Coût estimatif de l’investissement initial : ...
Coût d’utilisation : ...
Main d’œuvre nécessaire : ...

Les mêmes opérations sont réalisées comme dans le cas précédent jusqu’à l’hormonage, puis suivent : - la castration qui consiste à sectionner au tiers supérieur (rabattage ou coupe des fleurs et feuilles au tiers) la fleur 45 jours après le TIF pour exciter l’émission des rejets (hapas, cayeux aériens) ; - la récolte des rejets de 100 à 150 g (sevrage) chaque mois après la destruction du méristème terminal pour avoir des rejets pouvant croître rapidement ; - la mise en pépinière des rejets récoltés pour avoir des rejets directement transplantables.






Perspectives :

-Production de fiches techniques

-Elaborer le règlement spécifique de production, de contrôle de la qualité, de certification et de commercialisation des rejets (semences) d’ananas

-Spécialiser et former des producteurs de rejets sains d’ananas surtout des variétés Cayenne lisse et MD2

Structure de mise au point et adresse : CRA-PP/INRAB, DICAF/MAEP, Cotonou
Auteurs : Christophe TOSSOU
Année de génération : 2014
Sources de financement : ProCAD/PPAAO
Zone d’application de la technologie : Départements de l’Atlantique, du Plateau, de l’Ouémé et du Couffo
Bénéficiaires : semenciers et producteurs d’ananas
Avantages potentiels de l’adoption : disponibilité des semences de qualité pour accroître les superficies et les rendements de l’ananas
Contraintes potentielles à l’adoption : pas de producteurs spécialisés dans la production et la distribution de rejets d’ananas
Rendement de la technologie : 9 à 10 rejets de qualité par souche d’ananas
Rentabilité : ...
Coût estimatif de l’investissement initial : ...
Coût d’utilisation : ...
Main d’œuvre nécessaire : ...

Fruit côtelé de petite taille, couleur rouge à maturité, poids moyen : 24 g ; durée du cycle : 3 mois et demi. Besoin en semences pour 1 ha : 300 à 500 g. Très apprécié en moyo. Peu adaptée à la transformation industrielle. Période de production : juin à décembre sur plateau et novembre à mars dans les vallées surtout dans la région nord. Densité de plantation : 25 000 pieds à l'hectare. Ecartements : 80 cm entre lignes et 50 cm sur la ligne ; très sensible au Sclerotium et au flétrissement






Perspectives :

Seule la recherche assure actuellement la multiplication des semences ; il faudra faire rentrer la tomate dans la chaine nationale de production des semences certifiées pour une grande accessibilité des producteurs aux semences certifiées

Elaborer le règlement spécifique pour la production, le contrôle de la qualité et la certification et la commercialisation des semences de tomate

Structure de mise au point et adresse : CRA-PP/INRAB
Auteurs : Françoise ASSOGBA KOMLAN
Année de génération : 2006
Sources de financement : AVRDC, DANIDA
Zone d’application de la technologie : les zones de plateau de juin à décembre les vallées du nord de novembre à mars
Bénéficiaires : producteurs, commerçants, restaurateurs et consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : bonne qualité des semences, pureté variétale, rendement plus élevé
Contraintes potentielles à l’adoption : non disponibilité des semences à tout moment faute d'un schéma de production continue
Rendement de la technologie : 35 à 45 t/ha
Rentabilité : o Saison des pluies : 15180 – 95180 FCFA/400 m² o Saison sèche : 109820 – 229820 FCFA / 400 m
Coût estimatif de l’investissement initial : 1.625.000 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 250 F / g de semence
Main d’œuvre nécessaire : 128 HJ/400m²

Fruits ovoïdes de couleur rouge à maturité ; poids moyen 40 à 50 g ; très précoce : 60 à 65 jours ; tolérante à la virose (Tomato Yellow Curl Viruse = TYLC) ; sensible au fusarium et au flétrissement bactérien. Période de production : de juin à nombre/décembre dans le sud du Bénin et de juin à février dans le nord du Bénin ; rendement : 20 à 25 t/ha dans le sud du Bénin et 35 à 40 t/ha dans le nord du Bénin ; teneur en matière sèche soluble se situant entre 3 et 3,5 °Brix ; besoin en semences pour 1 ha : 300 à 500 g. Densité : 25 000 pieds à l’hectare ; écartement : 80 cm entre lignes et 50 cm sur la ligne.  Durée de conservation : supérieure à 15 jours.






Perspectives :

Seule la recherche assure actuellement la multiplication des semences ; il faudra faire rentrer la tomate dans la chaine nationale de production des semences certifiées pour une grande accessibilité des producteurs aux semences certifiées

Elaborer le règlement spécifique pour la production, le contrôle de la qualité et la certification et la commercialisation des semences de tomate

Structure de mise au point et adresse : CRA-PP/INRAB
Auteurs : Françoise ASSOGBA KOMLAN
Année de génération : 2008
Sources de financement : AVRDC, DANIDA
Zone d’application de la technologie : les zones de plateau de juin à décembre les vallées du nord de novembre à mars
Bénéficiaires : producteurs, commerçants, restaurateurs et consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : variété tolérante à la virose, les fruits sont fermes et se conservent bien, rendement plus élevé
Contraintes potentielles à l’adoption : non disponibilité des semences à tout moment faute d'un schéma de production continue
Rendement de la technologie : 20 à 25 tonnes (Sud en grande saison pluvieuse) 35 à 40 tonnes (Nord en saison sèche sous gestion irriguée)
Rentabilité : o Saison des pluies : 15180 – 95180 FCFA/400 m² o Saison sèche : 109820 – 229820 FCFA / 400 m²
Coût estimatif de l’investissement initial : 1.625.000 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 250 FCFA/g de semence
Main d’œuvre nécessaire : 128 HJ/400m²

Fruits ronds, de couleur rouge à maturité.  Poids moyen d’un fruit : 76 à 103 g ; très précoce : 60 à 65 Jours, apte à la transformation. Période de production : de juin à nombre/décembre dans le sud du Bénin. Rendement moyen : > 32 t/ha. Tolérante à la chaleur et à l’humidité. Une teneur en matière sèche soluble se situant entre 3 et 3,5 °Brix






Perspectives :

Seule la recherche assure actuellement la multiplication des semences ; il faudra faire rentrer la tomate dans la chaine nationale de production des semences certifiées pour une grande accessibilité des producteurs aux semences certifiées

Elaborer le règlement spécifique pour la production, le contrôle de la qualité et la certification et la commercialisation des semences de tomate

Structure de mise au point et adresse : CRA-PP/INRAB
Auteurs : Françoise ASSOGBA KOMLAN
Année de génération : 2006
Sources de financement : AVRDC, DANIDA
Zone d’application de la technologie : sud du Bénin de juin à nombre/décembre
Bénéficiaires : producteurs, commerçants, restaurateurs et consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : variété apte à la transformation, tolérante à la chaleur et à l’humidité, rendement élevé
Contraintes potentielles à l’adoption : non disponibilité des semences à tout moment faute d'un schéma de production continue
Rendement de la technologie : >32 t/ha
Rentabilité : Saison des pluies : 95180 FCFA/400 m² Saison sèche : 109820 – 229820 FCFA / 400 m²
Coût estimatif de l’investissement initial : 1625000 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 250 FCFA /g de semence
Main d’œuvre nécessaire : 128 HJ/400m²

Variété de tomate à produire en toute saison de l’année. Variété à port semi érigé, fruit rond et gros de couleur rouge à maturité, poids moyen 103 g ; durée du cycle 3 mois et demi, résistante au TYLCV. Besoin en semences pour 1 ha : 300 à 500 g. Densité : 25 000 pieds à l'hectare ; écartement : 80 cm entre lignes et 50 cm sur la ligne






Perspectives :

Seule la recherche assure actuellement la multiplication des semences ; il faudra faire rentrer la tomate dans la chaine nationale de production des semences certifiées pour une grande accessibilité des producteurs aux semences certifiées

Elaborer le règlement spécifique pour la production, le contrôle de la qualité et la certification et la commercialisation des semences de tomate

Structure de mise au point et adresse : CRA-PP/INRAB
Auteurs : Françoise ASSOGBA KOMLAN
Année de génération : 2004
Sources de financement : DANIDA
Zone d’application de la technologie : toutes les zones et en toute saison
Bénéficiaires : producteurs, commerçants, restaurateurs et consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : rendement élevé, production en toute saison
Contraintes potentielles à l’adoption : non disponibilité des semences à tout moment faute d'un schéma de production continue
Rendement de la technologie : 35 t/ha
Rentabilité : Saison des pluies : 95 180 FCFA/400 m² , Saison sèche : 109 820 – 229 820 FCFA / 400 m²
Coût estimatif de l’investissement initial : 1.625.000 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 250 FCFA/ g de semence
Main d’œuvre nécessaire : 128 HJ/400m²

Fruit allongé de couleur rouge, durée du cycle = 3 mois et demi. Besoin en semences pour 1 ha : 300 à 500 g. Peu adaptée à la transformation industrielle. Période de production : juin à nombre/décembre dans le sud du Bénin ; densité : 25 000 pieds à l’hectare ; écartement : 80 cm entre lignes et 50 cm sur la ligne ; sensible à fusariose,  très sensible au flétrissement bactérien.  Durée de conservation : supérieure à 15 jours.






Perspectives :

Seule la recherche assure actuellement la multiplication des semences ; il faudra faire rentrer la tomate dans la chaine nationale de production des semences certifiées pour une grande accessibilité des producteurs aux semences certifiées

Elaborer le règlement spécifique pour la production, le contrôle de la qualité et la certification et la commercialisation des semences de tomate

Structure de mise au point et adresse : CRA-PP/INRAB
Auteurs : Françoise ASSOGBA KOMLAN
Année de génération : 2006
Sources de financement : AVRDC, DANIDA
Zone d’application de la technologie : sud du Bénin de juin à nombre/décembre
Bénéficiaires : producteurs, commerçants, restaurateurs et consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : variété apte à la transformation, tolérante à la chaleur et à l’humidité, rendement plus élevé
Contraintes potentielles à l’adoption : Non disponibilité des semences à tout moment faute d'un schéma de production continue
Rendement de la technologie : >32 t/ha
Rentabilité : o Saison des pluies : 95 180 FCFA/400 m² o Saison sèche : 109 820 – 229 820 FCFA / 400 m²
Coût estimatif de l’investissement initial : 1.625.000 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 250 F / g de semence
Main d’œuvre nécessaire : 128 HJ/400 m²

Hybride résistante au flétrissement bactérien, taux de flétrissement autour de 5% avec des rendements 20 à 40 t/ha en hivernage au sud du Bénin ; au nord en saison sèche sous irrigation le rendement se situe entre 15 et 20 t/ha ; densité : 25 000 pieds à l'hectare ; écartements : 80 cm entre lignes et 50 cm sur la ligne ; durée de conservation à l’air libre en milieu ambiant à raz du sol : autour de 40 jours.






Perspectives :

Cet hybride de tomate est plus conseillé pour les zones infestées de flétrissement bactérien

Structure de mise au point et adresse : East West Seed
Auteurs : Distributeur au Bénin : SONGHAI-ONG
Année de génération : 2014
Sources de financement : ProCAD/PPAAO
Zone d’application de la technologie : sud du Bénin de juin à nombre/décembre et au nord du en saison sèche sous irrigation
Bénéficiaires : producteurs, commerçants, restaurateurs et consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : variété apte à la transformation, tolérante à la chaleur et à l’humidité, rendement élevé
Contraintes potentielles à l’adoption : non disponibilité des semences à tout moment faute d'un schéma de production continue
Rendement de la technologie : 20 à 40 t/ha en hivernage au sud ; 15 et 20 t/ha au nord en saison sèche sous irrigation
Rentabilité : o Saison des pluies : 95 180 FCFA/400 m² o Saison sèche : 109 820 – 229 820 FCFA / 400 m²
Coût estimatif de l’investissement initial : 1.625.000 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 600 FCFA/ g de semence
Main d’œuvre nécessaire : 128 HJ/400 m²

Fruit de forme ronde, variété résistante au flétrissement bactérien, taux de flétrissement autour de 10% avec des rendements > 40 t/ha. Densité : 25 000 pieds à l'hectare. Ecartement : 80 cm entre lignes et 50 cm sur la ligne. Durée de conservation à l’air libre en milieu ambiant à raz au sol : autour de 55 jours.






Perspectives :

Seule la recherche assure actuellement la multiplication des semences ; il faudra faire rentrer la tomate dans la chaine nationale de production des semences certifiées pour une grande accessibilité des producteurs aux semences certifiées

Elaborer le règlement spécifique pour la production, le contrôle de la qualité

Structure de mise au point et adresse : CRA-PP/INRAB, Cotonou
Auteurs : Françoise ASSOGBA KOMLAN
Année de génération : 2015
Sources de financement : ProCAD/PPAAO, FAO
Zone d’application de la technologie : sud du Bénin de juin à nombre/décembre et au nord du Bénin en saison sèche sous irrigation
Bénéficiaires : producteurs, commerçants, restaurateurs et consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : variété apte à la transformation, tolérante à la chaleur et à l’humidité, rendement élevé, se conserve bien
Contraintes potentielles à l’adoption : insuffisance de semences certifiées disponibilité des semences à tout moment
Rendement de la technologie : 70 t/ha et plus Rentabilité : 95.180 FCFA à 229.820 FCFA / 400 m²
Rentabilité : 1.625.000 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : ....
Coût d’utilisation : 330 FCFA/g de semence
Main d’œuvre nécessaire : 128 HJ/400 m²

Le Spinosad (480g SC) contrôle Liriomyza et plusieurs espèces de chenilles dont H. armigera, à la dose de 96 g de m.a./ha, lorsque l’application est réalisée de la floraison à la récolte avec 4 applications à 15 jours d'intervalle à partir du repiquage.






Perspectives :

Assurer la disponibilité et l’accessibilité du Spinosad (480g SC)

Structure de mise au point et adresse : CRA-PP/INRAB
Auteurs : Françoise ASSOGBA KOMLAN
Année de génération : 2006
Sources de financement : DOW AGRO SCIENCE, DANIDA
Zone d’application de la technologie : partout et en toute saison
Bénéficiaires : producteurs, commerçants, restaurateurs et consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : rendement élevé et produits de bonne qualité
Contraintes potentielles à l’adoption : La non disponibilité et la cherté du produit et effet nocif pour l’environnement. Production continue
Rendement de la technologie : 12,4 t/ha
Rentabilité : 95.180 à 109.820 FCFA/400 m²
Coût estimatif de l’investissement initial : 1.625.000 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 3 500 FCFA le sachet de 50 ml
Main d’œuvre nécessaire : 128 HJ/400 m²

Période de production : mai à août. Variétés d'hivernage plus recommandées. Après pépinière, repiquage en ligne, à la densité de 25 000 plants/ha, soit écartement de 80 cm x 50 cm. Fumure organique : au labour ou 1 semaine après repiquage, incorporer 10 t/ha de matière organiques bien décomposée. Fumure minérale : N14P23K14S5B1 (200 Kg/ha à 2 semaines après repiquage) ; Urée + K2SO4 (50 kg/ha de chaque type d'engrais en floraison et en fructification). Traitement préventif contre les ravageurs et maladies. Tuteurer chaque plant de tomate avant floraison. Récolte intervient environ 2,5 mois après le repiquage. En saison sèche, utiliser des systèmes d’irrigation par aspersion (tourniquets, système d’irrigation à bande) et goute à goute.






Perspectives :

La vulgarisation à grande échelle de la production intensive de la tomate en saison pluvieuse

Poursuivre la recherche sur la production de la tomate en saison sèche au sud du Bénin

Structure de mise au point et adresse : Sous-Programme Cultures maraîchères/CRA-PP/INRAB
Auteurs : Françoise ASSOGBA KOMLAN
Année de génération : 2006
Sources de financement : BMZ/ProCGRN, DANIDA, FAO, Budget National
Zone d’application de la technologie : partout au Bénin et en toute saison ; éviter la saison sèche au sud du Bénin
Bénéficiaires : producteurs, commerçants, restaurateurs et consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : rendement élevé
Contraintes potentielles à l’adoption : Cherté et non disponibilité des intrants
Rendement de la technologie : >24t- 40 t/Ha
Rentabilité : o Saison des pluies : 95 180 FCFA /400 m² o Saison sèche : 229 820 FCFA / 400 m²
Coût estimatif de l’investissement initial : o Saison des pluies : 65 000 FCFA/ 400 m² o Saison sèche : 70 000 FCFA / 400 m²
Coût d’utilisation : 300 à 600 FCFA / 400 m²
Main d’œuvre nécessaire : 128 HJ/400 m²

Piment de fruit allongé, moins piquant, couleur rouge vif à maturité, poids moyen : 6 g. Durée du cycle = 2,5 mois pour début 1ères récoltes.  Période de production : toute l'année mais se comporte mieux pendant la saison des pluies. Variété de piment tolérante / résistante à l'anthracnose. Sensible au flétrissement dû au Sclérotium et à Ralstonia.  Besoin en semences pour 1 ha : 300 à 500 g. Densité : 25 000 pieds à l'hectare, soit écartement de 80 cm entre lignes et 50 cm sur la ligne.  Rendement moyen : 8 à 15 t/ha






Perspectives :

Assurer la disponibilité et l’accessibilité aux semences certifiées

Intégrer le piment à la chaîne semencière

Elaborer le règlement spécifique de production, du contrôle de la qualité et la certification et la commercialisation des semences de piment

Structure de mise au point et adresse : CRA-PP/INRAB
Auteurs : Françoise ASSOGBA KOMLAN
Année de génération : 2008
Sources de financement : AVRDC, DANIDA, Ambassade de France, Budget National
Zone d’application de la technologie : partout au Bénin et en toute saison
Bénéficiaires : producteurs, commerçants, restaurateurs et consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : variété tolérante aux principales maladies
Contraintes potentielles à l’adoption : Non disponibilité des semences à tout moment
Rendement de la technologie : 8-15 t/ha
Rentabilité : 50 200 F CFA/400 m2 dans un système pluvial et 105 970 FCFA/400 m2 en système irrigué de contre-saison
Coût estimatif de l’investissement initial : o 49.800 FCFA en système pluvial o 97.835 FCFA en culture irriguée de contre saison
Coût d’utilisation : 250 FCFA /g de semence
Main d’œuvre nécessaire : 128 HJ/400 m²

Fruit allongé et pendant sur les plants, couleur rouge ou orange ; poids moyen : 2g ; cycle 3 à 4 mois. Variété de piment locale épurée. Période de production : toute l'année mais se comporte mieux pendant la saison des pluies. Besoin en semences pour 1 ha : 300 à 500 g. Densité : 25 000 pieds à l'hectare soit écartement de 80 cm entre lignes et 50 cm sur la ligne. Rendement : 3 à 5 t/ha en moyenne.  Très sensible aux maladies et aux ravageurs.






Perspectives :

Assurer la disponibilité et l’accessibilité aux semences certifiées

Intégrer le piment à la chaîne semencière

Elaborer le règlement spécifique de production, du contrôle de la qualité et la certification et la commercialisation des semences de piment

Structure de mise au point et adresse : CRA-PP/INRAB
Auteurs : Françoise ASSOGBA KOMLAN
Année de génération : 2006
Sources de financement : DANIDA, Budget National, VBSS
Zone d’application de la technologie : partout au Bénin et très bon en saison des pluies
Bénéficiaires : producteurs, commerçants, restaurateurs et consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : plus productive que la forme non épurée, bonne qualité culinaire
Contraintes potentielles à l’adoption : Sensible aux maladies et ravageurs ; non disponibilité des semences à tout moment
Rendement de la technologie : 3-5 t/ha
Rentabilité : 25 000 F CFA/400 m2 dans un système pluvial et 52 985 FCFA/400 m2 en système irrigué de contre-saison
Coût estimatif de l’investissement initial : o 49 800 FCFA en système pluvial o 97835 FCFA en culture irriguée de contre saison
Coût d’utilisation : 250 FCFA / g de semence
Main d’œuvre nécessaire : 128 HJ/400 m²

Fruit ovoïde, couleur verte, poids moyen fruit : 3 g ; durée du cycle = 3 mois ; variété de piment locale épurée. Période de production : toute l'année mais se comporte mieux pendant la saison des pluies. Rendement : 7 à 10 t/ha. Besoin en semences pour 1 ha : 300 à 500 g. Densité : 25 000 pieds à l'hectare soit écartement de 80 cm entre lignes et 50 cm sur la ligne. Sensibilité moyenne aux maladies ; sensible à la mouche des fruits; tolérant à la virose. Conservation : vendu frais ou sec.






Perspectives :

Assurer la disponibilité et l’accessibilité aux semences certifiées

Intégrer le piment à la chaîne semencière

Elaborer le règlement spécifique de production, du contrôle de la qualité et la certification et la commercialisation des semences de piment

Incorporer des gènes de résistance aux principales maladies

Structure de mise au point et adresse : CRA-PP/INRAB
Auteurs : Françoise ASSOGBA KOMLAN
Année de génération : 2008
Sources de financement : Budget National
Zone d’application de la technologie : partout au Bénin et très bon en saison des pluies
Bénéficiaires : producteurs, commerçants, restaurateurs et consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : plus productive que la forme non épurée, bonne qualité culinaire, tolérante à la virose
Contraintes potentielles à l’adoption : sensible à la mouche des fruits
Rendement de la technologie : 7-10 t/ha
Rentabilité : 68 215 FCFA / 400 m²
Coût estimatif de l’investissement initial : 97 135 FCFA / 400 m²
Coût d’utilisation : 250 FCFA / g de semence
Main d’œuvre nécessaire : 128 J/400 m²

Période de production : saison pluvieuse et saison sèche. Pépinière : semis en ligne ; repiquage de densité : 25 000 plants/ha soit écartement de 80 cm x 50 cm ; 31.250 plant/ha soit 80 cm x 40 cm sur la ligne. Fumure organique : au labour ou 1 semaine après repiquage ; incorporer 10 t/ha de matière organiques bien décomposée ; fumure minérale : NPK (200 Kg/ha à 1 ou 2 semaine après repiquage) ; Urée + K2SO4 (50 kg/ha de chaque type d'engrais en floraison et en fructification). Traitements préventifs contre les ravageurs et maladies. Récolte intervient environ 2,5 à 3 mois après le repiquage. En saison sèche, utiliser des systèmes d’irrigation par aspersion (tourniquets, système d’irrigation à bande) et goute à goute.






Perspectives :

La vulgarisation à grande échelle de la production intensive du piment en toute saison

En zone de décrue (vallée de l’Ouémé), aménager des petites retenues d’eau pour permettre l’irrigation des plants

Structure de mise au point et adresse : CRA-PP/INRAB
Auteurs : Françoise ASSOGBA KOMLAN
Année de génération : 2008
Sources de financement : AVRDC, DANIDA, Ambassade de France, FAO, Budget National
Zone d’application de la technologie : partout au Bénin et très bon en saison des pluies
Bénéficiaires : producteurs, commerçants, restaurateurs et consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : améliore le rendement et donne de bons fruits
Contraintes potentielles à l’adoption : utilisation de matière organique
Rendement de la technologie : 7-15 t/ha
Rentabilité : 50200 F CFA/400 m2 dans un système pluvial et 105970 FCFA/400 m2 en système irrigué de contre-saison
Coût estimatif de l’investissement initial : o 49800 FCFA en système pluvial o 97835 FCFA en culture irriguée de contre saison
Coût d’utilisation : 250 FCFA /g de semence
Main d’œuvre nécessaire : 128 H/J/400 m²

Période de production : avril à novembre dans la région sud ; septembre à février/ mars dans la région nord. Fruit aplati et épais, couleur rouge foncé, poids moyen bulbe : 70 à 80 g. Durée du cycle : 80 à 85 jours. Rendement moyen : 25 t/ha dans les meilleures conditions de production. Très sensible à l’anthracnose des feuilles en milieu chaud et humide. Tolérante aux nématodes et au flétrissement bactérien.






Perspectives :

Assurer la disponibilité et l’accessibilité aux semences certifiées

Intégrer le piment à la chaîne semencière

Elaborer le règlement spécifique de production, du contrôle de la qualité et la certification et la commercialisation des semences de l’oignon

Structure de mise au point et adresse : CRA-PP/INRAB
Auteurs : Françoise ASSOGBA KOMLAN
Année de génération : 2001
Sources de financement : PADSE, DANIDA, Budget National
Zone d’application de la technologie : Sud - Bénin, avril - novembre et Nord-Bénin, septembre - mars
Bénéficiaires : producteurs, commerçants, restaurateurs et consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : rendement plus élevé et plants plus homogènes que chez la forme non épurée
Contraintes potentielles à l’adoption : insuffisance de semences certifiées
Rendement de la technologie : 25 t/ha
Rentabilité : 24 105 FCFA/400 m2
Coût estimatif de l’investissement initial : 95 895 FCFA/400 m2
Coût d’utilisation : 16 800 FCFA de semences/400 m2
Main d’œuvre nécessaire : 16HJ/ 400 m2

Conduite d'une pépinière de plantules d'oignon (6 kg soit le contenu de 18 grandes bouteilles de bière pour 300 à 500 m² de pépinière). Le schéma de production se présente comme suit : production des graines par les bulbes ; production des bulbes par les bulbilles ; production des bulbilles par les semences.






Perspectives :

Multiplication de fiche technique en couleur des différentes étapes, en français facile pour une large diffusion

Structure de mise au point et adresse : CRA-PP/INRAB
Auteurs : Françoise ASSOGBA KOMLAN
Année de génération : 2001
Sources de financement : PADSE, DANIDA, Budget National
Zone d’application de la technologie : sud (avril à novembre) et nord (septembre à mars)
Bénéficiaires : producteurs, commerçants, restaurateurs et consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : rendement plus élevé, raccourcissement du cycle de culture, qui est de 70 jours contre 90 jours à 105 jours avec les plantules ; il n’y a pas de pépinière, donc raccourcissement du cycle et moins de tracasseries.
Contraintes potentielles à l’adoption : néant
Rendement de la technologie : 25 t/ha
Rentabilité : 1400 FCFA/Casier de Marge Brute : avec le système de repiquage des bulbes contre 750 F CFA/casier avec le repiquage de plantules
Coût estimatif de l’investissement initial : 95.895 FCFA/m2
Coût d’utilisation : 16.800 FCFA de semences/ m2
Main d’œuvre nécessaire : 16 HJ/400 m2

Durée pépinière : 30 à 35 jours. Semis en ligne avec écartements variant suivant les objectifs du producteur ; le plus indiqué est 0,20 m entre lignes et 0,15 m sur ligne, soit 900 plants sur 27 m². Fumure organique : 20 t/ha, cette dose peut être fractionné à 10 t/ha 2 fois) ; fumure minérale : N14P23K14S5B1 (200 kg/ha à 1 semaine après fumure organique), Urée et K2SO4 (respectivement à la 4ème et à la 7ème semaine après repiquage) à la dose de 100 kg pour chaque type d'engrais. Infestation souvent observée : anthracnose ; utiliser Topsin M, arrêter 2 semaines avant récolte. Récolte : 75 à 110 jours après le repiquage. Irrigation d’appoint par aspersion.






Perspectives :

Produire et multiplier les fiches techniques détaillées et illustrées pour une large diffusion de la technique

Rendre disponible et accessible le matériel d’irrigation

Structure de mise au point et adresse : CRA-PP/INRAB
Auteurs : Françoise ASSOGBA KOMLAN
Année de génération : 2001
Sources de financement : DANIDA, Budget National
Zone d’application de la technologie : Sud -Bénin
Bénéficiaires : producteurs, commerçants, restaurateurs et consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : rendement élevé
Contraintes potentielles à l’adoption : coût élevé du matériel d’irrigation
Rendement de la technologie : 15 t/ha
Rentabilité : 24105 FCFA/400 m2
Coût estimatif de l’investissement initial : 95895 FCFA/400 m2
Coût d’utilisation : 166800 FCFA de semences/400 m2
Main d’œuvre nécessaire : 16 HJ/400 m2

Les variétés locales de Malanville et le Violet de Galmi s’y prêtent bien. Soixante (60) jours suffisent pour produire des bulbilles de bons calibres.






Perspectives :

Produire et multiplier les fiches techniques détaillées et illustrées pour une large diffusion de la technique

Rendre disponible et accessible le matériel d’irrigation

Structure de mise au point et adresse : CRA-PP/INRAB
Auteurs : Françoise ASSOGBA KOMLAN
Année de génération : 2011
Sources de financement : DANIDA, Budget National
Zone d’application de la technologie : sud du Bénin
Bénéficiaires : producteurs, commerçants, restaurateurs et consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : rendement élevé
Contraintes potentielles à l’adoption : coût élevé du matériel d’irrigation
Rendement de la technologie : 3 à 4 kg de bulbilles défoliées / 2 m²
Rentabilité : o 770 FCFA / 2 m² (violet de Galmi) o 2 000 FCFA / 2 m² (locale de Malanville)
Coût estimatif de l’investissement initial : o 3 300 FCFA / 2 m² (violet de Galmi) o 4 200 FCFA / 2 m² (locale de Malanville)
Coût d’utilisation : (achat semences et coût production) o 2 530 FCFA / 2 m² (violet de Galmi) o 2 200 FCFA / 2 m² (locale de Malanville)
Main d’œuvre nécessaire : ....

Variété très précoce, 40 jours suffisent pour les premières récoltes, fruit long et rouge.






Perspectives :

Intégrer le gombo dans la chaîne de production de semences certifiées

Elaborer le règlement spécifique de la production, du contrôle et de qualité et la certification et la commercialisation des semences de gombo

Structure de mise au point et adresse : CRA-PP/INRAB
Auteurs : Françoise ASSOGBA KOMLAN
Année de génération : 2008
Sources de financement : DANIDA, Budget National
Zone d’application de la technologie : adapté à toutes les zones et les saisons au Bénin
Bénéficiaires : producteurs, commerçants, restaurateurs et consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : rendement élevé, bonne qualité organoleptique, très précoce
Contraintes potentielles à l’adoption : insuffisance de semences certifiées
Rendement de la technologie : 6 à 12 t/ha
Rentabilité : 664 465 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 164 595 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 25 FCFA /g de semences
Main d’œuvre nécessaire : 57,60 HJ/ha

Fruit long de 26.03 cm avec un poids moyen de 68.87 g. Très précoce : 30 jours pour obtenir les premières récoltes.






Perspectives :

Intégrer le gombo dans la chaîne de production de semences certifiées

Elaborer le règlement spécifique de la production, du contrôle et de qualité et la certification et la commercialisation des semences de gombo

Structure de mise au point et adresse : CRA-PP/INRAB
Auteurs : Françoise ASSOGBA KOMLAN
Année de génération : 2008
Sources de financement : DANIDA, Budget National
Zone d’application de la technologie : adapté à toutes les zones et les saisons au Bénin
Bénéficiaires : producteurs, commerçants, restaurateurs et consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : rendement élevé, bonne qualité organoleptique, très précoce
Contraintes potentielles à l’adoption : insuffisance de semences certifiées
Rendement de la technologie : 8 à 15 t/ha
Rentabilité : 664 465 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 164 595 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 25 FCFA / g de semences
Main d’œuvre nécessaire : 57,60 HJ/ha

Période de production : toute l’année. Variété à feuilles larges et verdoyantes. Nombre moyen de feuilles par plant : 18 à 26. Fruit arrondi. Durée du cycle : 3 mois avec 2 coupes.  Rendement : 20 à 30 t/ha, varie en fonction du type de fertilisation. Très sensible aux acariens. Sensible aux nématodes. Très sensible au flétrissement bactérien. Ecartement : 30 cm x 30 cm






Perspectives :

Intégrer la grande morelle dans la chaîne de production de semences certifiées

Elaborer le règlement spécifique de la production, du contrôle de la qualité et la certification et la commercialisation des semences de la grande morelle

Structure de mise au point et adresse : CRA-PP/INRAB
Auteurs : Françoise ASSOGBA KOMLAN
Année de génération : 2008
Sources de financement : DANIDA, Budget National
Zone d’application de la technologie : adapté à toutes les zones et les saisons au Bénin
Bénéficiaires : producteurs, commerçants, restaurateurs et consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : rendement élevé en feuilles, bonne qualité organoleptique
Contraintes potentielles à l’adoption : insuffisance de semences certifiées
Rendement de la technologie : 7 à 17 t/ha
Rentabilité : 1 992 573 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 2 215 850 FCFA /ha
Coût d’utilisation : 100 à150 FCFA/ g de semence
Main d’œuvre nécessaire : 270,14HJ/ha

Période de production : toute l’année. Variété à feuilles plus larges et plant plus haut que kpinman. Fruit arrondi. Durée du cycle : 3 mois avec 2 récoltes. Ecartement : 30 cm x 30 m. Tolère le flétrissement bactérien.






Perspectives :

Intégrer la grande morelle dans la chaîne de production de semences certifiées

Elaborer le règlement spécifique de la production, du contrôle de la qualité et la certification et la commercialisation des semences de la grande morelle

Structure de mise au point et adresse : CRA-PP/INRAB
Auteurs : Françoise ASSOGBA KOMLAN
Année de génération : 2015
Sources de financement : DANIDA, Budget National
Zone d’application de la technologie : adapté à toutes les zones et les saisons au Bénin
Bénéficiaires : producteurs, commerçants, restaurateurs et consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : rendement élevé en feuilles, bonne qualité organoleptique
Contraintes potentielles à l’adoption : insuffisance de semences certifiées
Rendement de la technologie : 7 à 17 t/ha
Rentabilité : 1 992 573 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 2 215 850 FCFA /ha
Coût d’utilisation : 100 à150 FCFA/g de semence
Main d’œuvre nécessaire : 270,14HJ/ha

La pépinière : peut être à même le sol ou « hors sol. En pépinière, la fertilisation du Gboma (Morelle) peut être uniquement organique. En plein champ : un apport de fientes de volaille (10 à 20 t/ha), lors du labour ou une semaine après le repiquage. Ecartements de repiquage : 30 cm x 30 cm. Fumure organique : 1 semaine après repiquage ; minérale, 75 kg/ha, une semaine après l’application de la fertilisation organique.






Perspectives :

Produire et multiplier les fiches techniques et Référentiels technico-économiques pour une large diffusion de la technologie

Structure de mise au point et adresse : CRA-PP/INRAB
Auteurs : Françoise ASSOGBA KOMLAN
Année de génération : 2009
Sources de financement : DANIDA, Budget National
Zone d’application de la technologie : adapté à toutes les zones et les saisons au Bénin
Bénéficiaires : producteurs, commerçants, restaurateurs et consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : rendement élevé en feuilles, bonnes qualités organoleptiques
Contraintes potentielles à l’adoption : insuffisance de semences certifiées
Rendement de la technologie : 20 à 35 t/ha
Rentabilité : 1 992 573 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 2 215 850 FCFA /ha
Coût d’utilisation : 100 à150 FCFA/ g de semence
Main d’œuvre nécessaire : 270,14HJ/ha

Pour un kanti (400 m²) : disposer de 0,76 à 1,2 kg d’ail ; décortiquer les bulbes d’ail ; écraser les bulbes d’ail en pâte ; mélanger la pâte dans l’eau ; diluer la pâte dans 15 litres d’eau ; filtrer à l’aide d’un tamis ou d’un filet à maille petite ; pulvériser la bouillie sur les plants 2 heures après filtration ; refaire la préparation au moment de chaque pulvérisation ; appliquer sur : le chou (contre tous les ravageurs : chenilles, pucerons, mouches) ; l’amarante et gboma  (contre les chenilles et autres larves) ; La tomate (contre la fusariose) ; Le piment (contre l’anthracnose)






Perspectives :

Produire et multiplier les fiches techniques et Référentiels technico-économiques pour une large diffusion de la technologie.

Structure de mise au point et adresse : CRA-A/INRAB
Auteurs : Rachidatou SIKIROU
Année de génération : 2008
Sources de financement : DANIDA, Budget National
Zone d’application de la technologie : adapté à toutes les zones et les saisons au Bénin
Bénéficiaires : producteurs, commerçants, restaurateurs et consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : rendement élevé, meilleure qualité de chou
Contraintes potentielles à l’adoption : non disponibilité du produit de traitement
Rendement de la technologie : 5 - 11 t/ha
Rentabilité : 143 412 FCFA/ 400 m²
Coût estimatif de l’investissement initial : 40 588 FCFA/ 400 m²
Coût d’utilisation : 3 968 – 7 936 FCFA/ 400 m²
Main d’œuvre nécessaire : 3,66 HJ/400 m²

En pépinière : pose permanente. En plein champ : ouverture 3 fois par semaine. Le filet, de 0,4 à 0,9 mm de maille, posé à 50 cm au-dessus de la culture, forme un abri de protection contre les insectes






Perspectives :

Produire et multiplier les fiches techniques et Référentiels technico-économiques pour une large diffusion de la technique

Rendre disponible et accessibles les filets anti-insectes

Structure de mise au point et adresse : CRA-PP/INRAB
Auteurs : Serge SIMON
Année de génération : 2009
Sources de financement : DANIDA, Budget National, HortCRSP/USAID (BioNetAgro)
Zone d’application de la technologie : adapté à toutes les zones et les saisons au Bénin
Bénéficiaires : producteurs, commerçants, restaurateurs et consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : rendement élevé, meilleure qualité de chou
Contraintes potentielles à l’adoption : non disponibilité du filet de protection
Rendement de la technologie : 35 - 42 t/ha
Rentabilité : 7 148 487 FCFA/ ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 3 880 751 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 105 300 FCFA/ ha
Main d’œuvre nécessaire : 525,79 HJ/ha

Installer d'abord le Tchayo, repiquer à 20 cm entre poquets et à 40 cm entre lignes. Pépinière chou installée juste après repiquage du Tchayo, repiquer le chou un mois après, soit 1 ligne de chou intercalée de 1 ligne de Tchayo ou 1 planche de chou encadrée sur ses 4 côtés par 1 ligne de Tchayo. Ecartements chou : 40 cm en tous sens.






Perspectives :

Elaborer et multiplier les fiches techniques et les Référentiels technico-économiques pour une large diffusion de la technologie

Structure de mise au point et adresse : CRA-PP/INRAB
Auteurs : Françoise Assogba Komlan
Année de génération : 2012
Sources de financement : Service de Coopération et d’Actions Culturelles (SCAC) de l’Ambassade de France près le Bénin
Zone d’application de la technologie : adapté à toutes les zones et les saisons au Bénin
Bénéficiaires : producteurs, commerçants, restaurateurs et consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : rendement élevé, meilleure qualité de chou
Contraintes potentielles à l’adoption : non disponibilité de l’information
Rendement de la technologie : o Chou 12,7 t/ha. o Tchayo : 9,5 t/ha
Rentabilité : ...
Coût estimatif de l’investissement initial : .....
Coût d’utilisation : o Chou 220 FCFA/g de semence. o Tchayo : 100 FCFA/g de semence
Main d’œuvre nécessaire : 305 HJ/ha

La période de semis peut s’étaler sur toute l’année selon qu’il s’agit des variétés de saison sèche ou pluvieuse. Pépinière à même le sol ou dans des conditions « hors-sol ». Pour 100 m² de plantation de chou, il faut 8 g de semences sur une surface de 2 m². Écartement de 40 cm x 40 cm. Maladie importante : nervation noire du chou.






Perspectives :

Elaborer le Référentiel technico-économique pour une large diffusion de la technologie

Structure de mise au point et adresse : CRA-PP/INRAB
Auteurs : Françoise ASSOGBA KOMLAN
Année de génération : 2016
Sources de financement : FAO
Zone d’application de la technologie : adapté à toutes les saisons au Bénin
Bénéficiaires : producteurs, commerçants, restaurateurs et consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : rendement élevé, meilleure qualité de chou
Contraintes potentielles à l’adoption : non disponibilité des semences de chou et de l’information sur la technologie
Rendement de la technologie : 10 à 40 FCFA/ha
Rentabilité : 7 901 250 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 3 543 750 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 220 FCFA/g de semence
Main d’œuvre nécessaire : 305 HJ/ha

La reproduction du Launea taraxacifolia, encore appelé laitue sauvage, se fait par graine et par bouture. Les graines perdent vite leur pouvoir germinatif d’où la reproduction par bouture est la méthode la plus appropriée. La taille recommandée pour la bouture est de 10 cm. Les boutures de racine principale donnent les meilleurs taux de reprise de l’ordre de 90 à 100 %. Les boutures de racines repiquées horizontalement reprennent plus vite qu’à la verticale.






Perspectives :

Elaborer et multiplier les fiches techniques et les Référentiels technico-économiques pour une large diffusion de la technologie

 

Structure de mise au point et adresse : CRA-PP/INRAB
Auteurs : Françoise ASSOGBA KOMLAN
Année de génération : 2011
Sources de financement : Budget National
Zone d’application de la technologie : adapté à la saison pluvieuse au Bénin
Bénéficiaires : producteurs, commerçants, restaurateurs et consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : rendement élevé, meilleure qualité des feuilles
Contraintes potentielles à l’adoption : La plante est sensible aux proches de sécheresse, les graines perdent vite leur pouvoir germinatif
Rendement de la technologie : 90 à 100% de taux de reprise
Rentabilité : ...
Coût estimatif de l’investissement initial : ...
Coût d’utilisation : ...
Main d’œuvre nécessaire : ...

La pépinière : peut être à même le sol ou « hors sol. Écartements de 20 cm x 20 cm. Fumure organique : 1 semaine après repiquage ; fumure minérale : 75 kg/ha une semaine après l’épandage de la fumure organique






Perspectives :

Elaborer et multiplier les fiches techniques et les Référentiels technico-économiques pour une large diffusion de la technologie

Structure de mise au point et adresse : CRA-PP/INRAB
Auteurs : Françoise ASSOGBA KOMLAN
Année de génération : 2016
Sources de financement : FAO
Zone d’application de la technologie : adapté à toutes les zones et les saisons au Bénin
Bénéficiaires : producteurs, commerçants, restaurateurs et consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : rendement élevé, meilleure qualité des feuilles
Contraintes potentielles à l’adoption : non disponibilité des semences et sensibilité de la plante aux proches de sécheresse
Rendement de la technologie : 5 à 15 t/ha
Rentabilité : ...
Coût estimatif de l’investissement initial : ...
Coût d’utilisation : ...
Main d’œuvre nécessaire : ...

Existe sous forme d'amarantes vertes (Tètè wéwé en Fongbé) et d'amarantes rouges (Tètè vovo en Fongbé).  Il faut, pour une planche de 2 m², 5 g de semences par 250 g de sable. Pépinière : semis en ligne. Repiquage : écartement de 20 cm x 20 cm. Suivant la richesse du sol en matière organique, un apport d’urée peut être fait sept à dix jours après repiquage à la dose de 7,5 g/m². Récolte : par coupes successives ou par arrachage.






Perspectives :

Elaborer et multiplier le Référentiel technico-économiques pour une large diffusion de la technologie

Structure de mise au point et adresse : CRA-PP/INRAB
Auteurs : Françoise ASSOGBA KOMLAN
Année de génération : 2016
Sources de financement : FAO
Zone d’application de la technologie : adapté à toutes les zones et les saisons au Bénin
Bénéficiaires : producteurs, commerçants, restaurateurs et consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : rendement élevé, meilleure qualité des feuilles
Contraintes potentielles à l’adoption : Sensibilité des plants aux poches de sécheresse
Rendement de la technologie : 7 à 10 t/ha
Rentabilité : 12800FCFA / 400 m²
Coût estimatif de l’investissement initial : 25600 FCFA / 400 m²
Coût d’utilisation : 50 à 100 FCFA / g de semences
Main d’œuvre nécessaire : 45 HJ / 400 m²

Il faut un labour profond (30 cm) ; semer directement à l’aide d’une roulette ; lignes espacées de 20 cm l’une de l’autre ; sur la ligne faire des poquets peu profonds et espacés 5 ou 6 cm l’un de l’autre. Pailler si possible surtout pendant les périodes de forte chaleur. Le démariage intervient environ un mois après semis. - Le ravageur le plus redoutable de la carotte au Bénin est le nématode à galles Meloidogyne sp. La rotation culturale avec de l’amarante, l’oignon, la laitue sauvage diminue la pression de ces ravageurs. On peut aussi appliquer : des tourteaux (poudre) de neem à la dose de 300 g/m² ; de la poudre d’épluchures de manioc à la dose de 8 t/ha dans les lignes de semis.






Perspectives :

Elaborer et multiplier le Référentiel technico-économiques pour une large diffusion de la technologie

Structure de mise au point et adresse : CRA-PP/INRAB
Auteurs : Françoise ASSOGBA KOMLAN
Année de génération : 2016
Sources de financement : FAO
Zone d’application de la technologie : adapté à toutes les zones et les saisons au Bénin
Bénéficiaires : producteurs, commerçants, restaurateurs et consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : rendement élevé, meilleure qualité des feuilles
Contraintes potentielles à l’adoption : Sensibilité des plants aux poches de sécheresse
Rendement de la technologie : 15 à 40 t/ha
Rentabilité : 8 459 800 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 552 200 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 300 FCFA/kg de semences
Main d’œuvre nécessaire : 276 HJ/ha

Source d'eau pour irrigation (fleuve ou forage), choix de terrain sablo-argileux, sans chiendents et cypéracées. Les céréales constituent de bons précédents culturaux, apports d'engrais de fonds (250 kg/ha de NPK coton plus 40 kg de K2SO4 plus du compost 5 à 10 t/ha), la confection des billons de 30 cm de haut espacés de 80 cm, pré-germination des semences, densité de plantation (41 666 plants/ha soit les écartements 0,80 m x 0,30 m). Apport de fumure d'entretien (200 kg/ha de NPK, plus 40 kg/ha de K2SO4 et 50 kg/ha d'urée) 30 à 35 jours après plantation. L'irrigation par aspersion est plus recommandée que l'irrigation par gravitation parce qu'elle provoque moins la pourriture des tubercules à la récolte et durant la conservation.






Perspectives :

Pour la vulgarisation, il faudra prévoir le système d'irrigation par aspersion (tourniquets ou tuyaux plastiques percés)

Structure de mise au point et adresse : CRA-Nord/INRAB
Auteurs : INRAB
Année de génération : 2003
Sources de financement : ...
Zone d’application de la technologie : Nord-Bénin
Bénéficiaires : producteurs de pomme de terre
Avantages potentiels de l’adoption : amélioration du revenu, amélioration de la sécurité alimentaire et nutritionnelle
Contraintes potentielles à l’adoption : commande des semences à l’extérieur (Europe), pas d’importateurs de semences, pas d’équipements dans la région pour l’irrigation par aspersion
Rendement de la technologie : 20 t/ha
Rentabilité : 900000-2000000 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 1741000 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 225000 FCFA/ha
Main d’œuvre nécessaire : 372 Hj/ha

C’est une variété à grains jaunes et de cycle semi à maturité : 80 jours. Elle fleurit déjà à 35 jours et a une hauteur de la plante : 170 cm. La hauteur d’insertion épi : 80 cm. Son rendement potentiel : 4 t/ha. Rendement moyen en milieu paysan : 2.5 t /ha. Poids de 1000 graines : 280 grammes. Résistance à la casse : très bonne. Résistance à la striure : bonne. Résistance à la rouille américaine : bonne. Résistance à la l’helminthosporiose : bonne. Résistance au Striga hermonthica : très bonne. Tolérance aux ravageurs : bonne. Elle a une bonne tolérance à la sécheresse, un très bon recouvrement de l’épi. Elle possède des épis dont la longueur est de 14 cm. Les grains sont de type corné, de texture vitreuse






Perspectives :

Elaborer et multiplier les fiches techniques et Référentiels Technico-Economiques pour une large diffusion de la variété.

Structure de mise au point et adresse : CRA-Nord/INRAB
Auteurs : Chabi Gouro YALLOU
Année de génération : 2008
Sources de financement : IITA, Budget National
Zone d’application de la technologie : extrême nord du Bénin et en petite saison pluvieuse au sud du Bénin
Bénéficiaires : producteurs, entreprises semencières, commerçants, restaurateurs et consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : variété extra-précoce et riche en provitamine A
Contraintes potentielles à l’adoption : néant
Rendement de la technologie : 4 t/ha
Rentabilité : 131 000 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 164 000 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 11 250 FCFA/ha de semence
Main d’œuvre nécessaire : 47,25 HJ/ha

C’est une variété à grains blancs et de cycle 80 jours de semi à maturité. Elle fleurit 35 jours après semis. La hauteur de la plante est de 170 cm et celle de l’insertion de l’épi est 80 cm. Son rendement potentiel est de 4 t/ha avec un rendement moyen en milieu paysan égal à 2.5 t/ha. Le poids moyen de 1000 grains est 280 grammes. C’est une variété résistante à la casse, à la striure, à la rouille américaine, à l’helminthosporiose, au Striga hermonthica. Elle a une bonne tolérance aux ravageurs et à la sécheresse. Elle a un type de grain corné, une texture du grain vitreuse. Elle est apte à tous les mets locaux (akassa, pâte, bouillie, maïs frais bouilli ou grillé).






Perspectives :

Elaborer et multiplier les fiches techniques et les Référentiels Technico-Economiques pour une large diffusion de la variété

Structure de mise au point et adresse : CRA-Nord/INRAB
Auteurs : Chabi Gouro YALLOU
Année de génération : 2008
Sources de financement : IITA, Budget National
Zone d’application de la technologie : extrême nord du Bénin et en petite saison pluvieuse au sud du Bénin
Bénéficiaires : producteurs, entreprises semencières, commerçants, restaurateurs et consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : variété extra-précoce et riche en provitamine A
Contraintes potentielles à l’adoption : néant
Rendement de la technologie : 4 t/ha
Rentabilité : 131 000 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 164 000 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 11 250 FCFA/ha de semence
Main d’œuvre nécessaire : 44,5 HJ/ha

C’est une variété à grains jaunes et de cycle du semi à maturité : 80 jours. Elle fleurit déjà à 35 jours et a une hauteur de la plante : 170 cm. La hauteur d’insertion épi : 80 cm. Son rendement potentiel : 3 t/ha. Rendement moyen en milieu paysan : 2.5 t /ha. Poids de 1000 graines : 230 grammes. Résistance à la casse : très bonne. Résistance à la striure : bonne. Résistance à la rouille américaine : bonne. Résistance à l’helminthosporiose : bonne. Résistance au Striga hermonthica : très bonne. Tolérance aux ravageurs : bonne. Elle a une bonne tolérance à la sécheresse, un très bon recouvrement de l’épi. Elle possède des épis dont la longueur est de 14 cm. Les grains sont de type corné, de texture vitreuse. Elle est très apte à la provenderie à cause de Bêta-carotène. Elle est aussi riche en acides aminées indispensables à l’organisme (lysine et tryptophane).






Perspectives :

Elaborer et multiplier les fiches techniques et les Référentiels Technico-Economiques pour une large diffusion de la variété

Structure de mise au point et adresse : CRA-Nord/INRAB
Auteurs : Chabi Gouro YALLOU
Année de génération : 2008
Sources de financement : IITA, Budget National
Zone d’application de la technologie : extrême nord du Bénin et en petite saison pluvieuse au sud du Bénin
Bénéficiaires : producteurs, entreprises semencières, commerçants, restaurateurs, provenderie, consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : variété extra-précoce et riche en provitamine A et protéines ((lysine et tryptophane)
Contraintes potentielles à l’adoption : faible rendement
Rendement de la technologie : 3 t/ha
Rentabilité : 131 000 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 164 000 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 11 250 FCFA/ha de semence
Main d’œuvre nécessaire : 47,25 HJ/ha

C’est une variété à grains blancs et de cycle 80 jours. Elle fleurit à 35 jours. Sa hauteur est de 150 cm et celle de l’insertion de l’épi est égale à 60 cm. Son rendement potentiel est 3,5 t/ha tandis que le rendement moyen en milieu paysan équivaut à 2,5 t/ha. Le poids de 1000 grains s’élève à 230 grammes. Elle est résistante à la casse, à la striure, à la rouille américaine, à l’helminthosporiose et au Striga hermonthica. Elle a une bonne tolérance aux ravageurs et à la sécheresse. Ces grains sont cornés et vitreux. Elle est riche en acides aminées indispensables à l’organisme (lysine et tryptophane). Elle est apte aux mets locaux.






Perspectives :

Elaborer et multiplier les fiches techniques et les Référentiels Technico-Economiques pour une large diffusion de la variété

Structure de mise au point et adresse : CRA-Nord/INRAB
Auteurs : Chabi Gouro YALLOU
Année de génération : 2008
Sources de financement : IITA, Budget National
Zone d’application de la technologie : extrême nord du Bénin et en petite saison pluvieuse au sud du Bénin
Bénéficiaires : producteurs, entreprises semencières, commerçants, restaurateurs et consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : variété extra-précoce et riche en lysine et tryptophane
Contraintes potentielles à l’adoption : rendement faible
Rendement de la technologie : 3,5 t/ha
Rentabilité : 131 000 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 164 000 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 11 250 FCFA/ha de semence
Main d’œuvre nécessaire : 47,25 HJ/ha

Variété à grains blancs et de cycle du semi à maturité 90 jours. Elle fleurit à 47 jours. Sa hauteur est de 160 cm alors que l’épi s’insère à une hauteur de 65 cm. Son rendement potentiel est de 4 t/ha et celui en milieu paysan de 3 t /ha. Le poids moyen de 1000 grains est de 285 grammes. Elle a une bonne résistance à la casse, à la striure, à la rouille américaine, à l’helminthosporiose. Le recouvrement de l’épi est bon. Les grains sont cornés, vitreux. Elle est apte aux mets locaux.






Perspectives :

Elaborer et multiplier les fiches techniques et les Référentiels Technico-Economiques pour une large diffusion de la variété

Structure de mise au point et adresse : CRA-Nord/INRAB
Auteurs : Chabi Gouro YALLOU
Année de génération : 2007
Sources de financement : IITA, Budget National
Zone d’application de la technologie : Tout le Bénin
Bénéficiaires : producteurs, entreprises semencières, commerçants, restaurateurs et consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : variété précoce avec un bon rendement
Contraintes potentielles à l’adoption : néant
Rendement de la technologie : 4 t/ha
Rentabilité : 183 500 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 176 500 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 11 250 FCFA/ha de semence
Main d’œuvre nécessaire : 47,25 HJ/ha

C’est une variété à grains blancs et de cycle précoce (90 jours). Elle fleurit à 45 jours et la hauteur de la plante est de 150 cm tandis que la hauteur d’insertion de l’épi est de 55 cm. Son rendement potentiel est égal à 4 t/ha et le rendement moyen en milieu paysan est 3 t/ha. Le poids de 1000 grains est 280 grammes. Elle a une bonne résistance à la casse, à la striure, à la rouille américaine et à l’helminthosporiose. Elle est sensible au Striga hermonthica. Elle est tolérante aux ravageurs et à la sécheresse. Les grains sont cornés et vitreux.






Perspectives :

Elaborer et multiplier les fiches techniques et les Référentiels Technico-Economiques pour une large diffusion de la variété

Structure de mise au point et adresse : CRA-Nord/INRAB
Auteurs : Chabi Gouro YALLOU
Année de génération : 1997
Sources de financement : IITA, Budget National
Zone d’application de la technologie : tout le Bénin
Bénéficiaires : producteurs, entreprises semencières, commerçants, restaurateurs et consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : variété précoce et tolérante à la sécheresse
Contraintes potentielles à l’adoption : néant
Rendement de la technologie : 4 t/ha
Rentabilité : 183 500 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 176 500 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 11 250 FCFA/ha de semence
Main d’œuvre nécessaire : 47,25 HJ/ha

C’est une variété à grains jaunes et de cycle court (90 jours). Son cycle semis-floraison est de 47 jours. La hauteur de la plante fait 170 cm alors que la hauteur insertion épi est 85 cm. Son rendement potentiel est de 4 t/ha et son rendement moyen en milieu paysan est de 3 t/ha. Le poids de 1000 graines s’élève à 280 grammes. C’est une variété qui a une bonne résistance à la casse, à l striure, à la rouille américaine, à l’helminthosporiose, au Striga hermonthica. Elle tolère les ravageurs et la sécheresse.  Les grains sont de type denté-corné et de texture mi farineuse - mi vitreuse. Elle est apte à l’akassa, à la pâte, à la bouillie, au maïs frais (bouilli ou braisé). Elle est riche en acides aminées indispensables à l’organisme (lysine et Tryptophane). Elle est très bonne pour la provenderie à cause de la présence du carotène.






Perspectives :

Elaborer et multiplier les fiches techniques et les Référentiels Technico-Economiques pour une large diffusion de la variété

Structure de mise au point et adresse : CRA-Nord/INRAB
Auteurs : Chabi Gouro YALLOU
Année de génération : 2008
Sources de financement : IITA, Budget National
Zone d’application de la technologie : Tout le Bénin
Bénéficiaires : producteurs, entreprises semencières, commerçants, restaurateurs et consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : variété précoce et riche en provitamine A
Contraintes potentielles à l’adoption : néant
Rendement de la technologie : 4 t/ha
Rentabilité : 183 500 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 176 500 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 11 250 FCFA/ha de semence
Main d’œuvre nécessaire : 44,5 HJ/ha

C’est une variété à grains jaunes et de cycle précoce (90 jours). Le cycle semis-floraison : 45 jours. La hauteur de la plante : 170 cm et la hauteur d’insertion de l’épi : 80 cm. Son rendement potentiel est 4 t/ha et le rendement moyen en milieu paysan est de 3 t/ha. Le poids de 1000 grains est de 280 grammes. Elle a une bonne résistance à la casse, à la striure, à la rouille américaine, à l’helminthosporiose et au Striga hermonthica. Elle a une bonne tolérance aux ravageurs et à la sécheresse. Elle a un bon recouvrement de l’épi. Ces grains sont de type denté et de texture mi farineuse - mi vitreuse. Elle est apte aux mets locaux (akassa, pâte, bouillie, maïs frais (bouilli ou grillé). Elle est riche en acides aminées indispensables à l’organisme (lysine et tryptophane) et contient de Béta carotène.






Perspectives :

Elaborer et multiplier les fiches techniques et les Référentiels Technico-Economiques pour une large diffusion de la variété

Structure de mise au point et adresse : CRA-Nord/INRAB
Auteurs : Chabi Gouro YALLOU
Année de génération : 2000
Sources de financement : IITA, Budget National
Zone d’application de la technologie : Tout le Bénin
Bénéficiaires : producteurs, entreprises semencières, commerçants, restaurateurs et consommateurs, provenderies
Avantages potentiels de l’adoption : variété précoce et riche en provitamine A, en lysine et en tryptophane
Contraintes potentielles à l’adoption : néant
Rendement de la technologie : 4 t/ha
Rentabilité : 183 500 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 176 500 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 11 250 FCFA/ha de semence
Main d’œuvre nécessaire : 47,25 HJ/ha

Il s’agit d’une variété de maïs à grains blancs et de cycle intermédiaire (105 jours). La période du semis à la floraison fait 57 jours. Sa hauteur totale est 170 cm alors que l’épi s’insère à 70 cm. Elle a un rendement potentiel de 4 t/ha contre 3,5 t/ha en milieu paysan. Le poids de 1000 grains est de 300 grammes. C’est une variété résistante à la casse, à la striure, à la rouille américaine et à l’helminthosporiose. Elle est sensible au Striga hermonthica mais tolérante aux ravageurs et à la sécheresse. Les grains sont de type corné-denté et de texture : mi vitreuse – mi farineuse. Elle est apte à tous les mets locaux mais acceptable pour le maïs utilisé à l’état frais.






Perspectives :

Elaborer et multiplier les fiches techniques et les Référentiels Technico-Economiques pour une large diffusion de la variété

Structure de mise au point et adresse : CRA-Nord/INRAB
Auteurs : Chabi Gouro YALLOU
Année de génération : 2008
Sources de financement : IITA, Budget National
Zone d’application de la technologie : Tout le nord, les Collines et les Départements du Zou, du Plateau et du Couffo si semé très tôt au démarrage des pluies
Bénéficiaires : producteurs, entreprises semencières, commerçants, restaurateurs et consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : variété intermédiaires farineuses
Contraintes potentielles à l’adoption : néant
Rendement de la technologie : 4 t/ha
Rentabilité : 231 000 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 189 000 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 11 250 FCFA/ha de semence
Main d’œuvre nécessaire : 44,5 HJ/ha

C’est une variété à grains blancs et de cycle intermédiaire (105 jours. Elle fleurit déjà à 57 jours et a une hauteur de la plante : 165 cm. La hauteur d’insertion épi : 57 cm. Son rendement potentiel : 5 t/ha. Rendement moyen en milieu paysan : 3 t /ha. Poids de 1000 graines : 300 grammes. Elle est résistante à la casse, à la striure, à la rouille américaine à l’helminthosporiose mais sensible au Striga hermonthica. Elle est tolérante aux ravageurs et a une très bonne tolérance à la sécheresse. Même à maturité physiologique, ses feuilles restent vertes (stay-green). Elle a un bon recouvrement de l’épi. Ses grains sont de type denté-corné et de texture mi vitreuse-mi farineuse. Elle se prête à tous les mets locaux.






Perspectives :

Elaborer et multiplier les fiches techniques et les Référentiels Technico-Economiques pour une large diffusion de la variété

Structure de mise au point et adresse : CRA-Nord/INRAB
Auteurs : Chabi Gouro YALLOU
Année de génération : 2008
Sources de financement : IITA, Budget National
Zone d’application de la technologie : tout le Nord, les Collines et les départements du Zou, du Plateau et du Couffo si semé très tôt au démarrage des pluies
Bénéficiaires : producteurs, entreprises semencières, commerçants, restaurateurs et consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : variété très productive
Contraintes potentielles à l’adoption : néant
Rendement de la technologie : 5 t/ha
Rentabilité : 183 500 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 176 500 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 11 250 FCFA/ha de semence
Main d’œuvre nécessaire : 47,25 HJ/ha

Saki Faba ou TZPB-SR est une variété à grains blancs et de cycle long (120 jours). Elle fleurit à 65 jours. La hauteur totale de la plante est de 221 cm alors que la hauteur d’insertion de l’épi est 107 cm. Son rendement potentiel est élevé (6 t/ha) et sa moyenne en milieu paysan est de 4 t/ha. Le poids de 1000 graines est de 320 grammes. C’est une variété qui résiste à la casse. Elle a une très bonne résistance à la striure, une très bonne résistance à la rouille américaine, une bonne résistance à l’helminthosporiose. Elle tolère modérément le Striga hermonthica et la sécheresse. Elle se comporte bien vis-à-vis des ravageurs. Ses grains sont cornés et vitreux. Elle est apte aux mets locaux mais pas bien à consommer à l’était frais.






Perspectives :

Elaborer et multiplier les fiches techniques et les Référentiels Technico-Economiques pour une large diffusion de la variété

Structure de mise au point et adresse : CRA-Nord/INRAB
Auteurs : Chabi Gouro YALLOU
Année de génération : 1990
Sources de financement : IITA, Budget National
Zone d’application de la technologie : Borgou, Donga, Sud Alibori et Sud et Est Atacora
Bénéficiaires : producteurs, entreprises semencières, commerçants, restaurateurs et consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : variété très productive
Contraintes potentielles à l’adoption : néant
Rendement de la technologie : 6 t/ha
Rentabilité : 291 000 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 189 000 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 11 250 FCFA/ha de semence
Main d’œuvre nécessaire : 44,5 HJ/ha

C’est une variété à grains blancs et de cycle tardif (110 jours). Elle fleurit déjà à 65 jours et a une hauteur de la plante : 198 cm. La hauteur d’insertion épi : 105 cm. Son rendement potentiel : 6 t/ha. Rendement moyen en milieu paysan : 4 t/ha. Poids de 1000 graines : 320 grammes. Résistance à la casse : très bonne. Résistance à la striure : bonne. Résistance à la rouille américaine : bonne. Résistance à l’helminthosporiose : bonne. Résistance au Striga hermonthica : modérée. Tolérance aux ravageurs : bonne. Elle a une tolérance modérée à la sécheresse, un très bon recouvrement de l’épi. Les grains sont de type denté, de texture mi vitreuse - mi farineuse. Elle est apte pour les mets locaux.






Perspectives :

Elaborer et multiplier les fiches techniques et les Référentiels Technico-Economiques pour une large diffusion de la variété

Structure de mise au point et adresse : CRA-Nord/INRAB
Auteurs : Chabi Gouro YALLOU
Année de génération : 2009
Sources de financement : IITA, Budget National
Zone d’application de la technologie : Borgou, Donga, Sud Alibori et Sud et Est Atacora
Bénéficiaires : producteurs, entreprises semencières, commerçants, restaurateurs et consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : variété productive
Contraintes potentielles à l’adoption : néant
Rendement de la technologie : 6 t/ha
Rentabilité : 291 000 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 189 000 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 11 250 FCFA/ha de semence
Main d’œuvre nécessaire : 47,25 HJ/ha

C’est une variété à grains blancs et de cycle intermédiaire (105 jours). La floraison s’observe à 60 jours après semis. La hauteur totale de la plante est de 200 cm       tandis que la hauteur à l’insertion de l’épi est de 108 cm. Son rendement potentiel est 5 t/ha tandis que le rendement moyen en milieu paysan est 3,5 t/ha. Le poids de 1000 grains est 300 grammes. Elle a une bonne résistance à la casse, à la striure, à la rouille américaine, à l’helminthosporiose. La résistance au Striga hermonthica est modérée. Sa tolérance à la sécheresse est modérée. Elle tolère les ravageurs. Le type de grain est denté-corné et sa texture est mi vitreuse - mi farineuse. Elle est riche en acides aminés indispensables à l’organisme (lysine et tryptophane). Elle s’apprête à tous les mets locaux sauf qu’elle est passable comme maïs frais.






Perspectives :

Elaborer et multiplier les fiches techniques et les Référentiels Technico-Economiques pour une large diffusion de la variété

Structure de mise au point et adresse : CRA-Nord/INRAB
Auteurs : Chabi Gouro YALLOU
Année de génération : 1998
Sources de financement : IITA, Budget National
Zone d’application de la technologie : tout le Nord, les Collines et les Départements du Zou, du Plateau et du Couffo si semé très tôt au démarrage des pluies
Bénéficiaires : producteurs, entreprises semencières, commerçants, restaurateurs et consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : variété productive et riche en protéine lysine et tryptophane.
Contraintes potentielles à l’adoption : néant
Rendement de la technologie : 5 t/ha
Rentabilité : 231 000 FCFA
Coût estimatif de l’investissement initial : 189 000 FCFA
Coût d’utilisation : 11 250 FCFA/ha de semence
Main d’œuvre nécessaire : 47,25 HJ/ha

C’est une variété à grains blancs et de cycle précoce (90 jours). Elle fleurit 47 jours après semis. Sa hauteur totale est de 170 cm tandis que celle de l’insertion de l’épi est 80 cm. Son rendement potentiel est 4,5 t/ha tandis que le rendement moyen en milieu paysan est égal à 3 t/ha. Le poids de 1000 grains est 310 grammes. C’est une variété qui a une bonne résistance à la casse, à la striure, à la rouille américaine, à l’helminthosporiose, au Striga hermonthica. Elle est tolérante aux ravageurs et à la sécheresse. Elle a des épis très bien recouverts par les spathes. Le type de grain est corné-denté et la texture du grain est mi vitreuse - mi farineuse. Elle est bonne pour faire les mets locaux.






Perspectives :

Elaborer et multiplier les fiches techniques et les Référentiels Technico-Economiques pour une large diffusion de la variété

Structure de mise au point et adresse : CRA-Nord/INRAB
Auteurs : Chabi Gouro YALLOU
Année de génération : 1997
Sources de financement : IITA, Budget National
Zone d’application de la technologie : tous les départements sauf le Littoral
Bénéficiaires : producteurs, entreprises semencières, commerçants, restaurateurs et consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : variété précoce tolérante à la sécheresse
Contraintes potentielles à l’adoption : néant
Rendement de la technologie : 4,5 t/ha
Rentabilité : 183 500 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 176 500 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 11 250 FCFA/ha de semence
Main d’œuvre nécessaire : 47,25 HJ/ha

C’est une variété à grains blancs et de cycle précoce (90 jours). Elle fleurit déjà à 48 jours et a une hauteur totale de 170 cm. La hauteur d’insertion épi : 85 cm. Son rendement potentiel : 4 t/ha. Rendement moyen en milieu paysan : 3 t /ha. Poids de 1000 graines : 300 grammes. Elle est résistante à la casse, à la striure, à la rouille américaine, à l’helminthosporiose mais sensible au Striga hermonthica et à la sécheresse. Elle est tolérante aux ravageurs et possède un très bon recouvrement de l’épi. Les grains sont de type denté, de texture : mi vitreuse - mi farineuse.






Perspectives :

Elaborer et multiplier les fiches techniques et les Référentiels Technico-Economiques pour une large diffusion de la variété

Structure de mise au point et adresse : CRA-Nord/INRAB
Auteurs : Chabi Gouro YALLOU
Année de génération : 1990
Sources de financement : IITA, Budget National
Zone d’application de la technologie : tous les départements sauf le Littoral
Bénéficiaires : producteurs, entreprises semencières, commerçants, restaurateurs et consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : sa précocité et son rendement, variété farineuse
Contraintes potentielles à l’adoption : néant
Rendement de la technologie : 4 t/ha
Rentabilité : 183 500 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 176 500 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 11 250 FCFA/ha de semence
Main d’œuvre nécessaire : 47,25 HJ/ha

Variété à grains blancs à laquelle a été incorporé les protéines de qualité (lysine et tryptophane). Elle a un cycle précoce (90 jours) et fleurit à 48 jours après semis. La hauteur totale de la plante est 167 cm et celle d’insertion de l’épi 72 cm. Le rendement potentiel est 4 t/ha et le rendement moyen en milieu paysan 3 t/ha. Le poids de 1000 graines est 300 grammes. C’est une variété résistante à la casse, à la striure, à la rouille américaine, à l’helminthosporiose. Sa résistance au Striga hermonthica est modérée. Elle est tolérante aux ravageurs et à la sécheresse. Le grain est de type denté et sa texture est mi vitreuse - mi farineuse. Elle présente une bonne aptitude aux mets locaux.






Perspectives :

Elaborer et multiplier les fiches techniques et les Référentiels Technico-Economiques pour une large diffusion de la variété

Structure de mise au point et adresse : CRA-Nord/INRAB
Auteurs : Chabi Gouro YALLOU
Année de génération : 1992
Sources de financement : IITA, Budget National
Zone d’application de la technologie : Tous les Départements sauf le Littoral.
Bénéficiaires : producteurs, entreprises semencières, commerçants, restaurateurs et consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : variété précoce et riche en protéine de qualité
Contraintes potentielles à l’adoption : néant
Rendement de la technologie : 4 t/ha
Rentabilité : 183 500 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 176 500 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 11 250 FCFA/ha de semence
Main d’œuvre nécessaire : 47,25 HJ/ha

La Miss Ina est une variété à grains jaunes et précoce (90 jours). Elle fleurit à 50 jours. Sa hauteur totale est évaluée à 175 cm et celle d’insertion de l’épi à 81 cm. Son rendement potentiel est 4 t/ha et celui en milieu paysan est 3 t/ha. Le poids de 1000 grains avoisine 300 grammes. Elle est résistante à la casse, à la striure, à la rouille américaine, à l’helminthosporiose. Sa résistance au Striga hermonthica est modérée. Elle est tolérante aux ravageurs et à la sécheresse. Les grains sont de type denté et leur texture est mi vitreuse - mi farineuse. La variété contient la lysine et le tryptophane, deux protéines de qualité. Elle contient également de Bêta carotène, précurseur de la vitamine A ; ce qui lui confère sa qualité nutritionnelle. Elle s’apprête très bien pour les mets locaux (akassa, pâte, bouillie et excellent maïs consommé frais (bouilli ou braisé).






Perspectives :

Elaborer et multiplier les fiches techniques et les Référentiels Technico-Economiques pour une large diffusion de la variété

Structure de mise au point et adresse : CRA-Nord/INRAB
Auteurs : Chabi Gouro YALLOU
Année de génération : 1994
Sources de financement : IITA, Budget National
Zone d’application de la technologie : Tous les Départements du Bénin sauf le Littoral
Bénéficiaires : producteurs, entreprises semencières, commerçants, restaurateurs et consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : variété précoce, riche en provitamine A, en lysine et en tryptophane. Vendu frais pour les consommateurs surtout urbains
Contraintes potentielles à l’adoption : néant
Rendement de la technologie : 4 t/ha
Rentabilité : 183 500 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 176 500 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 11 250 FCFA/ha de semence
Main d’œuvre nécessaire : 47,25 HJ/ha

C’est une variété extra-précoce (80 jours) à grains blancs. Elle fleurit à 40 jours. Sa hauteur est 170 cm et l’épi se situe à 80 cm de haut. Son rendement potentiel est 4 t/ha et celui en milieu paysan est de 2,5 t/ha. Le poids de 1000 grains est de 230 grammes. Elle est résistante à la casse, à la striure, à la rouille américaine et à l’helminthosporiose. Elle est modérément résistante au Striga hermonthica et à la sécheresse. Elle tolère les ravageurs. Ses grains sont de type corné et de texture vitreuse. Elle est apte aux mets locaux et plus à l’akassa, la pâte et la bouillie.






Perspectives :

Elaborer et multiplier les fiches techniques et les Référentiels Technico-Economiques pour une large diffusion de la variété

Structure de mise au point et adresse : CRA-Nord/INRAB
Auteurs : Chabi Gouro YALLOU
Année de génération : 2000
Sources de financement : IITA, Budget National
Zone d’application de la technologie : partout au Bénin et plus spécialement dans l’extrême nord et en petite saison pluvieuse au sud du Bénin
Bénéficiaires : producteurs, entreprises semencières, commerçants, restaurateurs et consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : variété extra-précoce
Contraintes potentielles à l’adoption : néant
Rendement de la technologie : 4 t/ha
Rentabilité : 131 000 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 164 000 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 11 250 FCFA/ha de semence
Main d’œuvre nécessaire : 47,25 HJ/ha

La variété est extra-précoce (80 jours) et à grains blancs. Son cycle du semis à la floraison est de 48 jours après semis. La hauteur de la plante est de 150 cm et la hauteur d’insertion de l’épi est 60 cm. Son rendement potentiel est 3 t/ha et le rendement moyen en milieu paysan est de 2,5 t/ha. Le poids de 1000 graines est de 230 grammes. Elle est résistante à la casse, à la striure, à la rouille américaine et à l’helminthosporiose. La résistance au Striga hermonthica est modérée. Sa tolérance aux ravageurs est bonne et celle à la sécheresse est modérée. Le grain est de type corné-denté et sa texture est vitreuse. C’est une variété apte aux mets locaux.






Perspectives :

Elaborer et multiplier les fiches techniques et les Référentiels Technico-Economiques pour une large diffusion de la variété

Structure de mise au point et adresse : CRA-Nord/INRAB
Auteurs : Chabi Gouro YALLOU
Année de génération : 1990
Sources de financement : IITA, Budget National
Zone d’application de la technologie : extrême nord du Bénin et en petite saison pluvieuse au sud du Bénin
Bénéficiaires : producteurs, entreprises semencières, commerçants, restaurateurs et consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : variété extra-précoce
Contraintes potentielles à l’adoption : néant
Rendement de la technologie : 3 t/ha
Rentabilité : 131 000 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 164 000 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 11 250 FCFA/ha de semence
Main d’œuvre nécessaire : 47,25 HJ/ha

La variété est extra-précoce (80 jours) et à grains blancs. Son cycle du semis à la floraison est de 48 jours après semis. La hauteur de la plante est de 150 cm et la hauteur d’insertion de l’épi est 60 cm. Son rendement potentiel est 3 t/ha et le rendement moyen en milieu paysan est de 2,5 t/ha. Le poids de 1000 graines est de 230 grammes. Elle est résistante à la casse, à la striure, à la rouille américaine et à l’helminthosporiose. La résistance au Striga hermonthica est modérée. Sa tolérance aux ravageurs est bonne et celle à la sécheresse est modérée. Le grain est de type corné-denté et sa texture est vitreuse. C’est une variété apte aux mets locaux.






Perspectives :

Elaborer et multiplier les fiches techniques et les Référentiels Technico-Economiques pour une large diffusion de la variété

Structure de mise au point et adresse : CRA-Nord/INRAB
Auteurs : Chabi Gouro YALLOU
Année de génération : 1990
Sources de financement : IITA, Budget National
Zone d’application de la technologie : extrême nord du Bénin et en petite saison pluvieuse au sud du Bénin
Bénéficiaires : producteurs, entreprises semencières, commerçants, restaurateurs et consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : variété extra-précoce
Contraintes potentielles à l’adoption : néant
Rendement de la technologie : 3 t/ha
Rentabilité : 131 000 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 164 000 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 11 250 FCFA/ha de semence
Main d’œuvre nécessaire : 47,25 HJ/ha

Méthode/pratique culturale : pratiquer la rotation de cultures et/ou la culture intercalaire

Utilisation des plantes pièges

Lutte mécanique : destruction des plants de striga avant leur floraison

Utilisation de variétés tolérantes






Perspectives :

Elaborer et multiplier les fiches techniques et les Référentiels Technico-Economiques pour une large diffusion de la variété

Structure de mise au point et adresse : CRA-A/INRAB
Auteurs : Gualbert GBEHOUNOU
Année de génération : 2005
Sources de financement : IITA, Budget National
Zone d’application de la technologie : Départements de l’Alibori et de l’Atacora, surtout où l’adventice est devenue endémique. Les Départements du Borgou et de la Donga et la commune de Zakpota dans le Zou.
Bénéficiaires : producteurs, entreprises semencières, fermes agricoles
Avantages potentiels de l’adoption : réduction de façon significative la pression de cette herbe parasite dans les champs
Contraintes potentielles à l’adoption : néant
Rendement de la technologie : 4t/ha
Rentabilité : 131 000 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 164 000 FCFA/ha
Coût d’utilisation : ....
Main d’œuvre nécessaire : 47,25 HJ/ha

Maïs + Mucuna sous couverture végétale (utilisation de la canne planteuse) pour la fertilisation en vue de l'augmentation du rendement






Perspectives :

Elaborer et multiplier les fiches techniques et les Référentiels Technico-Economiques pour une large diffusion

Installer des parcelles de démonstration

Structure de mise au point et adresse : CRA-Centre/INRAB
Auteurs : Firmin AMADJI
Année de génération : 2005
Sources de financement : DANIDA, Budget National
Zone d’application de la technologie : Les départements du sud du Bénin
Bénéficiaires : producteurs, fermes agricoles
Avantages potentiels de l’adoption : semis du maïs et épandage simultané d'engrais avec la canne planteuse (gain du temps) ; amélioration du rendement ; suppression de l'érosion et amélioration de l'humidité du sol ; amélioration de la fertilité.
Contraintes potentielles à l’adoption : Non disponibilité d'une canne planteuse adaptée ; difficulté de sarclage sur la parcelle paillée ; feu de végétation ; difficulté de recépage.
Rendement de la technologie : 4 t/ha
Rentabilité : 183 500 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 176 500 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 11 250 FCFA/ha de semence
Main d’œuvre nécessaire : 44,5 HJ/ha

La pratique consiste à faire le semis à plat du maïs en année 1 et 2 avec application de 200 kg/ha de NPK ; le Cajanus cajan est installé en année 1 en considérant 3 lignes de Cajanus intercallées par 10 lignes de maïs et installation de Cajanus, de Moringa ou autres essences agroforestières (Senna, Jatropha...) en bordure de la parcelle en année 1.  Après récolte des graines de Cajanus en année 3, procèder aux émondages de Cajanus et des autres essences agroforestières, suivis d'épandage des émondes sous forme de mulch. Utilisation de la canne planteuse pour le semis du maïs en même temps que l'épandage des engrais 200 Kg/ha de NPK et 100 kg/ha d’urée.






Perspectives :

Elaborer et multiplier les fiches techniques et les Référentiels Technico-Economiques pour une large diffusion

Installer des parcelles de démonstration

Structure de mise au point et adresse : CRA-Centre/INRAB
Auteurs : Firmin AMADJI
Année de génération : 2013
Sources de financement : DANIDA, Budget National
Zone d’application de la technologie : Département des Collines
Bénéficiaires : producteurs, commerçants, fermes agricoles
Avantages potentiels de l’adoption : semis du maïs et épandage simultané d'engrais avec la canne planteuse (gain du temps) ; amélioration du rendement ; suppression de l'érosion et amélioration de l'humidité du sol ; amélioration de la fertilité.
Contraintes potentielles à l’adoption : Non disponibilité d'une canne planteuse adaptée ; difficulté de sarclage sur la parcelle paillée ; feu de végétation ; difficulté de recépage.
Rendement de la technologie : 2,5-3 t/ha
Rentabilité : 163 500 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 196 500 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 60 000 FCFA : coût d’acquisition de la canne planteuse
Main d’œuvre nécessaire : 67 HJ/ha

La pratique consiste à installer à plat le maïs semé à écartement habituel, de 0,80 m x 0,40 m, associé au Mucuna pruriens, semé 45 jours après le maïs ; installation de Moringa ou autres essences agroforestières (Senna, Jatropha.) en bordure de la parcelle en année 1 ; semis du maïs et épandage de 200 kg/ha de NPK et 100 kg/ha d'Urée en année 2 sur mulch à l'aide de la canne planteuse.






Perspectives :

Elaborer et multiplier les fiches techniques et les Référentiels Technico-Economiques pour une large diffusion

Installer des parcelles de démonstration

Structure de mise au point et adresse : CRA-Centre/INRAB
Auteurs : Firmin AMADJI
Année de génération : 2013
Sources de financement : DANIDA, Budget National
Zone d’application de la technologie : Départements du Sud Bénin
Bénéficiaires : producteurs, commerçants, fermes agricoles
Avantages potentiels de l’adoption : semis du maïs et épandage simultané d'engrais avec la canne planteuse (gain du temps) ; amélioration du rendement ; suppression de l'érosion et amélioration de l'humidité du sol ; amélioration de la fertilité.
Contraintes potentielles à l’adoption : non disponibilité d'une canne planteuse adaptée ; difficulté de sarclage sur la parcelle paillée ; feu de végétation ; difficulté de recépage.
Rendement de la technologie : 2,5-3 t/ha
Rentabilité : 163 500 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 196 500 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 60 000 FCFA : coût d’acquisition de la canne planteuse
Main d’œuvre nécessaire : 67 HJ/ha

La pratique consiste à installer à plat le maïs semé à écartement habituel, de 0,80 m x 0,40 m, associé à Aeschynomene histrix semé une semaine après le maïs. On procède aussi à l'installation de Moringa ou autres essences agroforestières (Senna, Jatropha...) en bordure de la parcelle en année 1.  Semis du maïs et épandage de 200 kg/ha de NPK et 100 kg/ha d'Urée en année 2 sur mulch à l'aide de la canne planteuse.






Perspectives :

Elaborer et multiplier les fiches techniques et les Référentiels Technico-Economiques pour une large diffusion

Installer des parcelles de démonstration

Structure de mise au point et adresse : CRA-Centre/INRAB
Auteurs : Firmin Amadji
Année de génération : 2013
Sources de financement : DANIDA, Budget National
Zone d’application de la technologie : Sud Bénin
Bénéficiaires : producteurs, commerçants, fermes agricoles
Avantages potentiels de l’adoption : semis du maïs et épandage simultané d'engrais avec la canne planteuse (gain du temps) ; amélioration du rendement ; suppression de l'érosion et amélioration de l'humidité du sol ; amélioration de la fertilité.
Contraintes potentielles à l’adoption : Non disponibilité d'une canne planteuse adaptée ; difficulté de récolte des graines d'Aeschynomene ; difficulté de sarclage sur la parcelle paillée, feu de végétation, difficulté de recépage ; Inexistence de marché d’écoulement des graines d'Aeschynomene.
Rendement de la technologie : 2-2,5 t/ha
Rentabilité : 163 500 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 196 500 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 60 000 FCFA : coût d’acquisition de la canne planteuse
Main d’œuvre nécessaire : 67 HJ/ha

La pratique consiste à installer à plat le maïs semé à écartement habituel, de 0,80 m x 0,40 m, associé au Stylosanthes guianensis semé une semaine après le maïs. Installation de Moringa ou d’autres essences agroforestières (Senna, Jatropha...) en bordure de la parcelle en année 1.  Semis du maïs et épandage de 200 kg/ha de NPK et 100 kg/ha d'Urée en année 2 sur mulch  à l'aide de la canne planteuse.






Perspectives :

Elaborer et multiplier les fiches techniques et les Référentiels Technico-Economiques pour une large diffusion

Installer des parcelles de démonstration

Structure de mise au point et adresse : CRA-Centre/INRAB
Auteurs : Firmin AMADJI
Année de génération : 2013
Sources de financement : DANIDA, Budget National
Zone d’application de la technologie : Département des Collines
Bénéficiaires : producteurs, commerçants, fermes agricoles
Avantages potentiels de l’adoption : semis du maïs et épandage simultané d'engrais avec la canne planteuse (gain du temps) ; amélioration du rendement ; suppression de l'érosion et amélioration de l'humidité du sol ; amélioration de la fertilité.
Contraintes potentielles à l’adoption : non disponibilité d'une canne planteuse adaptée ; difficulté de récolte des graines de Stylosanthes ; inexistence de marché d’écoulement des graines de Stylosanthes.
Rendement de la technologie : 2-2,5 t/ha
Rentabilité : 163 500 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 196 500 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 60 000 FCFA : coût d’acquisition de la canne planteuse
Main d’œuvre nécessaire : 67 HJ/ha

Gambari-lifin, est une farine fine issue du grain de maïs décortiqué-dégermé mais moins connue que la farine ordinaire (lifin) du grain entier. Cette farine est utilisée pour préparer une pâte cuite consommée avec diverses sauces. Elle peut être aussi utilisée, mixée avec la farine de blé, en pâtisserie et en boulangerie. Les opérations unitaires de production du gambari-lifin de bonne qualité comprennent l’humectage, le décorticage/dégermage, le vannage, le trempage-la fermentation, la mouture, le séchage au soleil et le tamisage. Le séchage du gambari-lifin est fait avec un séchoir qui protège le produit contre les contaminations.






Perspectives :

Elaborer et multiplier les fiches techniques et les Référentiels Technico-Economiques pour une large diffusion

Former des entrepreneurs qui aimeraient s’investir dans ce domaine

Structure de mise au point et adresse : CRA-A/INRAB
Auteurs : Paul HOUSSOU
Année de génération : 2014
Sources de financement : PPAAO, Budget National
Zone d’application de la technologie : tout le Bénin
Bénéficiaires : transformateurs, boulangers, pâtissiers, commerçants
Avantages potentiels de l’adoption : gambari-lifin amélioré augmente le rendement de production de 10% environ par rapport à la pratique traditionnelle, se conserve mieux et garantie une bonne qualité sanitaire
Contraintes potentielles à l’adoption : coût relativement élevé du séchoir approprié pour la production du gambari-lifin amélioré ; difficulté d'approvisionnent en emballage de conditionnement.
Rendement de la technologie : 70-75% avec un gain de temps de 44 heures 35 minutes
Rentabilité : 18730 FCFA/100 Kg de maïs
Coût estimatif de l’investissement initial : 16.573 FCFA/100 kg de maïs grain transformé.
Coût d’utilisation : 650 FCFA/sachet de 500 g
Main d’œuvre nécessaire : 3,8 HJ/100 kg de maïs grain

Le grenier amélioré en matériaux végétaux comprend une toiture, une cage circulaire et des supports. La toiture est faite de paille dans laquelle une ouverture est créée pour le chargement. La cage circulaire est faite le plus souvent de bambou ou de mallotus tressé. Une autre ouverture est aussi créée au niveau de la cage circulaire pour favoriser le déchargement. La plate-forme est le plus souvent plate et parfois conique ; supportée par des poteaux (pieux) munis d'un dispositif d'anti-rats. Ces pieux sont renforcés par des montants de 1,5 m de hauteur. Ce type de grenier a une durée de vie moyenne de 8 ans contre 2 ans maximum pour le grenier traditionnel en matériaux végétaux. Ce type de grenier amélioré permet de réduire à 5% les pertes au stockage contre 30% en moyenne pour la pratique traditionnelle de stockage. Le grenier amélioré en matériaux végétaux est utilisé pour le stockage du maïs en épis, pratiqué surtout dans les régions à deux saisons pluvieuses et deux saisons sèches où le maïs de la grande saison pluvieuse est séché et pré-stocké en épis.






Perspectives :

Elaborer et multiplier les fiches techniques et les Référentiels Technico-Economiques pour une large diffusion

Former les producteurs à la fabrication des greniers améliorés en matériaux végétaux tressés.

Structure de mise au point et adresse : CRA-A/INRAB
Auteurs : Pascal FANDOHAN
Année de génération : 2000
Sources de financement : PADSA, Budget National
Zone d’application de la technologie : départements du Sud Bénin
Bénéficiaires : producteurs, commerçants, fermes agricoles
Avantages potentiels de l’adoption : réduction des pertes post-récolte à 5% contre 30% en moyenne pour la pratique traditionnelle ; disponibilité des matériaux dans les villages ; durée de vie de 8 ans contre 2 ans pour le grenier traditionnel
Contraintes potentielles à l’adoption : attaque des insectes, exposition aux feux de brousse
Rendement de la technologie : 5% de perte seulement
Rentabilité : ....
Coût estimatif de l’investissement initial : ...
Coût d’utilisation : 40.000 FCFA
Main d’œuvre nécessaire : 12HJ

Une technique de production d'aklui stabilisé, séché et prêt à l'emploi, a été développée et une unité semi-industrielle pilote, partiellement mécanisée, a été mise en œuvre pour tester le marché de ce produit. Ce sont des granulés fermentés et séchés de mawè destinés à la préparation de la bouillie Aklui.






Perspectives :

Susciter l’intérêt des privés à s’investir dans la fabrication et la commercialisation de l’équipement (rouleur-calibreur)

Elaborer et multiplier les fiches techniques et les Référentiels Technico-Economiques pour une large diffusion

Structure de mise au point et adresse : FSA/UAC
Auteurs : Mathurin NAGO
Année de génération : 1999
Sources de financement : ...
Zone d’application de la technologie : tout le Bénin
Bénéficiaires : transformateurs de maïs, mil, sorgho, commerçants, supermarchés, consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : facile à transporter et à conserver. Longue durée de conservation et d’utilisation.
Contraintes potentielles à l’adoption : néant
Rendement de la technologie : 125kg/semaine
Rentabilité : Marge nette : 20 600 FCFA/semain
Coût estimatif de l’investissement initial : 132 465 FCFA/semaine
Coût d’utilisation : ...
Main d’œuvre nécessaire : 18 HJ/semaine

Le grenier amélioré en terre fermé comprend une toiture et une cage circulaire en terre fermé. La toiture est en paille. La cage correspond ici à un corps fait de terre de termitière à laquelle on mélange des herbes tendres hachées pour qu'il se consolide. Le corps prend l'allure circulaire. Il est muni de vannes de vidange dans sa partie inférieure. La plate-forme est un socle plat et bas, le plus souvent fait de ciment. Ce type de grenier a une durée de vie moyenne de 20 ans. Ce type de grenier amélioré permet de réduire à 1% les pertes au stockage contre 30% en moyenne pour la pratique traditionnelle de stockage. Le grenier amélioré en terre est utilisé pour le stockage du maïs grain.






Perspectives :

Elaborer et multiplier les fiches techniques et les Référentiels Technico-Economiques pour une large diffusion

Former les producteurs à la fabrication des greniers améliorés en terre fermée.

Structure de mise au point et adresse : CRA-A /INRAB
Auteurs : Pascal FANDOHAN
Année de génération : 2000
Sources de financement : PADSA, Budget National
Zone d’application de la technologie : départements du Sud Bénin
Bénéficiaires : producteurs, commerçants, fermes agricoles
Avantages potentiels de l’adoption : réduction des pertes post-récolte jusqu'à 1% contre 30% en moyenne pour la pratique traditionnelle ; la terre de termitière pour construire le grenier est disponible dans les villages, près des producteurs ; la durée de vie du grenier en terre fermé est supérieure (20 ans) à la durée de vie du grenier traditionnel en matériaux végétaux qui a une durée moyenne de 2 ans.
Contraintes potentielles à l’adoption : attaques des insectes et des termites, besoin important en eau
Rendement de la technologie : 1 % de perte au maximum contre 20 à 50 % pour les greniers traditionnels
Rentabilité : ...
Coût estimatif de l’investissement initial : 50 000 FCFA
Coût d’utilisation : ...
Main d’œuvre nécessaire : 21 HJ

Ses caractéristiques agronomiques sont : bon tallage, précoce, hauteur moyenne, rendement potentiel : 4,5 t/ha, rendement moyen en milieu paysan : 2 t/ha, poids de 1000 grains : 31 g, résistance assez bonne à la pyriculariose, résistance moyenne aux insectes et à la verse, sensible à la sécheresse. Les caractéristiques morphologiques sont : caryopse long, fusiforme, blanc, longueur du grain : 6.5 mm, largeur du grain : 2.6 mm, couleur de l’apex noir/pourpre. Ses aptitudes technologiques sont : rendement à l’usinage : 62%, teneur élevée en amylose, température de gélatinisation : Intermédiaire, temps de cuisson : 19 mn, bonne qualité de cuisson, aromatique,






Perspectives :

Appuyer la chaîne semencière

Structure de mise au point et adresse : CRA-Sud/INRAB
Auteurs : Paulin ASSIGBE
Année de génération : 2000
Sources de financement : AfricaRice et Budget National
Zone d’application de la technologie : tout le Bénin
Bénéficiaires : producteurs, transformateurs, commerçants, supermarchés, consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : très productive et aromatisée
Contraintes potentielles à l’adoption : néant
Rendement de la technologie : 4,5 t/ha
Rentabilité : 263 000 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 412 000 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 350 FCFA le kg de semences certifiées
Main d’œuvre nécessaire : 54,75HJ/ha

Ses caractéristiques agronomiques sont : bon tallage, épiaison et maturité précoces, hauteur moyenne, rendement potentiel 4,5 t/ha, rendement moyen en milieu paysan 2 t/ha, poids de 1000 grains : 31 g, assez bonne résistance à la pyriculariose, moyenne aux insectes et à la verse, sensible à la sécheresse. Du point de vue de sa morphologie, son caryopse est long, fusiforme et blanc, la longueur du grain est de 6,9 mm et sa largeur est de 2,6 mm. La couleur de l’apex est noir/pourpre. Du point de vue aptitude technologique, son rendement à l’usinage : 62%, teneur en amylose : élevée, la température de gélatinisation est intermédiaire, le temps de cuisson : 20 mn, la qualité de cuisson est bonne. C’est une variété non aromatisée.






Perspectives :

Appuyer la chaîne semencière

Structure de mise au point et adresse : CRA-Sud/INRAB
Auteurs : Paulin ASSIGBE
Année de génération : 2000
Sources de financement : AfricaRice et Budget National
Zone d’application de la technologie : tout le Bénin
Bénéficiaires : producteurs, transformateurs, commerçants, supermarchés, consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : très productive
Contraintes potentielles à l’adoption : absence d’arome
Rendement de la technologie : 4,5 t/ha
Rentabilité : 263 000 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 412 000 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 350 FCFA/ kg de semences certifiées
Main d’œuvre nécessaire : 54,75HJ/ha

Ses caractéristiques agronomiques sont : bon tallage, variété précoce, hauteur moyenne, Le rendement potentiel est 4 t/ha et celui en milieu paysan est de 2 t/ha. Le poids de 1000 grains est 29 g. Sa résistance à la pyriculariose est assez bonne et moyenne vis-à-vis des insectes et de la verse. Elle est sensible à la sécheresse. Du point de vue morphologique, son caryopse est long, fusiforme et de couleur blanche. La longueur du grain : 6.9 mm, sa largeur 2,6 mm. Les aptitudes technologiques sont : le rendement à l’usinage : 63%, la teneur en amylose est élevée, la température de gélatinisation est intermédiaire et le temps de cuisson de 20 mn. La qualité de cuisson est bonne, mais la variété n’est pas aromatique.






Perspectives :

Appuyer la chaîne semencière

Structure de mise au point et adresse : CRA-Sud/INRAB
Auteurs : Paulin ASSIGBE
Année de génération : 2000
Sources de financement : AfricaRice et Budget National
Zone d’application de la technologie : tout le Bénin
Bénéficiaires : producteurs, transformateurs, commerçants, supermarchés, consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : très productive
Contraintes potentielles à l’adoption : absence d’arome
Rendement de la technologie : 4 t/ha
Rentabilité : 188000 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 412 000 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 350 FCFA / kg de semences certifiées
Main d’œuvre nécessaire : 54,75HJ/ha

Ses caractéristiques agronomiques sont : bon tallage, variété précoce, hauteur moyenne, rendement potentiel 5 t/ha tandis qu’en milieu paysan, il est de 2,5 t/ha. Le poids de 1000 grains est de 29 g. Sa résistance à la pyriculariose est assez bonne, mais moyenne vis-à-vis des insectes et de la verse. Elle ne tolère pas la sécheresse. Au niveau de sa morphologie, son caryopse est long, fusiforme et de couleur blanche. Le grain a une longueur de 6,5 mm et une largeur de 2,6 mm . La couleur de l’apex est noire/pourpre. En ce qui concerne les aptitudes technologiques, son rendement à l’usinage est 63%, la teneur en amylose est élevée et la température de gélatinisation est intermédiaire. Le temps de cuisson est de 21 mn. La cuisson est bonne, mais c’est une variété non aromatique.






Perspectives :

Appuyer la chaîne semencière

Structure de mise au point et adresse : CRA-Sud/INRAB
Auteurs : Paulin ASSIGBE
Année de génération : 2000
Sources de financement : AfricaRice et Budget National
Zone d’application de la technologie : tout le Bénin
Bénéficiaires : producteurs, transformateurs, commerçants, supermarchés, consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : très productive
Contraintes potentielles à l’adoption : absence d’arome
Rendement de la technologie : 5 t/ha
Rentabilité : 338000 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 412 000 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 350 FCFA / kg de semences certifiées
Main d’œuvre nécessaire : 54,75HJ/ha

Ses caractéristiques agronomiques sont : très bon tallage, cycle moyen de même que la hauteur de la plante, rendement potentiel : 7 t/ha et moyen en milieu paysan 3,5 t/ha. Le poids de 1000 grains est de 30 g. La résistance à la pyriculariose est assez bonne. La résistance aux insectes et à la verse est moyenne. Elle ne tolère pas la sécheresse. Les caractères morphologiques sont : caryopse long, très fusiforme et de couleur blanche. Le grain a une longueur de 10,40 mm et une largeur de 2,40 mm. Les aptitudes technologiques sont : rendement à l’usinage : 62,1%, teneur élevée en amylose, la température de gélatinisation est intermédiaire, le temps de cuisson est 19 mn et la qualité de cuisson est bonne. Elle ne possède pas d’arome spécial.






Perspectives :

Appuyer la chaîne semencière

Structure de mise au point et adresse : CRA-Sud/INRAB
Auteurs : Cyriaque AKAKPO
Année de génération : 2006
Sources de financement : AfricaRice et Budget National
Zone d’application de la technologie : tous les bas-fonds le Bénin
Bénéficiaires : producteurs, transformateurs, commerçants, supermarchés, consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : très productive
Contraintes potentielles à l’adoption : absence d’arome
Rendement de la technologie : 7 t/ha
Rentabilité : 638 000 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 412 000 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 350 FCFA / kg de semences certifiées
Main d’œuvre nécessaire : 54,75HJ/ha

Ses caractéristiques agronomiques sont : très bon tallage, cycle moyen, hauteur moyenne, rendement potentiel : 6 t/ha, rendement moyen en milieu paysan : 4 t/ha, poids de 1000 grains : 31 g, résistance à la pyriculariose : assez bonne, résistance aux insectes : moyenne, tolérance à la sécheresse : mauvaise, résistance à la verse : moyenne. Les caractères morphologiques : caryopse long, très fusiforme et de couleur blanche. La longueur du grain est 10,40 mm et sa largeur 2,40 mm. Comme aptitudes technologiques : rendement à l’usinage : 62%, teneur élevée en amylose, température de gélatinisation est intermédiaire. Le temps de cuisson est de 19 mn et sa qualité est bonne. La variété est non aromatique.






Perspectives :

Appuyer la chaîne semencière

Structure de mise au point et adresse : CRA-Sud/INRAB
Auteurs : Cyriaque AKAKPO
Année de génération : 2006
Sources de financement : AfricaRice et Budget National
Zone d’application de la technologie : tous les bas-fonds du Bénin Bénéficiaires : producteurs, transformateurs, commerçants, supermarchés, consommateurs
Bénéficiaires : ...
Avantages potentiels de l’adoption : très productive
Contraintes potentielles à l’adoption : absence d’arome
Rendement de la technologie : 6 t/ha
Rentabilité : 404000 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 412 000 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 350 FCFA/kg de semences certifiées
Main d’œuvre nécessaire : 54,75 HJ/ha

Ses caractéristiques agronomiques sont : tallage : très bon, variété tardive, hauteur moyenne, rendement potentiel 8 t/ha, rendement moyen en milieu paysan : 4,5 t/ha, poids de 1000 grains : 27 g. Assez bonne résistance à la pyriculariose et moyenne aux insectes et à la verse. Elle est très sensible à la sécheresse. Les caractères morphologiques sont : caryopse long, très fusiforme et de couleur blanche. Le grain a une longueur de 8,5 mm et une largeur de 2,2 mm. Les aptitudes technologiques sont : rendement à l’usinage : 65%, teneur élevée en amylose, température de gélatinisation intermédiaire, temps de cuisson : 20 mn. La qualité de cuisson est bonne. Elle est très aromatique.






Perspectives :

Appuyer la chaîne semencière

Structure de mise au point et adresse : SPRR/CRA-Sud/INRAB
Auteurs : Cyriaque AKAKPO
Année de génération : 2006
Sources de financement : AfricaRice et Budget National
Zone d’application de la technologie : tous les bas-fonds du Bénin
Bénéficiaires : producteurs, transformateurs, commerçants, supermarchés, consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : très productive, très aromatique
Contraintes potentielles à l’adoption : néant
Rendement de la technologie : 8 t/ha
Rentabilité : 638 000 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 412 000 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 350 FCFA / kg de semences certifiées
Main d’œuvre nécessaire : 54,75HJ/ha

Ses caractéristiques agronomiques sont : bon tallage, variété précoce, hauteur moyenne, rendement potentiel 6 t/ha, rendement moyen en milieu paysan 3,5 t/ha, poids de 1000 grains 28 g, résistance à la pyriculariose assez bonne, résistance aux insectes moyenne, tolérance à la sécheresse mauvaise, résistance à la verse moyenne. Les caractères morphologiques sont : caryopse long, fusiforme et blanc, longueur du grain 7,3 mm, largeur du grain 2,1 mm. Les aptitudes technologiques sont : rendement à l’usinage : 60%, teneur élevée en amylose, température de gélatinisation intermédiaire, temps de cuisson : 20 mn, qualité de cuisson : bonne. Variété non aromatique.






Perspectives :

Appuyer la chaîne semencière

Structure de mise au point et adresse : CRA-Sud/INRAB
Auteurs : Cyriaque AKAKPO
Année de génération : 2006
Sources de financement : AfricaRice et Budget National
Zone d’application de la technologie : tous les bas-fonds du Bénin
Bénéficiaires : producteurs, transformateurs, commerçants, supermarchés, consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : très productive
Contraintes potentielles à l’adoption : non aromatique
Rendement de la technologie : 6 t/ha
Rentabilité : 638 000 FCFA/ta
Coût estimatif de l’investissement initial : 412 000 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 350 FCFA /kg de semences certifiées
Main d’œuvre nécessaire : 54,75HJ/ha

Ses caractéristiques agronomiques sont : bon tallage, variété précoce, hauteur moyenne, rendement potentiel 6 t/ha, rendement moyen en milieu paysan 3,5 t/ha, poids de 1000 grains 28 g, résistance à la pyriculariose assez bonne, résistance aux insectes moyenne, tolérance à la sécheresse mauvaise, résistance à la verse moyenne. Les caractères morphologiques sont : caryopse long, fusiforme et blanc, longueur du grain 7,3 mm, largeur du grain 2,1 mm. Les aptitudes technologiques sont : rendement à l’usinage : 60%, teneur élevée en amylose, température de gélatinisation intermédiaire, temps de cuisson : 20 mn, qualité de cuisson : bonne. Variété non aromatique.






Perspectives :

Appuyer la chaîne semencière

Structure de mise au point et adresse : CRA-Sud/INRAB
Auteurs : Iliyath BELLO
Année de génération : 2015
Sources de financement : AfricaRice et Budget National
Zone d’application de la technologie : tout le Bénin, comme riz de plateau
Bénéficiaires : producteurs, transformateurs, commerçants, supermarchés, consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : très productive
Contraintes potentielles à l’adoption : non aromatique
Rendement de la technologie : 6 t/ha
Rentabilité : 638 000 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 412 000 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 350 FCFA / kg de semences certifiées
Main d’œuvre nécessaire : 54,75 HJ/ha

Ses caractéristiques agronomiques sont : tallage : bon, cycle moyen, rendement potentiel : 6,5 t/ha, rendement moyen en milieu paysan : 3,5 t/ha, poids de 1000 grains 31,5 g, résistance à la pyriculariose : assez bonne, résistance aux insectes : moyenne, tolérance à la sécheresse : bonne, résistance à la verse : moyenne. Les caractères morphologiques sont : caryopse long, très fusiforme et de couleur blanche. La longueur du grain : 9,7 mm, la largeur du grain : 2,9 mm. Les aptitudes technologiques sont : rendement à l’usinage : 62.3%, taux en volume d’expansion : 3.4, teneur élevée en amylose, température de gélatinisation : Intermédiaire, dureté du grain : 4,9 , valeur d’étalement de l’alcaline : 5,7 , taux d’absorption d’eau : 1,4 , temps de cuisson : 19,5 mn , qualité de cuisson : bonne , variété non aromatique.






Perspectives :

Appuyer la chaîne semencière

Structure de mise au point et adresse : CRA-Sud/INRAB
Auteurs : Iliyath BELLO
Année de génération : 2015
Sources de financement : AfricaRice et Budget National
Zone d’application de la technologie : tout le Bénin, comme riz de plateau
Bénéficiaires : producteurs, transformateurs, commerçants, supermarchés, consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : très productive
Contraintes potentielles à l’adoption : non aromatique
Rendement de la technologie : 6,5 t/ha
Rentabilité : 638 000 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 412 000 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 350 FCFA / kg de semences certifiées
Main d’œuvre nécessaire : 54,75HJ/ha

Ses caractéristiques agronomiques sont : tallage : bon, cycle moyen, rendement potentiel : 6,3 t/ha, rendement moyen en milieu paysan : 3,5 t/ha, poids de 1000 grains 35,5 g, résistance à la pyriculariose : assez bonne, résistance aux insectes : moyenne, tolérante à la sécheresse, résistance moyenne à la verse, Les caractères morphologiques sont : caryopse long, très fusiforme et de couleur blanche. La longueur du grain : 9,1 mm, la largeur du grain : 3,0 mm. Les aptitudes technologiques sont : rendement à l’usinage : 62,3%, taux en volume d’expansion : 2,7, teneur élevée en amylose, température de gélatinisation : Intermédiaire, dureté du grain : 5,9 , valeur d’étalement de l’alcaline : 3,8 , taux d’absorption d’eau : 1,3 , temps de cuisson : 20 mn , qualité de cuisson : bonne , variété non aromatique.






Perspectives :

Appuyer la chaîne semencière

Structure de mise au point et adresse : CRA-Sud/INRAB
Auteurs : Iliyath BELLO
Année de génération : 2015
Sources de financement : AfricaRice et Budget National
Zone d’application de la technologie : tout le Bénin, comme riz de plateau
Bénéficiaires : producteurs, transformateurs, commerçants, supermarchés, consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : très productive
Contraintes potentielles à l’adoption : non aromatique
Rendement de la technologie : 6,3 t/ha
Rentabilité : 638 000 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 412 000 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 350 FCFA /kg de semences certifiées
Main d’œuvre nécessaire : 54,75HJ/ha

Ses caractéristiques agronomiques sont : tallage : bon, cycle moyen, rendement potentiel : 6,3 t/ha, rendement moyen en milieu paysan : 3,5 t/ha, poids de 1000 grains 35,5 g, résistance à la pyriculariose : assez bonne, résistance aux insectes : moyenne, tolérante à la sécheresse, résistance moyenne à la verse. Les caractères morphologiques sont : caryopse long, très fusiforme et de couleur blanche. La longueur du grain : 9,5 mm, la largeur du grain : 2,6 mm. Les aptitudes technologiques sont : rendement à l’usinage : 65%, taux en volume d’expansion : 3,1, teneur élevée en amylose, température de gélatinisation : Intermédiaire, dureté du grain : 6,1, valeur d’étalement de l’alcaline : 4,3 , taux d’absorption d’eau : 1,4 , temps de cuisson : 20 mn , qualité de cuisson : bonne , variété non aromatique.






Perspectives :

Appuyer la chaîne semencière

Structure de mise au point et adresse : CRA-Sud/INRAB
Auteurs : Iliyath BELLO
Année de génération : 2015
Sources de financement : AfricaRice et Budget National
Zone d’application de la technologie : tout le Bénin, comme riz de plateau
Bénéficiaires : producteurs, transformateurs,
Avantages potentiels de l’adoption : très productive
Contraintes potentielles à l’adoption : non aromatique
Rendement de la technologie : 6,3 t/ha
Rentabilité : 638 000 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 412 000 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 350 FCFA / kg de semences certifiées
Main d’œuvre nécessaire : 54,75HJ/ha

Ses caractéristiques agronomiques sont : tallage : bon, cycle moyen, rendement potentiel : 6,5 t/ha, rendement moyen en milieu paysan : 3,2 t/ha, poids de 1000 grains 36,6 g, résistance à la pyriculariose : assez bonne, résistance aux insectes : moyenne, tolérante à la sécheresse, résistance moyenne à la verse. Les caractères morphologiques sont : caryopse long, très fusiforme et de couleur blanche. La longueur du grain : 9,7 mm, la largeur du grain : 2,9 mm. Les aptitudes technologiques sont : rendement à l’usinage : 63,1%, taux en volume d’expansion : 3,2, teneur élevée en amylose, température de gélatinisation : faible, dureté du grain : 7,1 , valeur d’étalement de l’alcaline : 6 , taux d’absorption d’eau : 1,3 , temps de cuisson : 21 mn , qualité de cuisson : bonne , variété non aromatique.






Perspectives :

Appuyer la chaîne semencière

Structure de mise au point et adresse : CRA-Sud/INRAB
Auteurs : Iliyath BELLO
Année de génération : 2015
Sources de financement : AfricaRice et Budget National
Zone d’application de la technologie : tout le Bénin, comme riz de plateau
Bénéficiaires : producteurs, transformateurs, commerçants, supermarchés, consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : très productive
Contraintes potentielles à l’adoption : non aromatique
Rendement de la technologie : 6,5 t/ha
Rentabilité : 625 000 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 412 000 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 350 FCFA / kg de semences certifiées
Main d’œuvre nécessaire : 54,75 HJ/ha

Ses caractéristiques agronomiques sont : tallage : bon, cycle moyen, rendement potentiel : 5,6 t/ha, rendement moyen en milieu paysan : 3,5 t/ha, poids de 1000 grains 34,0 g, résistance à la pyriculariose : assez bonne, résistance aux insectes : bonne, tolérante à la sécheresse, résistante à la verse. Les caractères morphologiques sont : caryopse long, très fusiforme et de couleur blanche. La longueur du grain : 9,2 mm, la largeur du grain : 3 mm. Les aptitudes technologiques sont : rendement à l’usinage : 66%, taux en volume d’expansion : 3,3 , teneur élevée en amylose, température de gélatinisation : faible, dureté du grain : 6,4 , valeur d’étalement de l’alcaline : 6 , taux d’absorption d’eau : 1,4 , temps de cuisson : 21 mn , qualité de cuisson : bonne ,variété non aromatique.






Perspectives :

Appuyer la chaîne semencière

Structure de mise au point et adresse : CRA-Sud/INRAB
Auteurs : Iliyath BELLO
Année de génération : 2015
Sources de financement : AfricaRice et Budget National
Zone d’application de la technologie : tout le Bénin, comme riz de plateau
Bénéficiaires : producteurs, transformateurs, commerçants, supermarchés, consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : productive
Contraintes potentielles à l’adoption : non aromatique
Rendement de la technologie : 5,6 t/ha
Rentabilité : 638 000 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 412 000 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 350 FCFA /kg de semences certifiées
Main d’œuvre nécessaire : 54,75HJ/ha

Ses caractéristiques agronomiques sont : tallage : bon, cycle précoce, rendement potentiel : 4,9 t/ha, rendement moyen en milieu paysan : 3,4 t/ha, poids de 1000 grains 29,5 g, résistance à la pyriculariose : assez bonne, résistance aux insectes : bonne, tolérante à la sécheresse, résistante à la verse. Les caractères morphologiques sont : caryopse long, très fusiforme et de couleur blanche. La longueur du grain : 8,6 mm, la largeur du grain : 2,2 mm. Les aptitudes technologiques sont : rendement à l’usinage : 62,7%, taux en volume d’expansion : 3,3 , teneur élevée en amylose, température de gélatinisation : intermédiaire , dureté du grain : 5,6 , valeur d’étalement de l’alcaline : 4,8 ,taux d’absorption d’eau : 1,4 , temps de cuisson : 20,5 mn , qualité de cuisson : bonne , variété non aromatique.






Perspectives :

Appuyer la chaîne semencière

Structure de mise au point et adresse : CRA-Sud/INRAB
Auteurs : Paulin ASSIGBE
Année de génération : 2000
Sources de financement : AfricaRice et Budget National
Zone d’application de la technologie : tout le Bénin, comme riz de plateau
Bénéficiaires : producteurs, transformateurs, commerçants, supermarchés, consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : précocité
Contraintes potentielles à l’adoption : non aromatique
Rendement de la technologie : 4,9 t/ha
Rentabilité : 634 000 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 412 000 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 350 FCFA le kg de semences certifiées
Main d’œuvre nécessaire : 54,75 HJ/ha

Ses caractéristiques agronomiques sont : tallage : bon, cycle moyen, rendement potentiel : 5,5 t/ha, rendement moyen en milieu paysan : 3,5 t/ha, poids de 1000 grains 30,7 g, résistance à la pyriculariose : assez bonne, résistance aux insectes : bonne, tolérante à la sécheresse, résistante à la verse. Les caractères morphologiques sont : caryopse long, très fusiforme et de couleur blanche. La longueur du grain : 10,2 mm, la largeur du grain : 2,3 mm. Les aptitudes technologiques sont : rendement à l’usinage : 60%, teneur élevée en amylose, température de gélatinisation : intermédiaire, dureté du grain : 5,6 , valeur d’étalement de l’alcaline : 4,8 , taux d’absorption d’eau : 1,4 , temps de cuisson : 19 mn , qualité de cuisson : bonne , variété aromatique.






Perspectives :

Appuyer la chaîne semencière

Structure de mise au point et adresse : CRA-Sud/INRAB
Auteurs : Cyriaque AKAKPO
Année de génération : 2006
Sources de financement : AfricaRice et Budget National
Zone d’application de la technologie : tout le Bénin, comme riz de bas-fond
Bénéficiaires : producteurs, transformateurs, commerçants, supermarchés, consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : présence d’arome, grain long
Contraintes potentielles à l’adoption : néant
Rendement de la technologie : 5,5 t/ha
Rentabilité : 638 000 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 412 000 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 350 FCFA /kg de semences certifiées
Main d’œuvre nécessaire : 54,75HJ/ha

Ses caractéristiques agronomiques sont : tallage : bon, cycle moyen, rendement potentiel : 5,0 t/ha, rendement moyen en milieu paysan : 3,5 t/ha, poids de 1000 grains 28,8 g, résistance à la pyriculariose : assez bonne, résistance aux insectes : moyenne, tolérante à la sécheresse, résistante à la verse. Les caractères morphologiques sont : caryopse long, fusiforme et de couleur blanche. La longueur du grain : 10,1 mm, la largeur du grain : 2,42 mm. Les aptitudes technologiques sont : rendement à l’usinage : 60,4%, teneur élevée en amylose, température de gélatinisation : intermédiaire, dureté du grain : 5,9 , temps de cuisson : 19 mn , qualité de cuisson : bonne , variété non aromatique.






Perspectives :

Appuyer la chaîne semencière

Structure de mise au point et adresse : CRA-Sud/INRAB
Auteurs : Cyriaque AKAKPO
Année de génération : 2006
Sources de financement : AfricaRice et Budget National
Zone d’application de la technologie : tout le Bénin, comme riz de bas-fond
Bénéficiaires : producteurs, transformateurs, commerçants, supermarchés, consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : grain long
Contraintes potentielles à l’adoption : absence d’arome
Rendement de la technologie : 5,0 t/ha
Rentabilité : 638 000 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 412 000 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 350 FCFA /kg de semences certifiées
Main d’œuvre nécessaire : 54,75HJ/ha

Ses caractéristiques agronomiques sont : tallage : bon, épiaison précoce, cycle moyen, rendement potentiel : 6,5 t/ha, rendement moyen en milieu paysan : 4,5 t/ha, poids de 1000 grains 19,5 g, résistance à la pyriculariose : assez bonne, résistance aux insectes : moyenne, très tolérante à la sécheresse, résistante à la verse. Les caractères morphologiques sont : caryopse long, demi fusiforme et de couleur blanche. La longueur du grain : 10,0 mm, la largeur du grain : 2,18 mm. Les aptitudes technologiques sont : rendement à l’usinage : 62,9%, teneur moyenne en amylose, température de gélatinisation : intermédiaire, dureté du grain : 5,4 , temps de cuisson : 17 mn , qualité de cuisson : bonne , variété très aromatique.






Perspectives :

Appuyer la chaîne semencière

Structure de mise au point et adresse : CRA-Sud/INRAB
Auteurs : Iliyath BELLO
Année de génération : 2015
Sources de financement : AfricaRice et Budget National
Zone d’application de la technologie : tout le Bénin, comme riz de bas-fond
Bénéficiaires : producteurs, transformateurs, commerçants, supermarchés, consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : rendement élevé, grain long, très aromatique
Contraintes potentielles à l’adoption : grain très fin
Rendement de la technologie : 6,5 t/ha
Rentabilité : 638 000 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 412 000 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 350 FCFA /kg de semences certifiées
Main d’œuvre nécessaire : 54,75HJ/ha

Ses caractéristiques agronomiques sont : tallage : bon, cycle moyen, rendement potentiel : 7,0 t/ha, rendement moyen en milieu paysan : 4,5 t/ha, poids de 1000 grains 29 g, résistance à la pyriculariose : assez bonne, résistance moyenne aux insectes, très tolérante à la sécheresse, résistante à la verse. Les caractères morphologiques sont : caryopse moyen, demi fusiforme et de couleur blanche. La longueur du grain : 9,0 mm, la largeur du grain : 2,5 mm. Les aptitudes technologiques sont : rendement à l’usinage : 65%, teneur élevée en amylose, température de gélatinisation : intermédiaire, temps de cuisson : 20 mn , qualité de cuisson : bonne , variété non aromatique.






Perspectives :

Appuyer la chaîne semencière

Structure de mise au point et adresse : CRA-Sud/INRAB
Auteurs : Iliyath BELLO
Année de génération : 2015
Sources de financement : AfricaRice et Budget National
Zone d’application de la technologie : tout le Bénin, dans les bas-fonds
Bénéficiaires : producteurs, transformateurs, commerçants, supermarchés, consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : rendement très élevé
Contraintes potentielles à l’adoption : absence d’arome
Rendement de la technologie : 7,0 t/ha
Rentabilité : 638 000 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 412 000 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 350 FCFA /kg de semences certifiées
Main d’œuvre nécessaire : 54,75 HJ/ha

La batteuse-vanneuse à paille tenue de 15CV a une capacité horaire de 1200 kg/heure. Batteuse de riz paddy dotée d'un moteur diesel de 15CV avec un système de vannage très performant. Elle dispose aussi d'un tamis vibrant pour la séparation du riz paddy des déchets. Cette batteuse est munie de quatre roues pour faciliter la traction dans le champ. Quelques caractéristiques de cette batteuse : type de batteuse : Flux Axial ; modèle : BVPNT ; type du tambour de la batteuse : Batteur à pointes ; diamètre du tambour (mm) : 270 ; longueur du tambour (mm) : 750 ; nombre de pointes du batteur : 64 ; Poids net (kg) :700 ; puissance du moteur (CV) : 15.






Perspectives :

Appuyer la multiplication à grande échelle de cet équipement

Former les artisans locaux

Subventionner le coût de l’équipement afin de permettre aux riziculteurs un accès plus

Structure de mise au point et adresse : CRA-A/INRAB et AfricaRice
Auteurs : Roger AHOUANSOU
Année de génération : 2014
Sources de financement : AfricaRice et Budget National
Zone d’application de la technologie : toutes les régions productrices de riz du Bénin
Bénéficiaires : producteurs, transformateurs
Avantages potentiels de l’adoption : performance très élevée de battage par rapport à la pratique traditionnelle, meilleures performances de la technologie à savoir économie de temps, d'énergie physique et de main d'œuvre
Contraintes potentielles à l’adoption : manque de formation ou de sensibilisation, coût élevé de la technologie, équipement lourd et difficile à tracter dans les bas-fonds
Rendement de la technologie : 1200 kg/heure
Rentabilité : 13 190 FCFA/tonne
Coût estimatif de l’investissement initial : 11 810 FCFA /t de riz
Coût d’utilisation : 1 600 000 FCFA
Main d’œuvre nécessaire : 1,5HJ

La trieuse calibreuse de riz est un équipement qui a une capacité de 500 kg/heure. Elle permet de séparer les grains entiers des grains brisés ainsi que les sons et les particules fines. Elle est dotée d'un moteur de 6 CV et a une consommation en carburant de 0,25l/h d’essence. Elle est munie de quatre orifices de sortie où l'on récupère les différentes catégories de riz. Les tamis de calibrage sont : tamis 1 : ≥ 3,5 mm (grains entiers) ; tamis 2 : < 3,5 et >3 mm (grains entiers et ¾ entier) ; tamis 3 : < 3 et >2,5 mm (grains brisés) ; tamis 4 : < 2,5 mm (grains très brisés, particule fine et son).






Perspectives :

Appuyer la multiplication à grande échelle de cet équipement

Former les artisans locaux

Subventionner le coût de l’équipement afin de permettre aux producteurs, aux transformateurs et aux commerçants un accès plus facile

Structure de mise au point et adresse : CRA-A/INRAB
Auteurs : Roger AHOUANSOU
Année de génération : 2014
Sources de financement : AfricaRice et Budget National
Zone d’application de la technologie : toutes les régions productrices de riz du Bénin
Bénéficiaires : transformateurs, commerçants
Avantages potentiels de l’adoption : meilleures performances de la technologie à savoir économie de temps, d'énergie physique et de main d'œuvre
Contraintes potentielles à l’adoption : manque de formation ou de sensibilisation, coût élevé de la technologie
Rendement de la technologie : 500 kg/heure
Rentabilité : ...
Coût estimatif de l’investissement initial : 950 000 FCFA
Coût d’utilisation : ...
Main d’œuvre nécessaire : ...

Le dispositif est composé de deux parties essentielles à savoir : 1 - un bac d’étuvage de forme tronconique dont le tiers (1/3) inférieur et la petite base circulaire (fermée) sont minutieusement perforés ; 2 - une marmite en alliage d’aluminium (appelée « ganzin » en fon), dans laquelle s’insère la partie inférieure perforée du bac pour l’étuvage.






Perspectives :

Appuyer la multiplication à grande échelle de cet équipement

Former les artisans locaux

Subventionner le coût de l’équipement afin de permettre aux producteurs, aux transformateurs et aux commerçants un accès plus facile

Structure de mise au point et adresse : CRA-A/INRAB
Auteurs : Roger AHOUANSOU
Année de génération : 2004
Sources de financement : Budget National
Zone d’application de la technologie : toutes les régions productrices de riz du Bénin
Bénéficiaires : transformateurs, commerçants
Avantages potentiels de l’adoption : augmentation de la productivité du riz étuvé, amélioration des revenus des femmes transformatrices
Contraintes potentielles à l’adoption : attaque de l’équipement par la rouille à cause de son contact avec l'eau
Rendement de la technologie : 80 kg de paddy étuvés en 25 mn
Rentabilité : 15 300 FCFA/t
Coût estimatif de l’investissement initial : 180.500 FCFA / t de riz paddy
Coût d’utilisation : 80 000 F CFA
Main d’œuvre nécessaire : 12 HJ/t

Kit d’étuvage de 180 kg est un kit basculant composé d’un bac séparé à l’intérieur par un plateau muni d’un tube central tous perforés de petits trous de 3 mm de diamètre. Ce kit est en tôle galvanisée et a une hauteur de 130 cm et muni d’un foyer sans cheminée conçu en tôle noire.






Perspectives :

Appuyer la multiplication à grande échelle de cet équipement

Former les artisans locaux

Subventionner le coût de l’équipement afin de permettre aux producteurs, aux transformateurs et aux commerçants un accès plus facile

Structure de mise au point et adresse : CRA-A/INRAB
Auteurs : Roger AHOUANSOU
Année de génération : 2014
Sources de financement : Budget National
Zone d’application de la technologie : toutes les régions productrices de riz du Bénin
Bénéficiaires : transformateurs, commerçants
Avantages potentiels de l’adoption : augmentation de la productivité du riz étuvé, amélioration des revenus des femmes transformatrices
Contraintes potentielles à l’adoption : coût élevé de la technologie, besoin de 2 personnes pour la manipulation
Rendement de la technologie : 180 kg de paddy étuvés en 45 mn
Rentabilité : 23 500 FCFA/t
Coût estimatif de l’investissement initial : 221475 FCFA / t de riz paddy
Coût d’utilisation : 200 000 FCFA
Main d’œuvre nécessaire : 8HJ

Ce matériel d’étuvage a été développé à partir d’une ancienne version du kit d’étuvage de 300 kg mis au point par Klotoe et Houssou (2012). Il dispose d’un bâti, d’un système de roue dentée et de pignon qui permettent de faire basculer l’équipement et de le maintenir à la position voulue selon l’opération à réaliser.






Perspectives :

Appuyer la multiplication à grande échelle de cet équipement

Former les artisans locaux

Subventionner le coût de l’équipement afin de permettre aux producteurs, aux transformateurs et aux commerçants un accès plus facile

Structure de mise au point et adresse : CRA-A/INRAB
Auteurs : Roger AHOUANSOU
Année de génération : 2014
Sources de financement : Budget National
Zone d’application de la technologie : toutes les régions productrices de riz du Bénin
Bénéficiaires : transformateurs, commerçants
Avantages potentiels de l’adoption : augmentation de la productivité du riz étuvé, amélioration des revenus des femmes transformatrices
Contraintes potentielles à l’adoption : coût élevé de la technologie, besoin de 2 personnes pour la manipulation
Rendement de la technologie : 300 kg de paddy étuvés en en 65min
Rentabilité : 19700 FCFA/t
Coût estimatif de l’investissement initial : 225 300 / t de riz paddy
Coût d’utilisation : 600 000 FCFA
Main d’œuvre nécessaire : 8HJ

La batteuse-vanneuse est composée d'un batteur à tambour, d'un ventilateur, d'un canal de ventilation, de 2 roues pneumatiques, d'un moteur thermique de 5CV, d'une courroie, d’un châssis, de 2 bras de transport et d'un roulement. Les performances technique de cette batteuse-vanneuse se présentent comme suit : capacité horaire: 300 à 500 kg de grains paddy par heure, taux de battage: 100%; taux de vannage: 95 à 100%; type: mobile sur deux roues pneumatiques; moteur: thermique à essence; puissance moteur: 5 CV; roulement: à palier; vannage: par aspiration; transmission : par courroie; nombre d'opérateurs: 1 à 2 personnes; consommation : 1,5 litre par heure.






Perspectives :

Appuyer la multiplication à grande échelle de cet équipement

Former les artisans locaux

Subventionner le coût de l’équipement afin de permettre aux producteurs, aux transformateurs et aux commerçants un accès plus facile

Structure de mise au point et adresse : CRA-A/INRAB
Auteurs : Roger AHOUANSOU
Année de génération : 2011
Sources de financement : Budget National
Zone d’application de la technologie : toutes les régions productrices de riz du Bénin
Bénéficiaires : producteurs, transformateurs, commerçants
Avantages potentiels de l’adoption : performance très élevée de battage par rapport à la pratique traditionnelle, meilleures performances de la technologie à savoir économie de temps, d'énergie physique et de main d'œuvre
Contraintes potentielles à l’adoption : coût élevé de la technologie
Rendement de la technologie : 275 kg/heure
Rentabilité : 16100 FCFA/ t de riz paddy
Coût estimatif de l’investissement initial : 11810 FCFA (pour une tonne de riz)
Coût d’utilisation : 850 000 FCFA
Main d’œuvre nécessaire : 3,75HJ

La batteuse BSPT 6 CV est composée d'un batteur à tambour, de 2 roues pneumatiques, d'un moteur thermique de 6 CV, d'une courroie, d’un châssis, de 2 bras de transport et d'un roulement. Les performances technique de cette batteuse se présentent comme suit : capacité horaire : 250 à 400 kg de grains paddy par heure, taux de battage : 100% ; type: mobile sur deux roues pneumatiques ; moteur: thermique à essence; puissance moteur: 6 CV; roulement : à palier; transmission :par courroie ; nombre d'opérateurs : 1 à 2 personnes; consommation: 0,47 litre par heure ; taux de pertes : 2,02% ; taux de blessure du paddy : 2,31%.






Perspectives :

Appuyer la multiplication à grande échelle de cet équipement

Former les artisans locaux

Subventionner le coût de l’équipement afin de permettre aux producteurs, aux transformateurs et aux commerçants un accès plus facile

Structure de mise au point et adresse : CRA-A/INRAB
Auteurs : Paul HOUSSOU
Année de génération : 2004
Sources de financement : Budget National
Zone d’application de la technologie : toutes les régions productrices de riz du Bénin
Bénéficiaires : producteurs, transformateurs, commerçants
Avantages potentiels de l’adoption : performance très élevée de battage par rapport à la pratique traditionnelle, meilleures performances de la technologie à savoir économie de temps, d'énergie physique et de main d'œuvre
Contraintes potentielles à l’adoption : coût élevé de la technologie
Rendement de la technologie : 400 kg/heure
Rentabilité : ...
Coût estimatif de l’investissement initial : 16 100 FCFA /t de riz paddy
Coût d’utilisation : 800 000 FCFA
Main d’œuvre nécessaire : 3,75HJ

La technologie améliorée de séchage encore appelée séchage mixte, consiste à sécher le riz paddy au soleil jusqu’à un taux d’humidité de 16%, puis à ramener le paddy à l’ombre sous un hangar pour continuer le séchage jusqu’à un taux d’humidité de 12%. Cette technique de séchage a l’avantage de donner un rendement de riz élevé au décorticage et un taux de brisure faible par rapport au séchage traditionnel. Mais la durée de séchage avec la pratique traditionnelle au soleil est plus courte que celle de la technologie de séchage améliorée.






Perspectives :

Elaborer et multiplier une fiche technique et un guide d’information pour une meilleure diffusion de la technique

Structure de mise au point et adresse : CRA-A/INRAB
Auteurs : Paul HOUSSOU
Année de génération : 2005
Sources de financement : Budget National
Zone d’application de la technologie : toutes les régions productrices de riz du Bénin
Bénéficiaires : producteurs, transformateurs, commerçants
Avantages potentiels de l’adoption : réduction du taux de brisure et amélioration du rendement au décorticage. Ces paramètres permettent d'améliorer la compétitivité du riz local
Contraintes potentielles à l’adoption : néant
Rendement de la technologie : seulement 0,40% de taux de pertes de paddy
Rentabilité : 8250 FCFA/t (plus- value par rapport à la méthode traditionnelle)
Coût estimatif de l’investissement initial : 221475 FCFA/t
Coût d’utilisation : 1250 F CFA/t de riz paddy
Main d’œuvre nécessaire : 0,5HJ

Son cycle est de 12 mois et son rendement potentiel en racines fraîches de 20 t/ha. Son indice de récolte à 12 mois est de 0,47. Elle est résistante à la mosaïque et à l’anthracnose, tolérante à la cochenille farineuse et aux acariens verts, mais sensible à la bactériose. Elle a une bonne capacité de rétention des feuilles en saison sèche et tolère ainsi la sécheresse. Sa teneur en matière sèche à 12 mois est 25,8 %. Elle est de type doux et est très apte pour la garification, le tapioca, le lafou et les cossettes dont le rendement moyen est 31 %.






Perspectives :

Elaborer et multiplier une fiche technique et un guide d’information pour une meilleure diffusion de la variété

Appuyer la chaîne de production semencière pour assurer un bon accès des producteurs au matériel de plantation (boutures) certifié

Structure de mise au point et adresse : CRA-Sud/INRAB
Auteurs : Norbert MAROYA
Année de génération : 1986
Sources de financement : Budget National
Zone d’application de la technologie : toutes les régions productrices de manioc du Bénin
Bénéficiaires : producteurs, transformateurs, commerçants, consommateurs.
Avantages potentiels de l’adoption : variété largement adoptée mais, il manque de boutures pour agrandir les superficies
Contraintes potentielles à l’adoption : néant
Rendement de la technologie : 20 t/ha
Rentabilité : 290 500 FCFA/Ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 409 500 FCFA /ha
Coût d’utilisation : 260 000 FCFA pour achat de boutures de variétés sélectionnées
Main d’œuvre nécessaire : 160 HJ/ha

Son cycle est de 12 à 14 mois et son rendement potentiel en racines fraîches est de 20 t/ha. Son indice de récolte à 12 mois est de 0,55. Le port de la plante est buissonnant et les entrenœuds sont courts. Plantée à la densité conseillée, elle a un bon recouvrement du sol qui empêche le développement des herbes. Elle est résistante à la mosaïque, à la bactériose et à l’anthracnose, tolérante à la cochenille farineuse et sensible aux acariens verts. Elle a une bonne capacité de rétention des feuilles en saison sèche et tolère ainsi la sécheresse. Elle est de type doux et est très apte pour la garification, le tapioca, le lafou et les cossettes. Récoltées à 10 mois, ses racines sont bonnes pour rentrer dans la panification.






Perspectives :

Elaborer et multiplier une fiche technique et un guide d’information pour une meilleure diffusion de la variété

Appuyer la chaîne de production semencière pour assurer un bon accès des producteurs au matériel de plantation (boutures) certifié

Structure de mise au point et adresse : CRA-Sud/INRAB et UAC
Auteurs : Adolphe ADJANOHOUN
Année de génération : 2008
Sources de financement : IITA et Budget National
Zone d’application de la technologie : plus productive au sud du Bénin bénéficiant de deux saisons pluvieuses
Bénéficiaires : producteurs, transformateurs, commerçants, consommateurs.
Avantages potentiels de l’adoption : une bonne production
Contraintes potentielles à l’adoption : manque de boutures
Rendement de la technologie : 20 t/ha
Rentabilité : 290 500 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 409 500 FCFA /ha
Coût d’utilisation : 260 000 FCFA (achat boutures)
Main d’œuvre nécessaire : 160 HJ/ha

Son cycle est de 12 à 14 mois et son rendement potentiel en racines fraîches est de 25 t/ha. Son indice de récolte à 12 mois est de 0,62. Le port de la plante est érigé et les entrenœuds sont courts. Elle est résistante à la mosaïque, à la bactériose et à l’anthracnose, tolérante à la cochenille farineuse et aux acariens verts. Elle a une bonne capacité de rétention des feuilles en saison sèche et tolère ainsi la sécheresse. Elle est de type doux et ses racines sont très friables. Elle est très apte pour la garification, le tapioca, le lafou et les cossettes dont le rendement est de 28% en saison sèche. Récoltées à 10 mois, ses racines sont bonnes pour rentrer dans la panification.






Perspectives :

Elaborer et multiplier une fiche technique et un guide d’information pour une meilleure diffusion de la variété

Appuyer la chaîne de production semencière pour assurer un bon accès des producteurs au matériel de plantation (boutures) certifié

Structure de mise au point et adresse : CRA-Nord/INRAB
Auteurs : Romuald DOSSOU
Année de génération : 2004
Sources de financement : IITA et Budget National
Zone d’application de la technologie : toutes les régions productrices de manioc du Bénin mais beaucoup plus adapté au nord à une saison pluvieuse
Bénéficiaires : producteurs, transformateurs, commerçants, restaurateurs, consommateurs.
Avantages potentiels de l’adoption : une bonne production
Contraintes potentielles à l’adoption : manque de boutures
Rendement de la technologie : 25 t/ha
Rentabilité : 340 000 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 409 500 FCFA /ha
Coût d’utilisation : 260 000 FCFA (achat boutures)
Main d’œuvre nécessaire : 160 HJ/ha

Son cycle est de 10 à 12 mois et son rendement potentiel en racines fraîches est de 35 t/ha. Son indice de récolte à 12 mois est de 0,72. Le port de la plante est érigé et les entrenœuds sont courts. Elle est très résistante à la mosaïque, à la bactériose et à l’anthracnose, tolérante à la cochenille farineuse et aux acariens verts. Elle a une bonne capacité de rétention des feuilles vertes en saison sèche et tolère ainsi la sécheresse. Elle est de type doux et ses racines sont très friables. Elle est très apte pour la garification, le tapioca, le lafou et les cossettes dont le rendement est de 28% en saison sèche. Récoltées à 10 mois, ses racines sont très bonnes pour faire la farine panifiable.






Perspectives :

Elaborer et multiplier une fiche technique et un guide d’information pour une meilleure diffusion de la variété

Appuyer la chaîne de production semencière pour assurer un bon accès des producteurs au matériel de plantation (boutures) certifié

Structure de mise au point et adresse : CRA-Nord/INRAB
Auteurs : Romuald DOSSOU
Année de génération : 2007
Sources de financement : IITA et Budget National
Zone d’application de la technologie : toutes les régions productrices de manioc du Bénin
Bénéficiaires : producteurs, transformateurs, commerçants, restaurateurs, consommateurs.
Avantages potentiels de l’adoption : variété très productive, friable et panifiable
Contraintes potentielles à l’adoption : manque de boutures
Rendement de la technologie : 35 t/ha
Rentabilité : 450 000 FCFA /Ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 429 500 FCFA /ha
Coût d’utilisation : 260 000 FCFA (achat boutures)
Main d’œuvre nécessaire : 165 HJ/ha

Le manioc est bon à récolter 10 à 14 mois après plantation et son rendement potentiel en racines fraîches est de 30 t/ha. Son indice de récolte à 12 mois est de 0,69. Le port de la plante est érigé et les entrenœuds sont courts. Elle est très résistante à la mosaïque et à la bactériose, résistante à l’anthracnose et aux acariens verts, sensible à la cochenille farineuse. Elle a une bonne capacité de rétention des feuilles vertes en saison sèche et tolère ainsi la sécheresse. Elle est de type doux et ses racines sont très friables. Elle est très apte pour la garification, le tapioca, le lafou et les cossettes dont le rendement est de 30% en saison sèche. Récoltées à 10 - 11 mois, ses racines sont très bonnes pour faire la farine panifiable. Ces jeunes feuilles sont comestibles comme légumes.






Perspectives :

Elaborer et multiplier une fiche technique et un guide d’information pour une meilleure diffusion de la variété

Appuyer la chaîne de production semencière pour assurer un bon accès des producteurs au matériel de plantation (boutures) certifié

Structure de mise au point et adresse : CRA-Nord/INRAB
Auteurs : Romuald DOSSOU
Année de génération : 2008
Sources de financement : IITA et Budget National
Zone d’application de la technologie : toutes les régions productrices de manioc du Bénin
Bénéficiaires : producteurs, transformateurs, commerçants, consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : variété très productive, friable et panifiable
Contraintes potentielles à l’adoption : insuffisance de boutures
Rendement de la technologie : 30 t/ha
Rentabilité : 420 000 FCFA /ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 419 500 FCFA /ha
Coût d’utilisation : 260 000 FCFA (achat boutures)
Main d’œuvre nécessaire : 165 HJ/ha

Cette variété est bonne à être récoltée à 10 - 14 mois après plantation et son rendement potentiel en racines fraîches est de 20 t/ha. Son indice de récolte à 12 mois est de 0,55. Le port de la plante est érigé et les entrenœuds sont courts. Elle est immune à la mosaïque, résistante à la bactériose, à l’anthracnose et aux acariens verts mais tolère la cochenille farineuse. Elle a une bonne capacité de rétention des feuilles vertes en saison sèche et tolère ainsi la sécheresse. Elle est de type doux et ses racines sont très friables. Elle est très apte pour la garification, le tapioca, le lafou et les cossettes dont le rendement est de 30% en saison sèche. Récoltées à 10 - 11 mois, ses racines sont très bonnes pour faire la farine panifiable. Ces jeunes feuilles sont comestibles comme légumes.






Perspectives :

Elaborer et multiplier une fiche technique et un guide d’information pour une meilleure diffusion de la variété

Appuyer la chaîne de production semencière pour assurer un bon accès des producteurs au matériel de plantation (boutures) certifié

Structure de mise au point et adresse : CRA-Nord/INRAB
Auteurs : Romuald DOSSOU
Année de génération : 2004
Sources de financement : IITA et Budget National
Zone d’application de la technologie : toutes les régions productrices de manioc du Bénin
Bénéficiaires : producteurs, transformateurs, commerçants, consommateurs.
Avantages potentiels de l’adoption : variété largement adoptée
Contraintes potentielles à l’adoption : manque de boutures
Rendement de la technologie : 20 t/ha
Rentabilité : 290 500 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 409 500 FCFA /ha
Coût d’utilisation : 260 000 FCFA (achat boutures)
Main d’œuvre nécessaire : 160 HJ/ha

Cette variété est bonne à récolter à 10 - 14 mois après plantation et son rendement potentiel en racines fraîches est de 25 t/ha. Son indice de récolte à 12 mois est de 0,55. Le port de la plante est érigé et les entrenœuds sont de taille moyenne. Elle est résistante à la mosaïque et à l’anthracnose, tolérante à la bactériose. Elle est résistante à la cochenille farineuse mais tolère les acariens verts. Elle a une bonne capacité de rétention des feuilles vertes en saison sèche au sud du Bénin. Elle est de type doux. Elle est très apte pour la garification, le tapioca, le lafou et les cossettes.






Perspectives :

Elaborer et multiplier une fiche technique et un guide d’information pour une meilleure diffusion de la variété

Appuyer la chaîne de production semencière pour assurer un bon accès des producteurs au matériel de plantation (boutures) certifié

Structure de mise au point et adresse : CRA-Sud/INRAB
Auteurs : Adolphe ADJANOHOUN
Année de génération : 2004
Sources de financement : IITA et Budget National
Zone d’application de la technologie : toutes les régions productrices de manioc du Bénin et surtout la zone à deux saisons pluvieuse
Bénéficiaires : producteurs, transformateurs, commerçants, consommateurs.
Avantages potentiels de l’adoption : haut rendement
Contraintes potentielles à l’adoption : manque de boutures
Rendement de la technologie : 25 t/ha
Rentabilité : 340 000 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 409 500 FCFA /ha
Coût d’utilisation : 260 000 FCFA (achat boutures)
Main d’œuvre nécessaire : 160 HJ/ha

Cette variété est bonne à récolter à 10 - 12 mois après plantation et son rendement potentiel en racines fraîches est de 30 t/ha. Son indice de récolte à 12 mois est de 0,62. Le port de la plante est buissonnant et les entrenœuds sont courts. Plantée à la densité conseillée, elle a un bon recouvrement du sol qui empêche le développement des herbes. Elle est résistante à la mosaïque, à la bactériose et à l’anthracnose, tolérante aux acariens verts mais sensible à la cochenille farineuse. Elle a une bonne capacité de rétention des feuilles vertes en saison sèche et tolère ainsi la sécheresse. Elle est de type doux et ses racines sont très friables. Elle est très apte pour la garification, le tapioca, le lafou et les cossettes dont le rendement est de 33% en saison sèche. Récoltées à 10 - 12 mois, ses racines sont très bonnes pour faire la farine panifiable et sont bonnes à manger sous la forme pilée. Ces jeunes feuilles sont comestibles comme légumes.






Perspectives :

Elaborer et multiplier une fiche technique et un guide d’information pour une meilleure diffusion de la variété

Appuyer la chaîne de production semencière pour assurer un bon accès des producteurs au matériel de plantation (boutures) certifié

Structure de mise au point et adresse : CRA-Nord/INRAB
Auteurs : Romuald DOSSOU
Année de génération : 2007
Sources de financement : IITA et Budget National
Zone d’application de la technologie : toutes les régions productrices de manioc du Bénin
Bénéficiaires : producteurs, transformateurs, commerçants, consommateurs.
Avantages potentiels de l’adoption : variété d’une très bonne qualité culinaire, rendement élevé et lutte contre les herbes
Contraintes potentielles à l’adoption : manque de boutures
Rendement de la technologie : 30 t/ha
Rentabilité : 420 000 FCFA /ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 419 500 FCFA /ha
Coût d’utilisation : 260 000 FCFA (achat boutures)
Main d’œuvre nécessaire : 165 HJ/ha

La variété est bonne à récolter à 10 - 12 mois après plantation et son rendement potentiel en racines fraîches est de 30 t/ha. Le port de la plante est érigé et les entrenœuds sont de taille moyenne. Elle est résistante à la mosaïque, à la bactériose et à l’anthracnose, tolérante aux acariens verts et à la cochenille farineuse. Elle a une bonne capacité de rétention des feuilles vertes en saison sèche et tolère ainsi la sécheresse. Elle est de type doux et ses racines sont friables. Elle est très apte pour la garification, le tapioca et le lafou.






Perspectives :

Elaborer et multiplier une fiche technique et un guide d’information pour une meilleure diffusion de la variété

Appuyer la chaîne de production semencière pour assurer un bon accès des producteurs au matériel de plantation (boutures) certifié

Structure de mise au point et adresse : CRA-Sud/INRAB
Auteurs : Norbert MAROYA
Année de génération : 1995
Sources de financement : IITA et Budget National
Zone d’application de la technologie : toutes les régions productrices de manioc du Bénin mais surtout le sud à deux saisons pluvieuses
Bénéficiaires : producteurs, transformateurs, commerçants, consommateurs.
Avantages potentiels de l’adoption : variété d’une très bonne qualité culinaire et largement adoptée
Contraintes potentielles à l’adoption : manque de boutures
Rendement de la technologie : 30 t/ha
Rentabilité : 420 000 FCFA /ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 419 500 FCFA /ha
Coût d’utilisation : 260 000 FCFA (achat boutures)
Main d’œuvre nécessaire : 165 HJ/ha

Système à écartement lâche d’arbustes de Gliricidia sepium (4 m × 4 m) soit une densité de 625 arbustes/ha renforcé à partir de la 2ème année par une légumineuse herbacée (Aeschynomene histrix) dans le but d’accroître la biomasse fertilisante et de réduire la charge de travail. La coupe des arbustes de Gliricidia est effectuée à 1,5 m du sol. Deux à trois élagages des arbustes sont réalisés durant le cycle de production du manioc.






Perspectives :

Faciliter la disponibilité et l’accessibilité de la production de bois de Gliricidia

Mieux soutenir l’installation des champs semenciers de Gliricidia

 

Structure de mise au point et adresse : CRA-Centre/INRAB, Savè
Auteurs : INRAB
Année de génération : 2000
Sources de financement : PDRT
Zone d’application de la technologie : régions Sud et Centre du Bénin
Bénéficiaires : producteurs de manioc
Avantages potentiels de l’adoption : restauration de la fertilité du sol, amélioration du rendement et des revenus
Contraintes potentielles à l’adoption : faible disponibilité en semences de Gliricidia, difficultés d’incorporation de la biomasse végétale, main-d’œuvre pour le recépage des arbustes, divagation des bêtes, inexistence de marché d’écoulement des semences d’Aeschynomene
Rendement de la technologie : 35 t/ha
Rentabilité : 284500 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 415500 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 19000 FCFA/ha
Main d’œuvre nécessaire : 200 Hj/ha

Utilisation de fumier de ferme par les producteurs disposant d’attelage comme source de fertilisation alternative. Le fumier d’étable est appliqué en poquet à raison de 10 t de MS /ha sur le manioc (BEN 86052) installé en relais au maïs DMR ou Obatampa






Perspectives :

Poursuivre sa diffusion et son amélioration

Appuyer les producteurs dans l’acquisition de charrette

Structure de mise au point et adresse : CRA-Centre/INRAB, Savè
Auteurs : Siaka KODJO
Année de génération : 2003
Sources de financement : PDRT/FIDA
Zone d’application de la technologie : régions Centre et Sud
Bénéficiaires : producteurs de manioc
Avantages potentiels de l’adoption : amélioration de la fertilité et du rendement/productivité
Contraintes potentielles à l’adoption : difficultés de transport et d’épandage du fumier, faible disponibilité du fumier d’étable
Rendement de la technologie : 31,27 t/ha de manio
Rentabilité : (marge brute) : 256750 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 44000 FCFA
Coût d’utilisation : ...
Main d’œuvre nécessaire : ...

C’est une variété de cycle, du semis à maturité, de 180 jours. Son rendement potentiel est de 4,0 t/ha et le rendement à l’égrenage, 43,2%. Son poids moyen capsulaire est de 4,4 g. Elle est tolérante à la bactériose. Ces caractéristiques technologiques sont : longueur UHML : 28,5 mm ; uniformité UI : 83,1% ; micronaire : 3,7 ; finesse HS (mtex) : 173,5 ; ténacité HVI : 30,4 g/tex ; allongement HVI : 6,6% ; brillance Rd : 78,6% ; indice de jaune (+b) : 8,6 ; poids de 100 graines : 8,2 g ;






Perspectives :

 

Variété en voie d’être remplacée par d’autres plus performante

Structure de mise au point et adresse : CRA-CF/INRAB
Auteurs : Moussibaou DJABOUTOU
Année de génération : 2003
Sources de financement : CIRAD et Budget National
Zone d’application de la technologie : toutes les régions productrices de coton du Bénin
Bénéficiaires : producteurs, transformateurs, commerçants, consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : variété largement adoptée
Contraintes potentielles à l’adoption : néant
Rendement de la technologie : 4 t/ha
Rentabilité : 92035 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 205.735 FCFA à 239.725 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 30 FCFA/kg de graine
Main d’œuvre nécessaire : 47,21 HJ

C’est une variété de cycle, du semi à maturité, de 180 jours. Son rendement potentiel est de 4,5 t/ha. Sa productivité en coton graine est de 2713 kg/ha et en fibre, 1194 kg/ha. Son rendement à l’égrenage est de 44%. Le poids moyen capsulaire est de 5,5 g. Elle est peu sensible à la bactériose. Son poids moyen capsulaire est de 4,4 g. Ces caractéristiques technologiques sont : longueur UHML : 30 mm ; uniformité UI : 84,3% ; micronaire : 4,3 ; finesse HS (mtex) : 154,7 ; ténacité HVI : 32,3 g/tex ; allongement HVI : 5,7% ; brillance Rd : 77,7% ; indice de jaune (+b) : 8,6 ; poids de 100 graines : 8,7 g.






Perspectives :

 

Poursuivre son amélioration

Structure de mise au point et adresse : CRA-CF/INRAB
Auteurs : Alexis HOUGNI
Année de génération : 2014
Sources de financement : Budget National
Zone d’application de la technologie : Alibori, Atacora
Bénéficiaires : producteurs, filateurs, usiniers, multinationaux, utilisateurs de fibres.
Avantages potentiels de l’adoption : rendement élevé
Contraintes potentielles à l’adoption : néant
Rendement de la technologie : 4,5 t/ha
Rentabilité : 92035 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 205.735 FCFA à 239.725 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 30 FCFA/kg de graine
Main d’œuvre nécessaire : 47,21 HJ

C’est une variété de cycle, du semis à maturité, de 180 jours. Son rendement potentiel est de 4,5 t/ha. Sa productivité en coton graine est de 1796 kg/ha et en fibre de 817 kg/ha. Son rendement à l’égrenage est de 45,5%. Le poids moyen capsulaire est de 5,7 g. Elle est peu sensible à la bactériose. Son poids moyen capsulaire est de 4,4 g. Ces caractéristiques technologiques sont : longueur UHML : 29,8 mm ; uniformité UI : 82,8% ; micronaire : 4,1 ; finesse HS (mtex) : 165,8 ; ténacité HVI : 31 g/tex ; allongement HVI : 6,2% ; brillance Rd : 76,4% ; indice de jaune (+b) : 10 ; poids de 100 graines : 8,7 g.






Perspectives :

Poursuivre son amélioration

Structure de mise au point et adresse : CRA-CF/INRAB
Auteurs : Alexis HOUGNI
Année de génération : 2014
Sources de financement : Budget National
Zone d’application de la technologie : Borgou, Donga et Collines
Bénéficiaires : producteurs, filateurs, usiniers, multinationaux, utilisateurs de fibres
Avantages potentiels de l’adoption : rendement élevé
Contraintes potentielles à l’adoption : néant
Rendement de la technologie : 4,5 t/ha
Rentabilité : 92035 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 205.735 FCFA à 239.725 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 30 FCFA/kg de graine
Main d’œuvre nécessaire : 47,21 HJ

C’est une variété de cycle, du semis à maturité, de 180 jours. Son rendement potentiel est 4,5 t/ha. Sa productivité en coton graine est de 1534 kg/ha et en fibre de 680 kg/ha. Son rendement à l’égrenage est de 44,3%. Le poids moyen capsulaire est de 4,7 g. Elle est peu sensible à la bactériose. Son poids moyen capsulaire est de 4,4 g. Ces caractéristiques technologiques sont : longueur UHML : 29,6 mm ; uniformité UI : 84,5% ; micronaire : 4,2 ; finesse HS (mtex) : 165,3 ; ténacité HVI : 32,4 g/tex ; allongement HVI : 6,0% ; brillance Rd : 77,7% ; indice de jaune (+b) : 9,5 ; poids de 100 graines : 8,9 g.






Perspectives :

Poursuivre son amélioration

Structure de mise au point et adresse : CRA-CF/INRAB
Auteurs : Alexis HOUGNI
Année de génération : 2014
Sources de financement : Budget National
Zone d’application de la technologie : zones cotonnières du sud du Bénin
Bénéficiaires : producteurs, filateurs, usiniers, multinationaux, utilisateurs de fibres
Avantages potentiels de l’adoption : producteurs, filateurs, usiniers, multinationaux, utilisateurs de fibres
Contraintes potentielles à l’adoption : néant
Rendement de la technologie : 4,5 t/ha
Rentabilité : 92035 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 205.735 FCFA à 239.725 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 30 FCFA/kg de graine
Main d’œuvre nécessaire : 47,21 HJ

Africadé est une variété sélectionnée spécialement pour sa tolérante à la fusariose et sa croissance lente. La première inflorescence après la plantation apparaît 16 -17 mois après la plantation. La variété entre en récolte 22-24 mois après la plantation ; ce qui fait d’elle une variété extra-précoce parmi les variétés de palmier à huile. La production de régimes à l’âge adulte (9 ans) est supérieure à 110 kg/arbre/an. Le fruit à maturité a un bout noir avec une suite de rouge progressif (nigrescens). Le fruit a la forme oblongue et ovoïde. La coque est mince tandis que l’épaisseur de la pulpe est moyenne et l'amande est grosse. Son rendement en huile de palme avoisine 3 t/ha dans le sud du Bénin.






Perspectives :

Poursuivre son amélioration

Conduire l’analyse socio-économique

Structure de mise au point et adresse : CRA-PP/INRAB
Auteurs : Léïfi NODICHAO
Année de génération : ...
Sources de financement : INRAB et Budget National
Zone d’application de la technologie : Sud du Bénin
Bénéficiaires : producteurs de palmier à huile.
Avantages potentiels de l’adoption : rendement en huile élevé, résistante à la fusariose et sa croissance modérée
Contraintes potentielles à l’adoption : néant
Rendement de la technologie : >3 tonnes d’huile/ha et >6 tonnes/ha de noix
Rentabilité : ...
Coût estimatif de l’investissement initial : 785.938 FCFA/ ha de palmier à huile à l’entrée en production
Coût d’utilisation : 112 500 FCFA/ha pour achat jeunes plants
Main d’œuvre nécessaire : 221,1HJ/ha

Tokounouvissoh est une variété sélectionnée spécialement pour sa croissance lente. La première inflorescence apparaît 16 -17 mois après la plantation. La variété entre en récolte 24-30 mois après la plantation ; ce qui fait d’elle une variété extra-précoce parmi les variétés de palmier à huile. La production de régimes à l’âge adulte (9 ans) est supérieure à 110 kg/arbre/an. Le fruit à maturité a un bout noir avec une suite de rouge progressif (nigrescens). Le fruit a la forme ovoïde et oblongue. Les épaisseurs de la coque, de la pulpe et de l'amande sont moyennes. Le taux d’extraction industrielle d’huile de palme est élevé (>25%), celui d’extraction d’huile de palmiste (KPO) est également élevé (> 2%). Son rendement potentiel en huile de palme est supérieur à 3 t/ha/an. Son indice d’iode est moyen (>55).






Perspectives :

Poursuivre son amélioration

Conduire l’analyse socio-économique

Structure de mise au point et adresse : CRA-PP/INRAB
Auteurs : Léïfi NODICHAO
Année de génération : 2005
Sources de financement : INRAB et Budget National
Zone d’application de la technologie : Sud du Bénin, zone sans déficit hydrique
Bénéficiaires : producteurs de palmier à huile.
Avantages potentiels de l’adoption : rendement en huile élevé et croissance lente
Contraintes potentielles à l’adoption : néant
Rendement de la technologie : >3 tonnes d’huile/ha et >6 tonnes/ha de noix
Rentabilité : ...
Coût estimatif de l’investissement initial : 785.938 FCFA/ ha de palmier à huile à l’entrée en production
Coût d’utilisation : 112 500 FCFA/ha pour achat jeunes plants
Main d’œuvre nécessaire : 221,1HJ/ha

Amidagbédé est une variété sélectionnée spécialement pour sa tolérante à la fusariose et sa faible acidité. Cependant, elle présente une tolérance modérée à la mineuse des feuilles et à la sécheresse. La première inflorescence apparaît 16 -17 mois après la plantation. La variété entre en récolte tardivement, soit plus de 30 mois après la plantation ; ce qui fait d’elle une variété tardive parmi les variétés de palmier à huile. La production de régimes à l’âge adulte (9 ans) est supérieure à 110 kg/arbre/an. Le fruit à maturité a un bout noir avec une suite de rouge progressif (nigrescens). Le fruit a la forme oblongue. L’épaisseur de la coque est mince tandis que la pulpe est épaisse et l'amande grosse. Le taux d’extraction industrielle d’huile de palme est élevé (>25%). Son rendement potentiel en huile de palme est supérieur à 3 t/ha/an. Sa teneur en acides gras libres est très faible (<5%).






Perspectives :

Poursuivre son amélioration

Conduire l’analyse socio-économique

Structure de mise au point et adresse : CRA-PP/INRAB
Auteurs : Léïfi NODICHAO
Année de génération : 2015
Sources de financement : INRAB et Budget National
Zone d’application de la technologie : Sud du Bénin, zone sans déficit hydrique
Bénéficiaires : producteurs de palmier à huile.
Avantages potentiels de l’adoption : rendement en huile élevé, résistance à la fusariose et faible acidité
Contraintes potentielles à l’adoption : néant
Rendement de la technologie : >3 tonnes d’huile/ha et >6 tonnes/ha de noix
Rentabilité : ...
Coût estimatif de l’investissement initial : 785.938 FCFA/ ha de palmier à huile à l’entrée en production
Coût d’utilisation : 112 500 FCFA/ha pour achat jeunes plants
Main d’œuvre nécessaire : 221,1HJ/ha

Nouvimahou est une variété sélectionnée spécialement pour sa tolérante à la fusariose et au ganoderma. Cependant, elle présente aussi une tolérance modérée à la sécheresse. Sa croissance est modérée. La première inflorescence apparaît 16 -17 mois après la plantation. La variété entre en récolte très précocement, soit entre 22 et 24 mois après la plantation ; ce qui fait d’elle une variété extra-précoce parmi les variétés de palmier à huile. La production de régimes à l’âge adulte (9 ans) est supérieure à 110 kg/arbre/an. Le fruit à maturité a un bout noir avec une suite de rouge progressif (nigrescens). Le fruit a la forme oblongue et ovoïde. L’épaisseur de la coque est mince tandis que la pulpe et l'amande ont une épaisseur moyenne. Le taux d’extraction industrielle d’huile de palme est élevé (>25%). Son rendement potentiel en huile de palme est supérieur à 3 t/ha/an.






Perspectives :

Poursuivre son amélioration

Conduire l’analyse socio-économique

Structure de mise au point et adresse : CRA-PP/INRAB
Auteurs : Léïfi NODICHAO
Année de génération : 2005
Sources de financement : INRAB et Budget National
Zone d’application de la technologie : Sud du Bénin
Bénéficiaires : producteurs de palmier à huile
Avantages potentiels de l’adoption : rendement en huile élevé, résistance à la fusariose et au ganoderma
Contraintes potentielles à l’adoption : néant
Rendement de la technologie : >3 t d’huile/ha et >6 tonnes/ha de noix
Rentabilité : ...
Coût estimatif de l’investissement initial : 785.938 FCFA/ ha de palmier à huile à l’entrée en production
Coût d’utilisation : 112 500 FCFA/ha pour achat jeunes plants
Main d’œuvre nécessaire : 221,1HJ/ha

Les plants sélectionnés sont issus des graines germées qui représentent les semences de prébase de la variété sélectionnée. Elles sont issues du croisement de deux parents bien connus. Les fruits obtenus du croisement sont dépulpés pour donner les graines qui sont nettoyées, chauffées en serre, trempées puis mises à germer. Les graines germées sont repiquées dans des pots de 5 kg remplis de terreau. Les plantules séjournent ainsi en pré-pépinière pendant 4 mois et sont repiquées en pépinière dans des pots de 25 kg remplis de terreau, et y séjournent pendant 8 mois. Les pots de pépinière sont disposés en triangle équilatéral de 70 cm de côté. En pépinière, les plants sont fertilisés avec les engrais urée et NPK 15-15-15. L'urée est appliquée alternativement tous les 15 jours avec le NPK à différentes doses selon l'âge des plantules : 5 g d'urée et 5 g de NPK les deux premiers mois de pépinière ; 7,5 g par type d'engrais de 3 à 4 mois d'âge des plantules et 10 g de chaque type d'engrais à partir de 5 mois d'âge des plantules. Les plants sélectionnés bons pour la plantation ont les caractéristiques suivantes : un diamètre au collet de 10 à15 cm, une hauteur variant de 60 à100 cm, 5 à 8 feuilles vertes bien foncées et un port général plus large que






Perspectives :

Poursuivre son amélioration

Conduire des études technico-économique d'une pépinière de palmiers à huile

Structure de mise au point et adresse : CRA-PP/INRAB
Auteurs : Léïfi NODICHAO
Année de génération : 2000
Sources de financement : INRAB et Budget National
Zone d’application de la technologie : Sud du Bénin
Bénéficiaires : pépiniéristes, producteurs de palmier à huile
Avantages potentiels de l’adoption : plants certifiés
Contraintes potentielles à l’adoption : néant
Rendement de la technologie : >75 % de graines germées
Rentabilité : ...
Coût estimatif de l’investissement initial : ...
Coût d’utilisation : ...
Main d’œuvre nécessaire : ...

La presse manuelle Dékanmè réalise simultanément deux opérations : le dépulpage et le pressage. Elle est constituée des éléments suivants : 1- un bâti mécano-soudé, 2 - la trémie pour recevoir les fruits cuits destiné au pressage, 3 - un bac de récupération, 4 - une cage cylindrique (les opérations de dépulpage s’effectuent dans cette cage), 5 - trois couteaux fixés sur la cage, 6 -une vis sans fin, avec deux bras en bois fixés à sa partie supérieure. (la vis qui effectue un mouvement de rotation à l’intérieur de la cage, est composée de deux parties : les vis d’alimentation et les vis de pressage) , 7- le cône de pressage ; ce cône est porté par l’axe de la vis à sa partie inferieur, il est pressé contre l’ouverture inferieure de la cage par l’intermédiaire de la butée, du ressort et de l’écrou. La presse manuelle Dékanmè a une capacité horaire de 700 à 900kg/h de fruit, le taux d'extraction sur fruit est de 26 %, le taux d'extraction sur régime est de 17 %, le taux de brisure des noix est de 17 % et sa consommation en carburant est de 1,5 l/h.






Perspectives :

Poursuivre sa diffusion et son amélioration

Structure de mise au point et adresse : CRA-PP/INRAB
Auteurs : Roger AHOUANSOU
Année de génération : 2004
Sources de financement : INRAB et Budget National
Zone d’application de la technologie : Sud du Bénin
Bénéficiaires : transformateurs, producteurs de palmier à huile
Avantages potentiels de l’adoption : production élevée, amélioration de la qualité de l’huile, réduction la pénibilité
Contraintes potentielles à l’adoption : manque d'information ou de sensibilisation, quelques difficultés liées à sa manipulation
Rendement de la technologie : 88- 90% de rendement à l’extraction
Rentabilité : 653 030 F CFA/an contre 503.430 F CFA pour la pratique paysanne
Coût estimatif de l’investissement initial : 550 225 FCFA
Coût d’utilisation : 503 430 FCFA
Main d’œuvre nécessaire : 10 HJ contre 17 pour la pratique paysanne

Le cuiseur à vapeur des fruits est un équipement qui précuit les fruits de palme. Cet équipement a une capacité horaire variant de 1 à 2,5 t/h de régime avec une durée de cuisson de 1h 30 à 2h. Il est muni d’un système d’évacuation automatique des fruits.






Perspectives :

Poursuivre sa diffusion et son amélioration

Structure de mise au point et adresse : CRA-PP/INRAB
Auteurs : Roger AHOUANSOU
Année de génération : 2003
Sources de financement : INRAB et Budget National
Zone d’application de la technologie : Sud du Bénin
Bénéficiaires : transformateurs, producteurs de palmier à huile.
Avantages potentiels de l’adoption : production élevée, amélioration de la qualité de l’huile, réduction de la pénibilité
Contraintes potentielles à l’adoption : manque d'information ou de sensibilisation
Rendement de la technologie : 2,5 t/heure
Rentabilité : 55 519 FCFA/t
Coût estimatif de l’investissement initial : 142 958 FCFA/tonne de noix de palme
Coût d’utilisation : 400.000 FCFA
Main d’œuvre nécessaire : 9,6HJ/t

La défibreuse de noix est un équipement qui permet d’enlever les fibres des noix avant le concassage puisque ces fibres sont valorisées autrement dans la chaîne de valeur palmier. D’une capacité de 600 kg/h, cet équipement a une consommation en carburant de 0,95 l/h. Le taux de fibres dans les noix est de 2,5 %, le taux de noix dans les fibres est 10 % et le taux de brisure des noix est de 10 %.






Perspectives :

Améliorer les performances de la défibreuse afin que le taux de fibres dans les noix et le taux de noix dans les fibres soient inférieures à celles de la méthode traditionnelle.

Réaliser des tests en milieu réel pour évaluer les performances technico-économiques de la défibreuse

Structure de mise au point et adresse : CRA-PP/INRAB
Auteurs : Roger AHOUANSOU
Année de génération : 2004
Sources de financement : INRAB et Budget National
Zone d’application de la technologie : Sud du Bénin
Bénéficiaires : transformateurs, producteurs de palmier à huile.
Avantages potentiels de l’adoption : production élevée, amélioration de la qualité de l’huile, réduction de la pénibilité, diversification des sous-produits
Contraintes potentielles à l’adoption : manque d'information ou de sensibilisation
Rendement de la technologie : 441,62 kg de tourteau par heure
Rentabilité : 55 519 FCFA/ tonne de noix de palme
Coût estimatif de l’investissement initial : 142 958 FCFA/tonne de noix de palme
Coût d’utilisation : ...
Main d’œuvre nécessaire : 2HJ

Le clarificateur simple d’huile de palme a une capacité de 350 kg/h avec un volume de 1000 litres et un rendement de clarification de 90 %.






Perspectives :

Poursuivre sa diffusion et son amélioration

Structure de mise au point et adresse : CRA-PP/INRAB
Auteurs : Roger AHOUANSOU
Année de génération : 2004
Sources de financement : INRAB et Budget National
Zone d’application de la technologie : Sud du Bénin
Bénéficiaires : transformateurs, producteurs de palmier à huile.
Avantages potentiels de l’adoption : production élevée, amélioration de la qualité de l’huile, réduction de la pénibilité
Contraintes potentielles à l’adoption : manque d'information ou de sensibilisation
Rendement de la technologie : 90 %
Rentabilité : 55 519 FCFA/ t de noix de palme
Coût estimatif de l’investissement initial : 142 958 FCFA/tonne de noix de palme
Coût d’utilisation : 190 000 FCFA
Main d’œuvre nécessaire : 0,25HJ/t

Le concasseur de noix est un équipement qui permet d’obtenir les amandes après avoir enlevé la coque. Cet équipement a une capacité horaire de 4000 kg. Il a un taux de concassage de 95 %, un taux de brisure des amandes égal à 10 % et un indice de concassage de 0,83.






Perspectives :

Poursuivre sa diffusion et son amélioration

Structure de mise au point et adresse : CRA-PP/INRAB
Auteurs : Roger AHOUANSOU
Année de génération : 2003
Sources de financement : INRAB et Budget National
Zone d’application de la technologie : Sud du Bénin
Bénéficiaires : transformateurs, producteurs de palmier à huile
Avantages potentiels de l’adoption : production élevée, amélioration de la qualité de l’huile, réduction de la pénibilité
Contraintes potentielles à l’adoption : manque d'information ou de sensibilisation
Rendement de la technologie : 95 % de taux de concassage et 10 % de taux de brisure des amandes
Rentabilité : ....
Coût estimatif de l’investissement initial : 550.000 FCFA
Coût d’utilisation : ...
Main d’œuvre nécessaire : 1HJ

L’égrappeuse de régime des fruits est un équipement qui sépare les fruits de palme du régime. Elle est livrée avec un moteur électrique de 7,5 chevaux ou thermique de 10 chevaux. Capacité journalière = 12 tonnes par jour à raison de 8 heures. Elle a un taux d’effruitage de 96 %. Son rendement est de 60 % et a une consommation horaire de 0,75l.






Perspectives :

Poursuivre sa diffusion et son amélioration

Réaliser les études socio-économiques et le Référentiel Technico-Economique

Structure de mise au point et adresse : CRA-PP/INRAB
Auteurs : CRA-PP
Année de génération : 2004
Sources de financement : INRAB et Budget National
Zone d’application de la technologie : Sud du Bénin
Bénéficiaires : transformateurs, producteurs de palmier à huile
Avantages potentiels de l’adoption : production élevée, amélioration de la qualité de l’huile, réduction de la pénibilité
Contraintes potentielles à l’adoption : manque d'information ou de sensibilisation
Rendement de la technologie : 60 %
Rentabilité : ....
Coût estimatif de l’investissement initial : 2.000.000 F CFA
Coût d’utilisation : ....
Main d’œuvre nécessaire : ...

La souche S2 INRAB de Tilapia Oreochromis niloticus a les caractéristiques ci-après : couleur gris brillant, stries latérales et caudales très visibles, poids pouvant atteindre 250 à 300 g au bout d’un cycle de 4-5 mois, nombre d’œufs varie entre 250 à 1300, les juvéniles croissent à une vitesse de 2,5 g/jour, le rendement avoisine 1,5 à 2 t/ha en bassin parpaing avec un coût de production avoisinant 500 à 700 FCFA, des essais d’élevage en étang pourraient offrir des résultats meilleurs.






Perspectives :

  1. Retrouver les bonnes sources d’approvisionnement en ingrédients alimentaires surtout la farine de poisson et le tourteau de soja qui sont les deux sources potentielles de protéine 
  2. Mettre en place un mécanisme de distribution et du contrôle des semences aquacoles par l’Etat central Elaborer un référentiel technique de production et de certification des semences aquacoles 
  3. Réaliser les études socio-économiques et élaborer le Référentiel Technico-Economique

 

Structure de mise au point et adresse : CRA-A/INRAB
Auteurs : Prosper A. SENOUVO
Année de génération : 2014
Sources de financement : PPAAO
Zone d’application de la technologie : Sud et Centre-Bénin
Bénéficiaires : multiplicateurs d’alevins pisciculteurs/piscicultrices, mareyeuses, commerçants grossistes, transformateurs, consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : bonne croissance des poissons, faible coût de production, bon rendement
Contraintes potentielles à l’adoption : mauvaise qualité des ingrédients composant les granulés, non disponibilité des semences aquacoles en tout temps, mauvaise pratique d’élevage
Rendement de la technologie : 1,5 à 2 t/ha
Rentabilité : 1 100 FCFA – 1 300 FCFA/kg
Coût estimatif de l’investissement initial : 600 FCFA/kg
Coût d’utilisation : 1800 FCFA/kg
Main d’œuvre nécessaire : 5 H.J

Granulés locaux à base du son du maïs jaune incorporé à hauteur de 41,25 %, composés d’autres ingrédients alimentaires du commerce, ayant un taux de protéine de 20 %, offrant de bonnes conditions de croissance pour les juvéniles de poisson en grossissement.






Perspectives :

  1. Elaborer une fiche technique de production de provende pour poisson à base de maïs jaune 
  2. Réaliser les études socio-économiques et élaborer le Référentiel Technico-Economique.

 

Structure de mise au point et adresse : CRA-A/INRAB
Auteurs : Prosper A. SENOUVO
Année de génération : 2014
Sources de financement : PPAAO
Zone d’application de la technologie : Collines et Borgou
Bénéficiaires : multiplicateurs d’alevins, pisciculteurs/piscicultrices, mareyeuses, commerçants grossistes, transformateurs, consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : faible coût d’aliment, bonne croissance des poissons, faible coût de production, bon rendement
Contraintes potentielles à l’adoption : faible disponibilité du son de maïs, préservation de la qualité du son de maïs
Rendement de la technologie : 1,5 à 2 t/ha
Rentabilité : 1 100 FCFA – 1 300 FCFA/kg
Coût estimatif de l’investissement initial : 600 FCFA/kg
Coût d’utilisation : 235,2 FCFA/kg
Main d’œuvre nécessaire : 5 H.J

Essai d'élevage des poissons-chats à différentes densités de mise en charge (5, 10, 15, 20 et 25 alevins/m²) dans des WHEDOS compartimentés, et évaluation des performances de croissance et de production.






Perspectives :

Travailler à l’amélioration de nourrissage des poissons

Travailler sur la fabrication d’équipements ou machines destinés à la fabrication de provende à coût raisonnable

Structure de mise au point et adresse : UAC
Auteurs : Ibrahim T. IMOROU
Année de génération : 2005
Sources de financement : ...
Zone d’application de la technologie : zone agroécologique 8, 6
Bénéficiaires : pisciculteurs, consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : production de poisson pour l’alimentation
Contraintes potentielles à l’adoption : cherté des aliments artificiels et des matières premières, inexistence d’une formule alimentaire vulgarisée, inexistence de fabrique d’aliments pour poisson
Rendement de la technologie : 1,5 à 2 t/ha
Rentabilité : 14 448 FCFA / m2
Coût estimatif de l’investissement initial : 95750 FCFA/m2
Coût d’utilisation : ...
Main d’œuvre nécessaire : 0,4 HJ/ m2

Semence de Soja à haut rendement d’un cycle végétatif de 90-100 jours. Les gousses sont non déhiscentes. Les graines sont ovales, jaune beurré et bien apprécié par les commerçants. Elle est bien adaptée à toutes les régions du pays






Perspectives :

Inciter le privé à s’investir dans la production et la distribution des semences de cette variété

Structure de mise au point et adresse : CRA-Nord Ina, IITA, ISRA Sénégal
Auteurs : ...
Année de génération : 2009
Sources de financement : ...
Zone d’application de la technologie : Sud-Bénin, Centre-Bénin, Nord-Bénin
Bénéficiaires : semenciers et producteurs de soja, usines d’huilerie, commerçants et transformateurs
Avantages potentiels de l’adoption : cycle court, gousses non déhiscentes, variété bien adaptée à toutes les régions du pays et un rendement élevé
Contraintes potentielles à l’adoption : offre de semence discontinue, éparse et peu coordonnée, difficulté d’accès à l’engrais spécifique du soja
Rendement de la technologie : 2500 kg/ha
Rentabilité : 258000 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 242000 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 20000 F CFA/ha
Main d’œuvre nécessaire : 54 HJ

Semence de soja à haut rendement d’un cycle végétatif de 100 jours.  Les gousses sont non déhiscentes. Les graines sont ovales, jaune beurré et bien apprécié par les commerçants. Elle est bien adaptée à toutes les régions du pays






Perspectives :

Promouvoir les coopératives de production des semences de soja

Structure de mise au point et adresse : CRA Nord/INRAB, IITA
Auteurs : ...
Année de génération : 2009
Sources de financement : ...
Zone d’application de la technologie : Sud-Bénin, Centre-Bénin, Nord-Bénin
Bénéficiaires : semenciers et producteurs de soja, usines d’huilerie, commerçants et transformateurs
Avantages potentiels de l’adoption : cycle court, gousses non déhiscentes, variété bien adaptée à toutes les régions du pays et un rendement élevé
Contraintes potentielles à l’adoption : offre de semence discontinue, éparse et peu coordonnée, Difficulté d’accès à l’engrais spécifique du soja
Rendement de la technologie : 2500 kg/ha
Rentabilité : 258000 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 242000 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 20000 F CFA/ha
Main d’œuvre nécessaire : 54 HJ

Semence de soja à haut rendement d’un cycle végétatif de 100 jours.  Les gousses sont non déhiscentes. Les graines sont ovales, jaune beurré et bien apprécié par les commerçants. Elle est bien adaptée à toutes les régions du pays






Perspectives :

Promouvoir les coopératives de production des semences de soja

Structure de mise au point et adresse : CRA Nord /INRAB, IITA
Auteurs : ..
Année de génération : 2009
Sources de financement : ...
Zone d’application de la technologie : Sud-Bénin, Centre-Bénin, Nord-Bénin
Bénéficiaires : semenciers et producteurs de soja, usines d’huilerie, commerçants et transformateurs
Avantages potentiels de l’adoption : cycle court, gousses non déhiscentes, variété Elle adaptée à toutes les régions du pays et un rendement élevé
Contraintes potentielles à l’adoption : offre de semence discontinue, éparse et peu coordonnée, difficulté d’accès à l’engrais spécifique du soja
Rendement de la technologie : 2500 kg/ha
Rentabilité : 258000 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 242000 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 20000 F CFA/ha
Main d’œuvre nécessaire : 54 HJ

Semence de soja à haut rendement d’un cycle végétatif de 100 jours.  Les gousses sont non déhiscentes. Les graines sont ovales, jaune beurré et bien apprécié par les commerçants. Elle est bien adaptée à toutes les régions du pays






Perspectives :

 

Réaliser une accession des variétés de soja existant au Bénin

Structure de mise au point et adresse : LMSEM/FSA/UAC, CRA-Nord/INRAB, IITA
Auteurs : Pascal HOUGNADAN
Année de génération : 2009
Sources de financement : ...
Zone d’application de la technologie : Sud-Bénin, Centre-Bénin, Nord-Bénin
Bénéficiaires : semenciers et producteurs de soja, usines d’huilerie, commerçants et transformateurs
Avantages potentiels de l’adoption : cycle court, Gousses non déhiscentes, variété bien adaptée à toutes les régions du pays et un rendement élevé
Contraintes potentielles à l’adoption : offre de semence discontinue, éparse et peu coordonnée, difficulté d’accès à l’engrais spécifique du soja
Rendement de la technologie : 2500 kg/ha
Rentabilité : 258000 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 242000 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 20000 F CFA/ha
Main d’œuvre nécessaire : 54 HJ

"Engrais biologique pour légumineuses. Augmente la production de biomasse végétale et le rendement en graines ; accélère la fertilisation naturelle des sols par la fixation de l’azote N 2 ; améliore la qualité des aliments et du fourrage "






Perspectives :

Large diffusion de la technologie pour atteindre le plus grand nombre des acteurs. Inciter des privés à s’approprier de la technologie pour une démultiplication

Structure de mise au point et adresse : LMSEM/FSA/UAC
Auteurs : Prof HOUNGNANDAN P.
Année de génération : ...
Sources de financement : ...
Zone d’application de la technologie : Sud-Bénin, Centre-Bénin, Nord-Bénin
Bénéficiaires : producteurs de soja
Avantages potentiels de l’adoption : augmente la capacité de fixation de l’azote par la plante ; permet un bon développement de la plante ; augmente le rendement de la plante
Contraintes potentielles à l’adoption : techniques de production des inoculas difficiles à acquérir et à maîtriser ; toutes les variétés n’ont pas le même pouvoir de nodulation
Rendement de la technologie : 3500kg/ha
Rentabilité : 450000 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 250 000 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 28000 FCFA/ha
Main d’œuvre nécessaire : 55 HJ

Variété de soja adaptée à la zone savane guinéenne du Bénin. Elle présente une couleur blanc-crème, bien appréciée. Elle est également très propice pour l’huilerie. Eller a un rendement très élevé et résiste aux insectes nuisibles. Elle a un port érigé et Cycle de 100 à 120 jours.






Perspectives :

 

Réaliser des analyses organoleptiques et culinaires pour identifier les usages appropriés à cette variété

Structure de mise au point et adresse : SRA Sénégal, CRA-Nord Ina/INRAB
Auteurs : ...
Année de génération : ...
Sources de financement : ...
Zone d’application de la technologie : Sud-Bénin, Centre-Bénin, Nord-Bénin
Bénéficiaires : semenciers et producteurs de soja, usines d’huilerie, commerçants et transformateurs
Avantages potentiels de l’adoption : cycle court, gousses non déhiscentes, variété bien adaptée à toutes les régions du pays et rendement élevé
Contraintes potentielles à l’adoption : offre de semence discontinue, faible résistance à la sècheresse, difficile à cuire
Rendement de la technologie : 3000 kg/ha
Rentabilité : 350000 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 242000 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 20000 F CFA/ha
Main d’œuvre nécessaire : 54 HJ

C'est un hybride de plantain introduit de l'IITA/Ibadan et testé au Bénin. Hauteur moyenne de la plante : 274,45 cm ; nombre moyen de doigts : 61 ; circonférence moyenne du pseudotronc à 10 cm du sol : 71,35 cm ; intervalle moyenne plantation récolte (IPC) : 307 jours. Couleur de la peau à maturité : jaune ; poids moyen du régime : 10,9 kg ; couleur de la pulpe : jaune ; nombre moyen de mains : 6.

Caractères technologiques : Evaluation à l’état frais : Couleur de la peau : Jaune, Texture de la pulpe : Bon ; Goût : Très bon à bon ; Arôme : Bon ; Longueur du doigt : Moyen.

Caractères technologiques (Evaluation culinaire / Aloco) : fermeté : ferme ; croustillance : légèrement croustillent à mou ; couleur : bon ; acceptabilité générale : bon à très bon ; goût : bon.






Perspectives :

Inscrire la variété au Catalogue Béninois des espèces et Variétés végétales (CaBEV) ; former les producteurs de semences de base et certifiées.

Structure de mise au point et adresse : IITA Nigeria, CRA-PP/INRAB
Auteurs : Bernardin LOKOSSOU
Année de génération : 2014
Sources de financement : PPAAO, CORAF/WECARD
Zone d’application de la technologie : Sud Bénin
Bénéficiaires : producteurs de bananier, pépiniéristes (semenciers), transformatrices, restauratrices et consommateur
Avantages potentiels de l’adoption : nombre élevé de mains et de doigts ; poids élevé des régimes
Contraintes potentielles à l’adoption : apport élevé de matière organique selon le niveau de fertilité des sols (10 kg/plant par sol pauvre) ; faible rendement en saison sèche ; faible durée d'autoprotection des plants après plantation (6 mois)
Rendement de la technologie : 1500 régime/ha
Rentabilité : 463 000 FCFA (1ère année) et 1 662 500 FCFA (2ème année)
Coût estimatif de l’investissement initial : 1 787 000 (1ère année) et 587 500 (2ème année)
Coût d’utilisation : ...
Main d’œuvre nécessaire : 249,95HJ

Les étapes de cette technologie se présentent comme suit : -le choix des rejets de base : le choix des rejets doit porter sur des plantes–mères saines. Les rejets adaptés à la technologie sont en forme de baïonnette (rejet dont les feuilles sont étroite en forme de flèche) avec une taille comprise entre 30 et 80 cm et dont la tige est bien développée. Le nettoyage du bulbe (tige souterraine) et la désinfection du rejet de base. La description complète de la technique de la pépinière jusqu’au repiquage est






Perspectives :

Développer une stratégie d'éradication de la maladie du Banana Bunchy Top dans les zones infestées (Mono, Couffo, Ouémé plateau) et procéder à la replantation avec du matériel sain. Vulgariser la technologie dans toutes les régions du Bénin

Structure de mise au point et adresse : CARBAP et CRA-PP/INRAB
Auteurs : Bernardin LOKOSSOU
Année de génération : 2004
Sources de financement : CARBAP
Zone d’application de la technologie : Les 77 communes du Bénin
Bénéficiaires : producteurs de bananier, pépiniéristes (semenciers)
Avantages potentiels de l’adoption : accroissement de la quantité et amélioration de la qualité (pureté, rejets sains et homogènes) des rejets produits par pieds ; production est hors sol et se fait en toutes saisons de l’année ; permet de réduire les risques de propagation des maladies.
Contraintes potentielles à l’adoption : insuffisance des rejets de base certifiés ; investissement élevé pour les petits producteurs et les semenciers ; rejets obtenus sont plus sensibles aux poches de sécheresse
Rendement de la technologie : 15 rejets en six mois
Rentabilité : ...
Coût estimatif de l’investissement initial : 264 5959 F CFA pour la production de 100 rejets
Coût d’utilisation : 225 FCFA pour un rejet
Main d’œuvre nécessaire : 66,47HJ /100 rejets

C'est un hybride de plantain introduit du Honduras. Il est bien adapté aux bassins de production du sud du Bénin. Hybride tolérant à la cercosporiose noire. Hauteur moyenne de la plante : 293 cm ; circonférence moyenne du pseudotronc à 10 cm du sol : 69 cm ; intervalle moyenne plantation floraison (IPF) : 268 jours. Coût : assez bon. Caractères technologiques (Evaluation culinaire / Chips) : fermeté : ferme ; croustillance : croustillant ; couleur : bon ; goût : très acceptable à bon ; acceptabilité générale : très bon à bon.






Perspectives :

Inscrire la variété au Catalogue Béninois des espèces et variétés végétales (CaBEV) ; former les producteurs de semences de base et certifiées.

Structure de mise au point et adresse : FHIA, CRA-PP/INRAB
Auteurs : Bernardin LOKOSSOU
Année de génération : 2014
Sources de financement : PPAAO et CORAF/WECARD
Zone d’application de la technologie : Bassins de production du sud du Bénin.
Bénéficiaires : producteurs de bananier, pépiniéristes (semenciers), transformatrices, restauratrices et consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : faible coût de production et adapté à l’écologie du bassin de production et aux habitudes culinaires
Contraintes potentielles à l’adoption : apport élevé de matière organique selon le niveau de fertilité des sols (10 kg/plant par sol pauvre ; faible durée d'autoprotection des plants après plantation (6 mois) ; non disponibilité du matériel de plantation
Rendement de la technologie : 1500 régime/ha
Rentabilité : 463 000 FCFA (1ère année) et 1 662 500 FCFA (2ème année)
Coût estimatif de l’investissement initial : 1 787 000 (1ère année) et 587 500 (2ème année)
Coût d’utilisation : ...
Main d’œuvre nécessaire : 249,95HJ

Nature génétique : lignée pure, port érigé, cycle du semis- à 95 % de maturité : 75-80 jours, rendement potentiel : 2,5 t/ha, inflorescence groupée, grain blanchâtre, isohyète : 400-800 mm






Perspectives :

 

Faciliter la disponibilité en semence et son accessibilité

Elaborer et multiplier une fiche technique et un guide d’information pour une meilleure diffusion de la variété

 

Structure de mise au point et adresse : CRA-Sud/INRAB, Niaouli
Auteurs : DETONGNON Jean
Année de génération : 2009
Sources de financement : ...
Zone d’application de la technologie : Sud-Bénin, Zou-collines, Atacora -Donga
Bénéficiaires : producteurs de niébé
Avantages potentiels de l’adoption : augmentation du rendement, intérêt économique et nutritionnelle (cuisson rapide et bonne)
Contraintes potentielles à l’adoption : difficultés d’accès à la semence
Rendement de la technologie : 1,2 t/ha
Rentabilité : 118500 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 241500 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 12000 FCFA/ha
Main d’œuvre nécessaire : 70 HJ/ha

Nature génétique : lignée pure, port érigé, cycle du semis à 95 %maturité : 75-80 jours ; rendement potentiel : 2,5 t/ha ; insensible au photopériodisme, inflorescence groupée, grains marrons, isohyète : 400-800mm






Perspectives :

 

Appuyer la vulgarisation de la technologie

Encourager les producteurs à l’adopter

 

Structure de mise au point et adresse : CRA-Sud/INRAB, Niaouli
Auteurs : DETONGNON Jean
Année de génération : 2009
Sources de financement : FIDA
Zone d’application de la technologie : Sud-Bénin, Nord-Bénin
Bénéficiaires : producteurs de niébé
Avantages potentiels de l’adoption : augmentation du rendement, intérêt économique et nutritionnelle (cuisson rapide et bonne)
Contraintes potentielles à l’adoption : difficultés d’accès à la semence
Rendement de la technologie : 1,3 t/ha
Rentabilité : 140000 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 250000
Coût d’utilisation : 12500
Main d’œuvre nécessaire : 72 Hj/ha

Nature génétique : lignée pure, cycle du semis à 95% maturité : 61 jours, port semi-rampant, feuilles larges, graines de couleur blanche crème, rendement potentiel en grains : 3,5 t/ha, poids de 100 graines : 16 g, résistance moyenne aux nuisibles : sensible au Striga, isohyète : 800-1200 mm






Perspectives :

 

Faciliter la disponibilité en semence et son accessibilité

Elaborer et multiplier une fiche technique et un guide d’information pour une meilleure diffusion de la variété

 

Structure de mise au point et adresse : ISRA Sénégal,
Auteurs : ISRA/CNRA
Année de génération : ...
Sources de financement : ....
Zone d’application de la technologie : Sud-Bénin, Nord-Bénin
Bénéficiaires : producteurs
Avantages potentiels de l’adoption : intérêt économique et nutritionnelle, bonne cuisson, augmentation du rendement
Contraintes potentielles à l’adoption : difficultés d’accès à la semence
Rendement de la technologie : 900 Kg/ha
Rentabilité : 221000 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 229000 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 10000 FCFA/ha
Main d’œuvre nécessaire : 77 Hj/ha

Nature génétique : lignée pure, Cycle de semis à 95% maturité : 70 jours, port de la plante : érigé, feuilles large, rendement potentiel : 1,7 t/ha, insensible au photopériodisme, inflorescence groupée, graines de couleur blanche moyenne, Isohyète : 400-800 mm






Perspectives :

 

Encourager sa culture en rotation pour briser le cycle du Striga dans les champs de céréales infestées

Structure de mise au point et adresse : CRA-Sud/INRAB, Niaouli
Auteurs : DETONGNON Jean
Année de génération : ....
Sources de financement : ....
Zone d’application de la technologie : Sud-Bénin, Nord-Bénin
Bénéficiaires : producteurs de niébé
Avantages potentiels de l’adoption : rendement élevé au départ, résistant au Striga, bonne cuisson, intérêt économique et nutritionnel (cuisson rapide et bonne)
Contraintes potentielles à l’adoption : très sensible aux parasites, sensible à la fonte de semis, cuisson pas homogène
Rendement de la technologie : 700 Kg/ha
Rentabilité : 93400 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 116600 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 10000 FCFA/ha
Main d’œuvre nécessaire : 70 Hj/ha

Nature génétique : lignée pure, port érigé, feuilles larges, graines de couleur blanche, cycle semis-maturité : 65-70 jours, rendements potentiels : 2,2 t/ha, isohyète : 400-800 mm






Perspectives :

 

Elaborer et multiplier un guide d’information pour améliorer la diffusion de la variété

 

Structure de mise au point et adresse : CRA-Sud/INRAB, Niaouli
Auteurs : DETONGNON Jean
Année de génération : 2000
Sources de financement : ...
Zone d’application de la technologie : Sud-Bénin, Nord-Bénin
Bénéficiaires : producteurs de niébé
Avantages potentiels de l’adoption : facilité de cuisson, résistance aux attaques des nuisibles
Contraintes potentielles à l’adoption : non-disponibilité de semence, mauvaise qualité marchande, mauvaise qualité organoleptique, faible résistance aux nuisibles, manque d’organisation de la filière avec un accent sur le marché
Rendement de la technologie : 1 t/ha
Rentabilité : 69500 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 230500 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 12500 FCFA/ha
Main d’œuvre nécessaire : 72 Hj/ha

Nature génétique : lignée pure, cycle semis-maturité : 65-70 jours, port érigé, feuilles larges, graines de couleur crème, rendement grain supérieur à 1 tonne en station






Perspectives :

 

Poursuivre sa diffusion et son amélioration

Structure de mise au point et adresse : PRONAF-Bénin
Auteurs : ARODOKOUN Y. David
Année de génération : 2000
Sources de financement : ..
Zone d’application de la technologie : Sud-Bénin et du Nord-Bénin
Bénéficiaires : producteurs
Avantages potentiels de l’adoption : facilité de cuisson, résistance aux attaques de nuisibles
Contraintes potentielles à l’adoption : non-disponibilité de semence, mauvaise qualité marchande, mauvaise qualité organoleptique, faible résistance aux nuisibles, manque d’organisation de la filière avec un accent sur le marché
Rendement de la technologie : 600 kg/ha
Rentabilité : 63400 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 116600 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 10000 FCFA/ha
Main d’œuvre nécessaire : 68 Hj/ha

Nature génétique, cycle semis-maturité : 65-70 jours, port érigé, feuilles lancéolées, graines de couleur blanche, rendement grain supérieur à 1 tonne/ha en station






Perspectives :

 

Faciliter la disponibilité de semence et son accessibilité

Elaborer et multiplier un guide d’information pour une meilleure diffusion de la variété

Structure de mise au point et adresse : PRONAF-Bénin
Auteurs : ARODOKOUN Y. David
Année de génération : 2000
Sources de financement : ....
Zone d’application de la technologie : Sud-Bénin et Nord-bénin
Bénéficiaires : producteurs de niébé
Avantages potentiels de l’adoption : facilité de cuisson, résistance aux attaques de nuisibles
Contraintes potentielles à l’adoption : non disponibilité de semences, mauvaise qualité marchande, mauvaise qualité organoleptique, faible résistance aux nuisibles, manque d’organisation de la filière avec un accent sur le marché
Rendement de la technologie : 700 kg/ha
Rentabilité : 81000 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 129000 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 12500 FCFA/ha
Main d’œuvre nécessaire : 68 Hj/ha

Nature génétique : lignée pure, cycle semis-maturité : 65-70 jours, port érigé, feuilles lancéolées, graines de couleur blanche, poids de 100 grains : 18 g, rendement potentiel : 2 t/ha






Perspectives :

 

Faciliter sa disponibilité et son accessibilité

Poursuivre sa diffusion et son amélioration

 

Structure de mise au point et adresse : PRONAF-Bénin
Auteurs : ARODOKOUN Y. David
Année de génération : 2000
Sources de financement : FIDA
Zone d’application de la technologie : Sud-Bénin et Nord-Bénin
Bénéficiaires : producteurs de niébé
Avantages potentiels de l’adoption : facilité de cuisson, résistance aux attaques de nuisibles
Contraintes potentielles à l’adoption : non disponibilité de semences, mauvaise qualité marchande, mauvaise qualité organoleptique, faible résistance aux nuisibles, manque d’organisation de la filière avec un accent sur le marché
Rendement de la technologie : 1,2 t/ha
Rentabilité : 278250 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 202750 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 18000
Main d’œuvre nécessaire : 74 Hj/ha

Nature génétique : lignée pure, cycle du semis à 95 % maturité: 90 jours, rendement potentiel : 1,5  t/ha,  inflorescence étalée, port semi-érigé, grains blanches, Isohyète : 400-800 mm de pluie.






Perspectives :

 

Faciliter la disponibilité de semence et son accessibilité

Poursuivre sa diffusion et son amélioration

Structure de mise au point et adresse : CRA-Sud/INRAB, Niaouli
Auteurs : DETONGNON Jean
Année de génération : 1996
Sources de financement : ...
Zone d’application de la technologie : Sud-Bénin, Nord-bénin
Bénéficiaires : producteurs de niébé
Avantages potentiels de l’adoption : facilité de cuisson.
Contraintes potentielles à l’adoption : non disponibilité de semences, mauvaise qualité marchande, mauvaise qualité organoleptique, très sensible aux parasites
Rendement de la technologie : 1 t/ha
Rentabilité : 95000 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 205000 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 12500 FCFA/ha
Main d’œuvre nécessaire : 70 Hj/ha

Le séchage solaire est une technique d'amélioration du stockage par la désinfection des grains de niébé exposés au soleil et sur du plastique. La désinfection solaire consiste à : 1-étaler la paille au sol (10 à 20 cm) de façon à obtenir une surface plane, 2-étendre la toile plastique noire sur la paille étalée, 3- étaler les graines de niébé sur la toile plastique noire, 4- couvrir les graines ainsi étalées par une toile plastique transparente, 5- joindre les bords des deux plastiques et les plier






Perspectives :

 

Réaliser des études socio-économiques sur la technologie

Produire et multiplier les fiches techniques et les Référentiels Technico-Economiques pour une large diffusion de la technologie

 

Structure de mise au point et adresse : PRONAF-Bénin
Auteurs : ARODOKOUN Y. David
Année de génération : 2003
Sources de financement : FIDA
Zone d’application de la technologie : Sud-Bénin
Bénéficiaires : producteurs de niébé
Avantages potentiels de l’adoption : réduction considérable du taux d’humidité des grains, longue conservation des graines
Contraintes potentielles à l’adoption : intempéries
Rendement de la technologie : ...
Rentabilité : ...
Coût estimatif de l’investissement initial : ...
Coût d’utilisation : ...
Main d’œuvre nécessaire : 1Hj

Le silo métallique est une technologie post récolte i.e. une structure de stockage en tôle métallique. La tôle (0,65 m de diamètre par exemple) est assez solide et est galvanisée à l’aide d’une machine plieuse, donc difficile pour la fabrication manuelle.






Perspectives :

 

Faciliter sa disponibilité et son accessibilité

Améliorer la connaissance au niveau local sur la technologie

Poursuivre sa diffusion et son amélioration

Structure de mise au point et adresse : Projet Gestion Post Récolte en Afrique Sub-Saharienne/Helvetas
Auteurs : PHM-SSA/Helvetas
Année de génération : 2015
Sources de financement : Agence Suisse pour le Développement et la Coopération (SDC)
Zone d’application de la technologie : Sud du Bénin, Nord-Est
Bénéficiaires : producteurs, transformateurs
Avantages potentiels de l’adoption : longue durée de conservation, efficacité par rapport aux structures traditionnelles (réduction de perte)
Contraintes potentielles à l’adoption : coût relativement élevé, manque de formation et/ou de sensibilisation
Rendement de la technologie : Taux de perte (sans traitement des grains) : 3,46 % - 5,49 %
Rentabilité : 1 FCFA investi dans le stockage des grains de niébé, permet de gagner 3 à 4 FCFA
Coût estimatif de l’investissement initial : 645 FCFA pour 100 kg
Coût d’utilisation : 31000 FCFA pour un silo de 250 kg et 40000 FCFA pour un silo de 350 kg
Main d’œuvre nécessaire : ...

Il s'agit d'une structure/sac de stockage avec de l’insecticide (deltaméthrine) incorporé pour prévenir les dégâts/infestations des insectes nuisibles. La deltaméthrine y est libérée à la surface du fil pendant au moins deux ans ; par conséquent, ces sacs peuvent protéger les céréales contre les attaques de ravageurs pendant au moins la même période. Ainsi, les sacs Zero Fly sont autonomes et durables.






Perspectives :

 

Améliorer la connaissance au niveau local sur la technologie

Poursuivre sa diffusion

 

Structure de mise au point et adresse : Projet Gestion Post Récolte en Afrique Sub-Saharienne/Helvetas
Auteurs : PHM-SSA/Helvetas
Année de génération : 2015
Sources de financement : Agence Suisse pour le Développement et la Coopération (SDC)
Zone d’application de la technologie : Sud-Bénin et Nord-Est
Bénéficiaires : producteurs, commerçants et transformateurs de niébé
Avantages potentiels de l’adoption : bonne conservation, efficacité par rapport aux structures traditionnelles
Contraintes potentielles à l’adoption : manque de sensibilisation et de formation
Rendement de la technologie : 8,34 % (avec produit de traitement), 8,39 % (sans produit de traitement)
Rentabilité : ...
Coût estimatif de l’investissement initial : Coût d’acquisition : 1500 FCFA
Coût d’utilisation : ....
Main d’œuvre nécessaire : ...

Le sac PICS est une structure de stockage composé de triple ensachage i.e. un ensemble de trois sacs avec deux doublures de polyéthylène. Le sac PICS constitué d’une épaisseur en polypropylène tissé contenant deux autres sacs en polyéthylène haute densité (PEHD) de 80 microns d’épaisseur chacun et peu perméable à l’air. Le sac PICS reproduit les conditions d’un stockage hermétique.






Perspectives :

 

Améliorer la connaissance au niveau local sur la technologie

Poursuivre sa diffusion

 

Structure de mise au point et adresse : IITA/PEDUNE
Auteurs : IITA/PEDUNE
Année de génération : 2000
Sources de financement : ...
Zone d’application de la technologie : Sud-Bénin, Nord-Est Bénin
Bénéficiaires : producteurs, transformateurs
Avantages potentiels de l’adoption : longue durée de conservation, efficacité par rapport aux structures traditionnelles
Contraintes potentielles à l’adoption : manque de sensibilisation et de formation
Rendement de la technologie : Taux de perte (sans traitement des grains) : 25,30 %-31,24 %
Rentabilité : 1 FCFA investi dans le stockage des grains de niébé, permet de gagner 4 à 5 FCFA
Coût estimatif de l’investissement initial : 14500 pour 500 kg
Coût d’utilisation : 1000-1500 FCFA
Main d’œuvre nécessaire : ...

Nature génétique : lignée pure, variété précoce d'arachide améliorée avec cycle du semis à 95 % maturité : 90-95 jours, rendement potentiel en graines : 1,5-1,8 t, couleur des grains : unicolore, port érigé, poids de 100 graines : faible, dormance des graines : courte, vocation d’utilisation : huilerie, isohyète : 350-600 mm de pluie.






Perspectives :

Faciliter sa disponibilité et son accessibilité

Poursuivre sa diffusion et son amélioration

 

Structure de mise au point et adresse : CRA-Nord/INRAB
Auteurs : INRAB
Année de génération : 2009
Sources de financement : ...
Zone d’application de la technologie : Centre-Bénin, Nord-Bénin
Bénéficiaires : producteurs d’arachide
Avantages potentiels de l’adoption : augmentation de rendement, intérêt économique et nutritionnelle
Contraintes potentielles à l’adoption : difficultés d’accès aux intrants
Rendement de la technologie : 1,2 t/ha
Rentabilité : 100000 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 260000 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 15000 FCFA/ha
Main d’œuvre nécessaire : 75 Hj/ha

Nature génétique : lignée pure, port érigé, cycle du semis- à 95 % maturité : 90 jours, rendement potentiel en graines : 1,2 t/ha, couleur des grains : rose, résistante aux nuisibles, résistante à la sécheresse, vocation d’utilisation : huilerie, isohyète : 400-800 mm de pluie.






Perspectives :

Faciliter sa disponibilité et son accessibilité

Poursuivre sa diffusion et son amélioration

Structure de mise au point et adresse : CRA-Nord/INRAB
Auteurs : INRAB
Année de génération : 2009
Sources de financement : ...
Zone d’application de la technologie : Centre-Bénin, Nord-Bénin
Bénéficiaires : producteurs d’arachide
Avantages potentiels de l’adoption : augmentation du rendement, intérêt économique et nutritionnel
Contraintes potentielles à l’adoption : difficultés d’accès aux intrants
Rendement de la technologie : 900 kg/ha
Rentabilité : 140000 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 130000 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 12000 FCFA/ha
Main d’œuvre nécessaire : 65 Hj/ha

Nature génétique : lignée pure, port de plante : érigé, cycle semis-maturité : 120 jours, rendement potentiel en graines : 2,5 t/ha, couleur des grains : multicolore, vocation d’utilisation : huilerie, isohyète : 800-1200 mm de pluie.






Perspectives :

Encourager sa culture rotation pour briser le cycle du Striga dans les champs de céréales infestées

 

Structure de mise au point et adresse : CRA-Nord/INRAB, ICRISAT-Mali
Auteurs : INRAB
Année de génération : 2009
Sources de financement : ...
Zone d’application de la technologie : Centre-Bénin, Nord-Bénin
Bénéficiaires : producteurs d’arachide
Avantages potentiels de l’adoption : augmentation du rendement, intérêt économique et nutritionnel
Contraintes potentielles à l’adoption : difficultés d’accès aux intrants
Rendement de la technologie : 1,5 t/ha
Rentabilité : 1955000 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 255000 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 14000 FCFA/ha
Main d’œuvre nécessaire : 83 Hj/ha

Le moulin à mouture humide est essentiellement composé d'un moteur diesel de puissance 7,2 CV à 2600 tr/min et d'origine chinoise, d'un système de transmission par poulies et courroies trapézoïdales de type B, d'une trémie, d'une vis d’Archimède (convoyeur), d'une paire de meules en pierre.






Perspectives :

Subventionner le coût de l’équipement afin de permettre aux producteurs, aux transformateurs et aux commerçants un accès plus facile

Poursuivre sa diffusion

Structure de mise au point et adresse : PTAA/INRAB
Auteurs : Michel MEGNANGLO, Agossou KLOTOE
Année de génération : 2000
Sources de financement : APROMAH, IITA, SASAKAWA-Afrique
Zone d’application de la technologie : tout le pays mais surtout Centre-Bénin et Nord-Bénin
Bénéficiaires : transformateurs/trices d’arachide en huile et/ou « kluiklui »
Avantages potentiels de l’adoption : réduction de la pénibilité, pâte obtenue est assez fine, rendements meilleurs
Contraintes potentielles à l’adoption : faible vulgarisation, coût élevé de l’équipement
Rendement de la technologie : 27,05 %
Rentabilité : 105 t d’arachide décortiquée
Coût estimatif de l’investissement initial : ...
Coût d’utilisation : ...
Main d’œuvre nécessaire : Capacité horaire de mouture : 48,56 kg/h Taux d’extraction d’huile : 64,1 %

Il est composé de quatre parties fondamentales : 1- une chambre de malaxage réalisée à partir d’un fût d’huile découpé dont l’intérieur est recouvert d’une couche de métal inoxydable. Il est donc adapté à être en contact avec les aliments, 2- d’un bras de malaxage composé aussi de matériaux en inox, 3- d’une tige arbre qui relie le bras et la chambre de malaxage, 4- d’un châssis réalisé à partir de fer cornier. Il a un taux d’extraction de 30,04 %, d’une capacité horaire de 26 kg/h. L’aptitude au moulage de la pâte est excellente.






Perspectives :

Poursuivre sa diffusion et son amélioration

Structure de mise au point et adresse : PTAA/INRAB
Auteurs : Thierry GODJO
Année de génération : 2000
Sources de financement : PADSA/DANIDA
Zone d’application de la technologie : zones urbaine et rurale
Bénéficiaires : coopératives, producteurs/trices d’huile d’arachide
Avantages potentiels de l’adoption : augmentation du rendement d'extraction d'huile d'arachide par rapport à la pratique manuelle, augmentation de la capacité de production d'huile d'arachide
Contraintes potentielles à l’adoption : manque d’information et de sensibilisation
Rendement de la technologie : 30,04 %
Rentabilité : 5660 FCFA/t
Coût estimatif de l’investissement initial : 40090 FCFA/t
Coût d’utilisation : 48811 FCFA
Main d’œuvre nécessaire : ....

Rotation Mucuna pruriens var utilis/maïs + 100 kg N14P23K14 + 50 kg Urée – igname. Les graines de Mucuna (25 kg/ha) sont semées entre poquets 45 jours après le semis du maïs (écartement habituel de 0,8 m x 0,4 m). L’engrais inorganique est appliqué sur le précédent maïs associé au Mucuna. Après la récolte du maïs, le Mucuna poursuit son cycle. Vers la fin de la première année, toute la biomasse produite (paille de maïs, fanes de Mucuna) est incorporée au sol lors de la confection des buttes suivie de la plantation des semenceaux d’igname. L’igname poursuit son cycle de développement en deuxième année jusqu’à la récolte des tubercules.






Perspectives :

Poursuivre sa diffusion

Structure de mise au point et adresse : CRA-Centre/INRAB, Savè
Auteurs : Raphiou MALIKI
Année de génération : 2007
Sources de financement : FAO/TCP/BEN/3002
Zone d’application de la technologie : Collines, Alibori, Borgou, Atacora, Donga
Bénéficiaires : producteurs d’igname
Avantages potentiels de l’adoption : amélioration de la fertilité du sol, du rendement et des revenus, contrôle des adventices (imperata en paticulier)
Contraintes potentielles à l’adoption : difficultés d’incorporation de biomasse végétale, faible valeur d’usage des graines de Mucuna, inexistence de marché d’écoulement des graines de Mucuna, compétition de la culture de Mucuna avec le maïs, divagation des bêtes
Rendement de la technologie : 15 t/ha-20 t/ha de matière fraîche d’igname (rotundata) selon les zones (forte/faible pression foncière)
Rentabilité : 813000-1380000 FCFA/ha sur 2 ans selon les zones (forte/faible pression)
Coût estimatif de l’investissement initial : 817000 FCFA/ha sur 2 ans
Coût d’utilisation : 355000 FCFA/ha sur 2 ans
Main d’œuvre nécessaire : 238 Hj/ha sur 2 ans

Rotation  Aeschynomene histrix /maïs + 100 kg N14P23K14 + 50 kg Urée – igname. Aeschynomene est installé environ une semaine après le semis du maïs sur le flanc des billons. Lors du semis, les graines d’Aeschynomene sont mélangées avec du sable sec dans une proportion de ¼ et ¾. Sept (7) kg/ha de graines d’Aeschynomene sont recommandés. L’engrais inorganique est appliqué sur le précédent maïs associé à Aeschynomene. Après la récolte du maïs, Aeschynomene poursuit son cycle de développement. Vers la fin de la première année, toute la biomasse produite (paille de maïs, fanes d’Aeschynomene) est incorporée au sol lors de la confection des buttes suivie de la plantation des semenceaux d’igname.






Perspectives :

Poursuivre sa diffusion

Structure de mise au point et adresse : CRA-Centre/INRAB, Savè
Auteurs : Raphiou MALIKI
Année de génération : 2000
Sources de financement : FAO/TCP/BEN/3002
Zone d’application de la technologie : Collines, Nord-Ouest et Nord-Est
Bénéficiaires : producteurs d’igname
Avantages potentiels de l’adoption : amélioration de la fertilité du sol, du rendement et des revenus, contrôle des adventices
Contraintes potentielles à l’adoption : difficultés d’incorporation de la biomasse végétale, de récolte des graines de histrix, inexistence de marché d’écoulement des graines de hystrix, divagation des bêtes au champ liée à l’offre fourragère de histrix
Rendement de la technologie : 15,5 t/ha-20 t/ha de matière fraîche d’igname (rotundata) selon les zones (forte/faible pression foncière)
Rentabilité : 441750-519250 FCFA/ha sur 2 ans selon les zones (forte/faible pression)
Coût estimatif de l’investissement initial : 796500 FCFA/ha sur 2 ans
Coût d’utilisation : 350500 FCFA/ha sur 2 ans
Main d’œuvre nécessaire : 230 Hj/ha sur 2 ans

Le système Stylosanthes guianensis - igname est établi dans une rotation de cultures avec le maïs semé à écartement habituel, de 0,8 m x 0,40 m, associé   Stylosanthes guianensis  semé deux semaines après le maïs ; l'igname est installée en deuxième  et troisième années.






Perspectives :

Elaborer et multiplier les fiches techniques et Référentiels Technico-Economiques pour une large diffusion de la technologie

Structure de mise au point et adresse : CRA-Centre/INRAB, Savè
Auteurs : INRAB
Année de génération : 2000
Sources de financement : ...
Zone d’application de la technologie : Centre-Bénin, Nord-Ouest et Nord-Est
Bénéficiaires : producteurs d’igname
Avantages potentiels de l’adoption : restauration de la fertilité du sol, amélioration du rendement et des revenus, contrôle des adventices, fourrage de Styloxanthes très appété par les bovins
Contraintes potentielles à l’adoption : difficultés d’incorporation de la biomasse végétale, difficultés de récolte des graines de Styloxanthes, inexistence de marché d’écoulement des graines, divagation des bêtes
Rendement de la technologie : 14 t/ha de matière fraîche
Rentabilité : Produit brut : 1050000 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : ...
Coût d’utilisation : 90270 FCFA/ha
Main d’œuvre nécessaire : 375 HJ/ha

Utilisation de fumier de ferme par les producteurs disposant d’attelage comme source de fertilisation alternative. Le fumier d’étable est appliqué en poquet à raison de 10 t de MS /ha sur l’igname






Perspectives :

 

Poursuivre la diffusion de la technologie et son amélioration

Structure de mise au point et adresse : CRA-Centre/INRAB, Savè
Auteurs : Siaka KODJO
Année de génération : 2003
Sources de financement : ....
Zone d’application de la technologie : Centre et Nord-Bénin
Bénéficiaires : producteurs
Avantages potentiels de l’adoption : amélioration du rendement de l’igname, amélioration de la fertilité du sol, amélioration des revenus des producteurs
Contraintes potentielles à l’adoption : difficultés de transport et d’épandage du fumier, apport de certains adventices par le fumier, faible disponibilité du fumier d’étable
Rendement de la technologie : 17,45 t/ha de matière fraîche d’igname (gangni)
Rentabilité : (marge brute): 837600 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : Surcoût après épandage : 44000 FCFA/ha
Coût d’utilisation : ...
Main d’œuvre nécessaire : ...

La trancheuse mécanique ou trancheuse-éminceuse est un équipement manuel qui permet d’avoir des cossettes d'igname ou de manioc de très minces tranches (inférieure à 1 cm). La trancheuse permet d’assurer le respect de l’uniformité de l’épaisseur des cossettes. Elle a été introduite par les opérateurs économiques chinois.






Perspectives :

 

Large diffusion de l’équipement

Subventionner le coût de l’équipement pour faciliter son accessibilité

Structure de mise au point et adresse : PTAA/CRA-A/INRAB
Auteurs : Roger AHOUANSOU
Année de génération : 2004
Sources de financement : FIDA
Zone d’application de la technologie : tous les départements
Bénéficiaires : transformateurs/trices d’igname et de manioc
Avantages potentiels de l’adoption : économie de temps et d’énergie, séchage rapide des cossettes et moins d'attaques des microorganismes, production de cossettes demeilleure qualité, amélioration des revenus des transformateurs
Contraintes potentielles à l’adoption : coût élevé de l’équipement
Rendement de la technologie : 22 %
Rentabilité : 10 FCFA/kg (cossettes non épluchées), 14,3 FCFA/kg (cossettes épluchées)
Coût estimatif de l’investissement initial : 1750000 FCFA
Coût d’utilisation : 13218 FCFA (cossettes non épluchées) 14011 FCFA (cosettes épluchées)
Main d’œuvre nécessaire : 31,45 HH (cosettes non épluchées), 46,83 HH (cossettes épluchées)

Système à écartement lâche d’arbustes de Gliricidia sepium (4m × 4m) soit une densité de 625 arbustes/ha renforcé à partir de la 2ème année par Aeschynomene histrix. La coupe des arbustes de Gliricidia est effectuée à 1,5 m du sol. Deux à trois élagages des arbustes sont réalisés durant le cycle de production de l’igname. Des variantes ont été également développées au centre du Bénin : une seule coupe des arbustes de Gliricidia à 0,5 m du sol facilitant la traction animale ; l’intégration de l’arachide dans le système agroforestier à base de Gliricidia ; la pratique du feu précoce au pied des arbustes de Gliricidia permettant la suppression de la coupe, l’accumulation des feuilles sèches au sol et la régénération des arbustes de Gliricidia pour le tuteurage des lianes d’igname (auto-reproductibilité).

 






Perspectives :

Faciliter la disponibilité et l’accessibilité de la production de bois de Gliricidia

Mieux soutenir l’installation des champs semenciers de Gliricidia

Structure de mise au point et adresse : INRAB, CRA-Centre/INRAB, Savè
Auteurs : Raphiou MALIKI
Année de génération : 2000
Sources de financement : AFD/PADSE
Zone d’application de la technologie : Centre, Nord-Est du Bénin
Bénéficiaires : producteurs d’igname
Avantages potentiels de l’adoption : tuteurage des lianes d’igname avec les tiges de Gliricidia, restauration de la fertilité du sol, amélioration du rendement et des revenus
Contraintes potentielles à l’adoption : faible disponibilité en semences de Gliricidia, difficultés d’incorporation de la biomasse végétale, main-d’œuvre pour le recépage des arbustes, divagation des bêtes au champ liée à l’offre fourragère d’Aeschynomene, inexistence de marché d’écoulement des semences d’Aeschynomene
Rendement de la technologie : 20 t/ha de matière fraîche d’igname (rotundata) en 3ème année, 4ème année et 5ème année
Rentabilité : 653855-688349 FCFA/ha/an selon les zones (faible/forte pression)
Coût estimatif de l’investissement initial : 590839-625940 FCFA/ha/an selon les zones (forte/faible pression)
Coût d’utilisation : 1465000 FCFA/ha sur les 5 ans
Main d’œuvre nécessaire : 187-219 Hj/ha/an selon les zones (faible/forte pression)

La case paillote est une structure dont les murs sont construits en banco et qui est couverte de paille et munie d’une porte d’accès. Les dimensions et capacité de ladite case sont fonction de la quantité à stocker par le producteur. Dans la case, l’igname est mise dans un trou recouverte d'herbes fraiches.






Perspectives :

Intensifier les actions visant une grande diffusion

Poursuivre son amélioration

Structure de mise au point et adresse : CRA-A/INRAB
Auteurs : Dominique AFFOMASSE
Année de génération : 1998
Sources de financement : PADSA/DANIDA
Zone d’application de la technologie : Zou-collines, Borgou-Alibori, Atacora-Donga
Bénéficiaires : producteurs
Avantages potentiels de l’adoption : réduction des pertes post-récolte, amélioration de revenu, réduction du vol, réduction des pertes liées aux feux de brousse, disponibilité de l’igname sur une longue durée, rentable par rapport à la pratique paysanne
Contraintes potentielles à l’adoption : coût relativement levé de l’investissement, main-d’œuvre pour la mise en œuvre, transport vers les structures de stockage
Rendement de la technologie : taux de perte (16,7 %)
Rentabilité : ....
Coût estimatif de l’investissement initial : matériaux (12044 FCFA/t) ; main-d’œuvre (8740 FCFA/t) ; construction (20784 FCFA/t)
Coût d’utilisation : 37588 FCFA/t
Main d’œuvre nécessaire : ...

Elle commence déjà la campagne agricole précédant l'année de production, en septembre, par le choix des plants sains. Ces plants sont identifiés avant le jaunissement des feuilles de l'igname pour éviter de produire des semenceaux portant des maladies. A la récolte des tubercules mères en décembre, il faut aussi éviter les tubercules infestés par les nématodes, les cochenilles, les termites, les maladies de pourriture, etc. Les tubercules bien conservés sont coupés en mini fragments de 50-60 g. Ensuite, les mini fragments sont traités dans une solution insecticide-fongicide et puis plantés sur des billons avec des écartements de 0,80 m entre billons et 0,30 m entre poquets sur le billon après une bonne pluie pour obtenir une bonne germination. Un apport fractionné de 400 kg/ha de NPK et 200 kg/ha d'urée est nécessaire. Le champ doit être entretenu jusqu'à la récolte en décembre.






Perspectives :

Intensifier les actions visant une grande sélection des semenceaux d’igname sains, nécessaire pour un bon rendement de la culture

Structure de mise au point et adresse : CRA-Nord et CRA-Centre/INRAB
Auteurs : Romuald DOSSOU
Année de génération : 2005
Sources de financement : IITA, PDRT, WADSU/GTZ
Zone d’application de la technologie : Borgou, Collines, Atacora et Donga
Bénéficiaires : producteurs d’igname
Avantages potentiels de l’adoption : disponibilité de semenceaux de bonne qualité, augmentation des rendements et des revenus, augmentation des champs moins infectés
Contraintes potentielles à l’adoption : installation tardive de saison pluvieuse, poches de sécheresse durant la phase végétative, difficultés de conservation des mini fragments
Rendement de la technologie : 19,6 t/ha d’igname
Rentabilité : 253650 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 138350 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 32000 FCFA/ha
Main d’œuvre nécessaire : 45 Hj/ha

Le maïs semé en année 1 à écartement habituel, de 0,8 m x 0,40 m, associé au Mucuna pruriens  semé 45 jours après le maïs, suivi de la transplantation  sur billon  en année 2 des minifragments (minissetts) d'ignames prégermés  à la densité  de 35000 plants/ha.






Perspectives :

Elaborer et multiplier les fiches techniques et les Référentiels Technico-Economiques pour une large diffusion de la technologie

Structure de mise au point et adresse : CRA-Centre/INRAB, Savè
Auteurs : INRAB
Année de génération : 2003
Sources de financement : ...
Zone d’application de la technologie : Centre et Nord-bénin
Bénéficiaires : producteurs
Avantages potentiels de l’adoption : amélioration du rendement en semenceaux d’igname, amélioration de la fertilité du sol, amélioration du revenu des producteurs, contrôle des adventices par la culture du Mucuna, en particulier Imperata
Contraintes potentielles à l’adoption : inexistence de marché d’écoulement des graines de mucuna, difficultés d’arrosage des mini fragments en pépinière, retard de transplantation des minissetts prégermés au champ lié aux retards de pluies et poches de sécheresse, difficulté de stockage/conservation des semenceaux d’igname, difficulté de commercialisation des semenceaux d'ignames
Rendement de la technologie : 12 t/ha de matière fraîche
Rentabilité : 200000 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 700000 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 40000 FCFA/ha
Main d’œuvre nécessaire : 250 Hj/ha

Mise en place de Pueraria phaseoloides en première année en association avec le maïs, semé une semaine plus tôt + engrais NPK et Urée. Herbicidage de la biomasse. Les deux 1ères années sont des années d’investissement. Installation des semenceaux d’igname sous mulch de Pueraria au cours de la troisième année sans confection des buttes. L’igname poursuit son cycle de développement jusqu’à la récolte des tubercules.






Perspectives :

Multiplier les fiches techniques et les Référentiels Technico-Economiques pour une large diffusion de la technique

Structure de mise au point et adresse : CRA-Centre/INRAB, Savè
Auteurs : INRAB
Année de génération : 2008
Sources de financement : AFD/CIRAD
Zone d’application de la technologie : Centre et Nord-ouest Bénin
Bénéficiaires : producteurs d’igname
Avantages potentiels de l’adoption : restauration de la fertilité du sol, semis à bonne date grâce à la suppression du temps de labour, suppression de l’érosion, bon contrôle du chiendent et d’autres adventices, conservation de l’humidité du sol, bonne rentabilité économique en phase de rotation
Contraintes potentielles à l’adoption : difficultés de récolte des graines de Pueraria, inexistence du marché d’écoulement des graines de Pueraria, contrainte de feu de végétation, rentabilité assez faible dû aux investissements en phase d’établissement du Pueraria
Rendement de la technologie : 10 t/ha igname (florido) en 3ème année
Rentabilité : 92750 FCFA/ha en 3ème année
Coût estimatif de l’investissement initial : 570000 FCFA/ha sur les 3 ans
Coût d’utilisation : 225000 FCFA/ha sur les 3 ans
Main d’œuvre nécessaire : 311,5 HJ/ha sur 3 ans

Nature génétique : lignée pure, hauteur de plante : 250 cm, forme de la panicule : pyramide inverse, densité de la panicule : moyenne, cycle semis-maturité : 80 jours, graines de couleur blanche, rendement potentiel : 3 t/ha, poids de 1000 grains : 23 g, non sensible à la photopériode, sensible au Striga, résistante aux pathogènes, vocation culturale : pluviale, isohyète : 600-800 mm de pluie.






Perspectives :

 

Faciliter sa disponibilité et son accessibilité

Produire et multiplier de fiches techniques et économiques

Structure de mise au point et adresse : ISRA/Sénégal
Auteurs : ISRA
Année de génération : 2009
Sources de financement : ..
Zone d’application de la technologie : Nord-Bénin
Bénéficiaires : producteurs
Avantages potentiels de l’adoption : rendement moyen, précocité, bonne bouillie, bonne pâte, très recherché par les consommateurs
Contraintes potentielles à l’adoption : sensible aux ravageurs
Rendement de la technologie : 1,7 t/ha
Rentabilité : 217500 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 292500
Coût d’utilisation : 10000 FCFA/ha
Main d’œuvre nécessaire : 78 HJ/ha

Nature génétique : lignée pure, hauteur de plante : 250 cm, forme de la panicule : massue, densité de la panicule : moyenne, cycle précoce 110 jours, graines de couleur blanche, rendement potentiel 3 t/ha, poids de 1000 grains : 20 g, non sensible à la photopériode, résistante aux nuisibles, vocation culturale : pluviale, isohyète : 600-800 mm de pluie.






Perspectives :

 

Faciliter sa disponibilité et son accessibilité

Encourager les producteurs à l’adopter

 

Structure de mise au point et adresse : ISRA/Sénégal
Auteurs : ISRA
Année de génération : 2013
Sources de financement : ...
Zone d’application de la technologie : Nord-Bénin
Bénéficiaires : producteurs de sorgho
Avantages potentiels de l’adoption : rendement moyen, précocité, bonne bouillie, bonne pâte, très recherché par les consommateurs
Contraintes potentielles à l’adoption : ...
Rendement de la technologie : 1,5 t/ha
Rentabilité : 157500 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 292500 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 10000 FCFA/ha
Main d’œuvre nécessaire : 78 Hj/ha

Nature génétique : lignée pure, hauteur de plante : 250 cm, forme de la panicule : massue, densité de la panicule : moyenne, cycle semis-maturité : 70 jours, graines de couleur blanche, rendement potentiel : 3 t/ha, poids de 1000 grains : 22 g, non sensible à la photopériode, résistante aux maladies, vocation culturale : pluviale, isohyète : 600-800 mmm.






Perspectives :

 

Faciliter sa disponibilité et son accessibilité

Encourager les producteurs à l’adopter

 

Structure de mise au point et adresse : ISRA/Sénégal
Auteurs : ISRA
Année de génération : 2013
Sources de financement : ...
Zone d’application de la technologie : Nord-Bénin
Bénéficiaires : producteurs de sorgho
Avantages potentiels de l’adoption : rendement moyen, précocité, bonne bouillie, bonne pâte, très recherché par les consommateurs
Contraintes potentielles à l’adoption : ...
Rendement de la technologie : 1,5 t/ha
Rentabilité : 157500 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 292500 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 10000 FCFA/ha
Main d’œuvre nécessaire : 78 HJ/ha

Nature génétique : lignée pure, hauteur de la plante : 250 cm, forme de la panicule : pyramide inverse, densité de la panicule : moyenne, cycle semis-maturité : 105 jours, graines de couleur blanche, rendement potentiel : 3 t/ha, poids de 1000 grains : 26 g, non sensible à la photopériode, sensible au Striga, résistante aux maladies, vocation culturale : pluviale, 600-800 mm de pluie






Perspectives :

 

Faciliter sa disponibilité et son accessibilité

Produire et multiplier des guides d’information technique et économique

 

Structure de mise au point et adresse : ISRA/Sénégal
Auteurs : ISRA
Année de génération : 2011
Sources de financement : ..
Zone d’application de la technologie : Nord-Bénin
Bénéficiaires : producteurs
Avantages potentiels de l’adoption : rendement moyen, précocité, bonne bouillie, bonne pâte, très recherché par les consommateurs
Contraintes potentielles à l’adoption : ...
Rendement de la technologie : 1,4 t/ha
Rentabilité : 127500 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 292500 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 10000 FCFA/ha
Main d’œuvre nécessaire : 78 HJ/ha

Nature génétique : population améliorée, hauteur de plante : 335 cm, forme de la panicule : évasée dans la partie supérieure, densité de la panicule : lâche, cycle semis-maturité : 130 jours, rendement potentiel : 2,6 t/ha, poids de 1000 grains : 36,8 g, graines de couleur blanchâtre, isohyète : 800 -1200 mm de pluie.






Perspectives :

 

Poursuivre sa diffusion

Produire et multiplier des guides d’information technique et économique

 

Structure de mise au point et adresse : CRA-Nord /INRAB
Auteurs : INRAB
Année de génération : 2011
Sources de financement : ...
Zone d’application de la technologie : Nord-Bénin
Bénéficiaires : producteurs de sorgho
Avantages potentiels de l’adoption : rendement élevé, précocité, bonne bouillie, bonne pâte, très recherché par les consommateurs
Contraintes potentielles à l’adoption : ....
Rendement de la technologie : 950 kg/ha
Rentabilité : 70000 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 215000 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 10000 FCFA/ha
Main d’œuvre nécessaire : 68 Hj/ha

Nature génétique : population améliorée, hauteur de la plante : 338 cm, forme de la panicule : évasée dans la partie supérieure, densité de la panicule : lâche, cycle semis-maturité : moyen 135 jours, graines de couleur blanchâtre, rendement potentiel : 1,7 t/ha, poids de 1000 grains : 32,5 g, isohyète : 800-1200 mm de pluie.

 






Perspectives :

 

Poursuivre sa diffusion

Produire et multiplier des guides d’information technique et économique

Structure de mise au point et adresse : CRA-Nord /INRAB
Auteurs : INRAB
Année de génération : 2011
Sources de financement : ...
Zone d’application de la technologie : Nord Bénin
Bénéficiaires : producteurs
Avantages potentiels de l’adoption : rendement élevé, précocité, bonne bouillie, bonne pâte, très recherché par les consommateurs
Contraintes potentielles à l’adoption : ...
Rendement de la technologie : 900 Kg/ha
Rentabilité : 35000 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 235000 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 10000 FCFA/ha
Main d’œuvre nécessaire : 70 HJ/ha

Nature génétique : population améliorée, hauteur de plante : 362 cm, forme de la panicule : évasée dans la partie supérieure, densité de la panicule : très lâche, cycle semis-maturité : 130 jours, graines de couleur blanchâtre, rendement potentiel : 2,7 t/ha, poids de 1000 grains : 33,5 g, isohyète : 800-1200 mm de pluie.






Perspectives :

 

Poursuivre sa diffusion

Elaborer et multiplier des guides d’information technique et économique

 

Structure de mise au point et adresse : CRA-Nord /INRAB
Auteurs : IER (Mali)
Année de génération : 2011
Sources de financement : ...
Zone d’application de la technologie : région de production du sorgho
Bénéficiaires : producteurs
Avantages potentiels de l’adoption : rendement élevé, résistant aux ravageurs, bonne bouillie, bonne pâte, très recherché par les consommateurs
Contraintes potentielles à l’adoption : ...
Rendement de la technologie : 1,35 t/ha
Rentabilité : 112500 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 292500 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 10000 FCFA/ha
Main d’œuvre nécessaire : 78 HJ/ha

Nature génétique : population améliorée, hauteur de plante : 370 cm, forme de la panicule : évasée dans la partie supérieure, densité de la panicule : lâche, cycle semis-maturité : 145 jours, graines de couleur rougeâtre, rendement potentiel : 1 t/ha, poids de 1000 grains : 36,7 g, isohyète : 800-1200 mm de pluie.






Perspectives :

 

Faciliter sa disponibilité et son accessibilité

Produire et multiplier des guides d’information technique et économique

 

Structure de mise au point et adresse : CRA-Nord Ina/INRAB
Auteurs : INRAB
Année de génération : 2011
Sources de financement : ...
Zone d’application de la technologie : Nord-Bénin
Bénéficiaires : producteurs
Avantages potentiels de l’adoption : rendement élevé, résistant aux ravageurs, bonne bouillie, bonne pâte, très recherché par les consommateurs
Contraintes potentielles à l’adoption : ...
Rendement de la technologie : 725 kg/ha
Rentabilité : 63000 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 154500 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 10000 FCFA/ha
Main d’œuvre nécessaire : 78 HJ/ha

Nature génétique : population améliorée, hauteur de plante : supérieure à 300 cm, cycle tardif 120 jours, graines de couleur blanchâtre, poids de 1000 grains : 48,4 g, rendement potentiel : 2,5 t/ha, isohyète : 800-1200 mm de pluie.






Perspectives :

 

Poursuivre sa diffusion

Produire et multiplier des guides d’information technique et économique

 

Structure de mise au point et adresse : CRA-Nord/INRAB
Auteurs : IER
Année de génération : 2011
Sources de financement : ...
Zone d’application de la technologie : Nord-Bénin
Bénéficiaires : producteurs
Avantages potentiels de l’adoption : rendement élevé, résistant aux ravageurs, bonne bouillie, bonne pâte, très recherché par les consommateurs
Contraintes potentielles à l’adoption : ...
Rendement de la technologie : 1,25 t/ha
Rentabilité : 82500 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 292500 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 10000 FCFA/ha
Main d’œuvre nécessaire : 78 HJ/ha

Nature génétique : population améliorée, hauteur de plante : 120 cm, forme de la panicule : symétrique, densité de la panicule : dense, cycle semis-maturité 120 jours, graines de couleur blanchâtre, rendement potentiel : 1,1 t/ ha, poids de 1000 graines : 24,4 g, résistante aux maladies, tolérante aux ravageurs, tolérante à la sécheresse, isohyète : 800-1200 mm de pluie.






Perspectives :

 

Faciliter sa disponibilité et son accessibilité

 

Structure de mise au point et adresse : CRA-Nord /INRAB
Auteurs : IER (Mali)
Année de génération : 2011
Sources de financement : ....
Zone d’application de la technologie : Nord-Bénin
Bénéficiaires : producteurs de sorgho
Avantages potentiels de l’adoption : rendement élevé, sa précocité, bonne bouillie, bonne pâte, très recherché par les consommateurs
Contraintes potentielles à l’adoption : ...
Rendement de la technologie : 650 kg/ha
Rentabilité : 72500 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 122500 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 10000 FCFA/ha
Main d’œuvre nécessaire : 78 HJ/ha

Nature génétique : population améliorée, longueur de la chandelle : 70 cm, cycle semis-maturité : 95 jours, taille moyenne, graines de couleur blanchâtre, rendement potentiel : 2,5 t/ha, poids de 1000 graines : 7,5 g, sensible aux nuisibles, isohyète : 600-800 mm de pluie






Perspectives :

 

Faciliter sa disponibilité et son accessibilité

Poursuivre sa diffusion

 

Structure de mise au point et adresse : ISRA/Sénégal
Auteurs : ISRA
Année de génération : 2008
Sources de financement : ...
Zone d’application de la technologie : Nord-Bénin
Bénéficiaires : producteurs de mil
Avantages potentiels de l’adoption : rendement acceptable, précocité, bonne bouillie, bonne pâte, très recherchée par les consommateurs
Contraintes potentielles à l’adoption : ...
Rendement de la technologie : 1,2 t/ha
Rentabilité : 67500 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 292500 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 10000 FCFA/ha
Main d’œuvre nécessaire : 78 Hj/ha

Nature génétique : population améliorée, longueur de la chandelle : 45 cm, hauteur de la plante : 220 cm, cycle semis-maturité : 85 jours, rendement potentiel : 2,5 t/ha, poids de 1000 graines : 8,5 g, résistance aux nuisibles : moyenne, graines de couleur blanchâtre, isohyète : 400-500 mm de pluie.






Perspectives :

 

Faciliter sa disponibilité et son accessibilité

Poursuivre sa diffusion

 

Structure de mise au point et adresse : ISRA/Sénégal
Auteurs : ISRA
Année de génération : 2010
Sources de financement : ...
Zone d’application de la technologie : Nord-Bénin
Bénéficiaires : producteurs
Avantages potentiels de l’adoption : rendement acceptable, précocité, bonne bouillie, bonne pâte, très recherchée par les consommateurs
Contraintes potentielles à l’adoption : ...
Rendement de la technologie : 1,1 t/ha
Rentabilité : 37500 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 292500 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 10000 FCFA/ha
Main d’œuvre nécessaire : 78 Hj/ha

Longueur de la chandelle : 55 cm, hauteur de plants : 250 cm, cycle semis-maturité : 85 jours, rendement potentiel : 2,5 t/ha, poids de 1000 graines : 11 g, sensible aux nuisibles, isohyète : 400-600 mm de pluie, graines de couleur blanchâtre.






Perspectives :

 

Faciliter sa disponibilité et son accessibilité

Encourager les producteurs à l’adopter

 

Structure de mise au point et adresse : ISRA/Sénégal
Auteurs : ISRA
Année de génération : 2010
Sources de financement : ....
Zone d’application de la technologie : Nord-Bénin
Bénéficiaires : producteurs
Avantages potentiels de l’adoption : rendement acceptable, précocité, bonne bouillie, bonne pâte, très recherché par les consommateurs
Contraintes potentielles à l’adoption : ....
Rendement de la technologie : 1,2 t/ha
Rentabilité : 67500 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 292500 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 10000 FCFA/ha
Main d’œuvre nécessaire : 78 Hj/ha

Nature génétique : population améliorée, hauteur de plante : 185 cm, forme de la panicule : symétrique, densité de la panicule : dense, cycle semis-maturité : 120 jours, rendement potentiel : 1,7 t/ha, poids de 1000 grains : 25,9 g, graines de couleur grisâtre, isohyète : 800-1200 mm de pluie






Perspectives :

 

Faciliter sa disponibilité et son accessibilité

Elaborer un guide d’information technico-économique pour améliorer la diffusion de la variété

Structure de mise au point et adresse : CRA-Nord/INRAB
Auteurs : IER(Mali)
Année de génération : 2011
Sources de financement : ...
Zone d’application de la technologie : Nord-Bénin
Bénéficiaires : producteurs
Avantages potentiels de l’adoption : rendement élevé, précocité, bonne bouillie, bonne pâte, très recherchée par les consommateurs
Contraintes potentielles à l’adoption : ....
Rendement de la technologie : 900 Kg/ha
Rentabilité : 49500 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 220500 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 10000 FCFA/ha
Main d’œuvre nécessaire : 72 Hj/ha

Nature génétique : population améliorée, hauteur de plante : 362 cm, forme de la panicule : évasée dans la partie supérieure, densité de la panicule : lâche, cycle semis-maturité : 135 jours, graines de couleur blanchâtre, rendement potentiel : 2,7 t/ha, poids de 1000 grains : 30,5 g, isohyète : 800-1200 mm de pluie






Perspectives :

 

Faciliter sa disponibilité et son accessibilité

 

Structure de mise au point et adresse : CRA-Nord/INRAB
Auteurs : IER
Année de génération : 2011
Sources de financement : ...
Zone d’application de la technologie : Nord-Bénin
Bénéficiaires : producteurs de mil
Avantages potentiels de l’adoption : rendement élevé, précocité, bonne bouillie, bonne pâte, très recherchée par les consommateurs
Contraintes potentielles à l’adoption : ...
Rendement de la technologie : 1,5 t/ha
Rentabilité : 157500 FCFA/ha
Coût estimatif de l’investissement initial : 292500 FCFA/ha
Coût d’utilisation : 10000 FCFA/ha
Main d’œuvre nécessaire : 78 Hj/ha

La transformation des amandes en beurre passe par une succession d’opérations dont le lavage, l’égouttage, le triage, le séchage, le broyage (concassage) des amendes, la torréfaction des amendes ; l’extraction du beurre, l’hydratation (délayage) de la pâte, le barattage, le lavage de la crème, le lissage, la clarification de la crème, le lavage de l’huile, la déshydratation de l’huile, la décantation, le refroidissement et le conditionnement du beurre.






Perspectives :

Poursuivre sa diffusion et son amélioration

Structure de mise au point et adresse : GIZ
Auteurs : GIZ
Année de génération : 2012
Sources de financement : ...
Zone d’application de la technologie : Centre-Bénin, Nord-Bénin
Bénéficiaires : producteurs, transformateurs
Avantages potentiels de l’adoption : amélioration du revenu
Contraintes potentielles à l’adoption : manque d’information et de sensibilisation
Rendement de la technologie : 40 %
Rentabilité : ....
Coût estimatif de l’investissement initial : 120000 FCFA
Coût d’utilisation : ....
Main d’œuvre nécessaire : 20 Hj

La baratte à beurre de karité permet de battre la pâte de karité moulue, refroidie et humidifiée. Elle est composée d’un bac de barattage, d’un bras malaxeur, d’un décupleur, des poulies et une courroie. Elle est caractérisée par la rotation du bras de malaxage pendant que le bac contenant la pâte est fixe.






Perspectives :

Appuyer la multiplication à grande échelle de cet équipement

Structure de mise au point et adresse : CRA-A/INRAB
Auteurs : INRAB
Année de génération : 2009
Sources de financement : PPAAO
Zone d’application de la technologie : toutes les régions du Bénin
Bénéficiaires : transformateurs/trices, prestataire de service
Avantages potentiels de l’adoption : réduction de la pénibilité, amélioration de la qualité du beurre, de la production et du revenu
Contraintes potentielles à l’adoption : manque d’information et de sensibilisation, coût de l’équipement
Rendement de la technologie : 500 kg/h
Rentabilité : Capacité : 25 kg
Coût estimatif de l’investissement initial : 2500000
Coût d’utilisation : 450000
Main d’œuvre nécessaire : 2 Hj

Les feuilles de baobab séchées peuvent être réduites en poudre et utilisée comme un ingrédient d’assaisonnement des sauces. Après un long séchage, les feuilles sont pilées pour donner une poudre verte. Cette poudre est tamisée pour être débarrassée des déchets. Pour mieux la conserver, les populations utilisent des sachets en plastique propres, des récipients en plastique ou des pots en verre hermétiquement fermés.






Perspectives :

  • Régler la question de contamination microbienne due à la transformation de la pulpe en poudre de façon artisanale pour une meilleure valorisation la filière.
Structure de mise au point et adresse : FSA/UAC
Auteurs : AKOUEHOU S.Gaston
Année de génération : 2015
Sources de financement : PA‐PFNL/BEN
Zone d’application de la technologie : tous les départements
Bénéficiaires : producteurs, transformateurs, consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : excellente source de protéines alimentaires (acides aminés essentiels)
Contraintes potentielles à l’adoption : contamination microbienne
Rendement de la technologie : ...
Rentabilité : 1600 FCFA pour 3 kg acheté
Coût estimatif de l’investissement initial : 500 FCFA pour la mesure de 3 kg
Coût d’utilisation : 2100 FCFA pour la mesure de 3 kg
Main d’œuvre nécessaire : une personne

Pour préparer le jus de baobab, il faut : 1. sélectionner des fruits de baobab âgés de moins d'un an qui n'ont pas de fissures, casser les fruits et utiliser les pulpes noires. 2. séparer les morceaux de pulpe des fibres et cosses, 3. ajouter aux morceaux de pulpe de l'eau stérilisée, mélanger et tremper pendant une nuit. 4. filtrer le mélange et y ajouter du sucre. 5. cuire le mélange à feu doux pendant 15 mn, ne pas bouillir.






Perspectives :

Produire et multiplier les fiches techniques et les Référentiels Technico-Economiques pour une vulgarisation à grande échelle de la technologie

Structure de mise au point et adresse : FSA/UAC
Auteurs : FSA/UAC
Année de génération : 2010
Sources de financement : ...
Zone d’application de la technologie : toutes les régions du Bénin
Bénéficiaires : producteurs, transformateurs, consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : riches en vitamines
Contraintes potentielles à l’adoption : non disponibilité du fruit
Rendement de la technologie : ...
Rentabilité : ...
Coût estimatif de l’investissement initial : ...
Coût d’utilisation : ...
Main d’œuvre nécessaire : ...

Pour planter le tamarinier par greffage, il faut : 1. choisir une branche saine de tamarin. 2. couper le bout à une longueur de 15cm et une épaisseur de crayon. 3. couper la branche afin qu'elle ait le même diamètre que la plantule. 4. mettre le greffon dans la fente de la tige du porte-greffe et ligaturer. 5. transplanter 3 mois plus tard.






Perspectives :

Produire et multiplier les fiches techniques et les Référentiels Technico-Economiques pour une vulgarisation à grande échelle de la technologie

Structure de mise au point et adresse : FSA/UAC
Auteurs : FSA/UAC
Année de génération : 2010
Sources de financement : ...
Zone d’application de la technologie : Nord-Bénin
Bénéficiaires : producteurs, transformateurs, consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : reproduction de l’espèce
Contraintes potentielles à l’adoption : difficulté de maîtrise de la technique
Rendement de la technologie : ...
Rentabilité : ...
Coût estimatif de l’investissement initial : ...
Coût d’utilisation : ...
Main d’œuvre nécessaire : ...

Pour préparer le sirop de tamarinier, il faut :

  1. sélectionner des fruits de tamarinier âgés de moins d'un an qui n'ont pas de fissures, casser les fruits et utiliser les pulpes noires.
  2. séparer les morceaux de pulpe des fibres et cosses,
  3. ajouter aux morceaux de pulpe de l'eau stérilisée, mélanger et tremper pendant une nuit.
  4. filtrer le mélange et y ajouter du sucre.
  5. cuire le mélange à feu doux pendant 15 minutes, ne pas bouillir.





Perspectives :

Produire et multiplier les fiches techniques et les Référentiels Technico-Economiques pour une vulgarisation à grande échelle de la technologie

Structure de mise au point et adresse : FSA/UAC
Auteurs : FSA/UAC
Année de génération : 2010
Sources de financement : ...
Zone d’application de la technologie : toutes les régions du Bénin
Bénéficiaires : producteurs, transformateurs, consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : producteurs, transformateurs, consommateurs
Contraintes potentielles à l’adoption : non disponibilité du fruit
Rendement de la technologie : ...
Rentabilité : ...
Coût estimatif de l’investissement initial : ...
Coût d’utilisation : ...
Main d’œuvre nécessaire : ...

Pour préparer le jus de tamarinier, il faut :

  1. sélectionner des fruits de tamarinier âgés de moins d'un an qui n'ont pas de fissures, casser les fruits et utiliser les pulpes noires.
  2. séparer les morceaux de pulpe des fibres et cosses,
  3. ajouter aux morceaux de pulpe de l'eau stérilisée, mélanger et tremper pendant une nuit.
  4. filtrer le mélange et y ajouter du sucre.
  5. cuire le mélange à feu doux pendant 1 heure, ne pas bouillir.





Perspectives :

Produire et multiplier les fiches techniques et les Référentiels Technico-Economiques pour une vulgarisation à grande échelle de la technologie

Structure de mise au point et adresse : FSA/UAC
Auteurs : FSA/UAC
Année de génération : 2010
Sources de financement : ...
Zone d’application de la technologie : territoire national
Bénéficiaires : transformateurs, consommateurs
Avantages potentiels de l’adoption : disponibilité du jus de tamarin, riche en vitamine C
Contraintes potentielles à l’adoption : non disponibilité du fruit
Rendement de la technologie : ...
Rentabilité : ...
Coût estimatif de l’investissement initial : ...
Coût d’utilisation : ...
Main d’œuvre nécessaire : ...

Le séchoir hybride a une capacité de séchage de 35 à 70 kg. Toute gamme de produits peuvent être séchée par le séchoir hybride. Cependant, le gamabari-lifin (farine de maïs décortiqué et dégermé) et le yêkè-yêkè (couscous de maïs) sont les deux produits séchés lors de l'évaluation de la performance du séchoir hybride. Le séchoir hybride comporte une partie génératrice de chaleur dotée de 4 ventilateurs et de 8 cellules de séchage de capacité 4 à 8 kg de produit à sécher.






Perspectives :

Formations des artisans sur la fabrication de l’équipement

Formations des femmes transformatrices sur les bonnes pratiques d’utilisation de l’équipement pour le séchage des différents produits

Structure de mise au point et adresse : CRA-A/INRAB
Auteurs : Paul HOUSSOU
Année de génération : 2014
Sources de financement : CNS-Mais/PPAAO/ProCAD
Zone d’application de la technologie : toutes les zones agroécologiques du Bénin
Bénéficiaires : transformatrices, transformateurs, petites et moyennes entreprises de transformation des produits agro-alimentaires
Avantages potentiels de l’adoption : protège le produit contre les contaminations lors du séchage, séchage des produits pendant la saison de pluie sans contrainte
Contraintes potentielles à l’adoption : coût élevé de la technologie
Rendement de la technologie : séchage de 48 kg jusqu’à 10 % et 12 % de teneur en eau en une journée de 10 h respectivement pour le (yêkê-yêkê) et le gambari-lifin
Rentabilité : très rentable au seuil de 30,9 %
Coût estimatif de l’investissement initial : 1700000 FCFA
Coût d’utilisation : coût élevé de la technologie
Main d’œuvre nécessaire : 2 Hj

En fonction de l'état de fertilité du sol, appliqué 10 à 20 t/ha de fientes soit au labour ou 1 semaine après le repiquage pour différentes cultures maraîchères.






Perspectives :

...

Structure de mise au point et adresse : CRA-PP/INRAB
Auteurs : INRAB
Année de génération : 2005
Sources de financement : ...
Zone d’application de la technologie : de la technologie : tout le Bénin
Bénéficiaires : producteurs, commerçants
Avantages potentiels de l’adoption : amélioration de la fertilité du sol, et du rendement
Contraintes potentielles à l’adoption : coût élevé des sacs de fientes de volailles
Rendement de la technologie : ...
Rentabilité : ...
Coût estimatif de l’investissement initial : ...
Coût d’utilisation : ...
Main d’œuvre nécessaire : ...

Utilisation d'un mélange de litières plus les déjections animales plus l'urine des animaux issus du parc de stabilisation des animaux pour fertiliser le sol. En moyenne appliquer entre 5 et 11 t/ha de fumier (matière sèche). Un apport complémentaire d’engrais minéraux correspondant à la demi-dose recommandée est appliqué, aussi bien sur le coton que sur le maïs.






Perspectives :

Poursuivre sa diffusion et son amélioration

Appuyer l’acquisition de charrette aux producteurs pour faciliter l’expansion de la technologie

Structure de mise au point et adresse : CRA-Nord / INRAB
Auteurs : Amidou MOUTAHAROU
Année de génération : 2002
Sources de financement : ...
Zone d’application de la technologie : de la technologie : Nord-Bénin
Bénéficiaires : producteurs de coton et de maïs
Avantages potentiels de l’adoption : valorisation des résidus de récolte, rendement amélioré, fertilité du sol améliorée
Contraintes potentielles à l’adoption : difficulté de transport du fumier au champ
Rendement de la technologie : Rendement de coton : 2100 kg/ha-2233 kg/ha selon les zones Rendement du maïs : 1935 kg/ha-3545 kg/ha
Rentabilité : ....
Coût estimatif de l’investissement initial : ...
Coût d’utilisation : ...
Main d’œuvre nécessaire : ...

Les vers de terre (Lumbricus terrestris) sont ensemencés dans des structures de formes diverses comme des bassins ou des enclos aménagés en terre argileuse, des récipients ou des bidons en plastique découpés et perforés par le bas ou dans le sable ou du terreau mélangé aux déjections d’animaux (crottes de lapin, bouse de vache, fientes de volailles), sous des canaris contenant de l’eau, à l’intérieur des caisses ou autres récipients tels que les emballages perdus.

 






Perspectives :

Améliorer la connaissance au niveau local sur la technologie

Multiplier les fiches techniques et Les Référentiels Technico-Economiques pour une large diffusion de la technologie.

Structure de mise au point et adresse : LZRH/FAST/UAC
Auteurs : Antoine CHIKOU
Année de génération : 2016
Sources de financement : PPAAO
Zone d’application de la technologie : de la technologie : toutes les zones agroécologiques du Bénin
Bénéficiaires : monde scientifique, pisciculteurs
Avantages potentiels de l’adoption : nouvelle source de protéine, aliment-poisson à coût abordable
Contraintes potentielles à l’adoption : 121 FCFA/kg
Rendement de la technologie : ...
Rentabilité : 514,3 FCFA/kg (tilapia), 587 FCFA/kg (poisson-chat africain)
Coût estimatif de l’investissement initial : 985,7 FCFA/kg (Tilapia), 913 FCFA/kg (Poisson-chat africain)
Coût d’utilisation : ...
Main d’œuvre nécessaire : ...

La fabrication de la farine de ver de terre commence par un rinçage à l’eau de vers frais. Cette opération permet de les débarrasser des débris végétaux et du sable. Les vers rincés sont ensuite mis dans une passoire en vue d’égoutter avant de faire sécher au soleil pendant environ 48 heures, sur une plateforme ( feuille de tôle bien nettoyée par exemple). Les vers de terre séchés peuvent ensuite être transformés en poudre à l’aide d’une moulinette.






Perspectives :

Améliorer la connaissance au niveau local sur la technologie

Multiplier les fiches techniques et les Référentiels Technico-Economiques pour une large diffusion de la technique

Structure de mise au point et adresse : LRZH/FAST/UAC
Auteurs : Antoine CHIKOU
Année de génération : 2016
Sources de financement : PPAAO
Zone d’application de la technologie : de la technologie : toutes les zones agroécologiques du Bénin
Bénéficiaires : monde scientifique, pisciculteurs
Avantages potentiels de l’adoption : nouvel ingrédient, très riche en protéine, aliment-poisson à coût abordable
Contraintes potentielles à l’adoption : ...
Rendement de la technologie : ...
Rentabilité : 514,3 FCFA/kg (tilapia), 587 FCFA/kg (poisson-chat africain)
Coût estimatif de l’investissement initial : Coût de production de la farine de vers de terre : 1816,5-2724,8 FCFA/kg Coût de production avec des aliments à base de vers de terre : 985,7 FCFA/kg (Tilapia), 913 FCFA/kg (Poisson-chat africain)
Coût d’utilisation : ...
Main d’œuvre nécessaire : ...

Une ration expérimentale composée de son de maïs, cossette de manioc, galette d'arachide (kloukloui), de farine de débris de poisson, farine de Boerhavia diffusa, kaolin, sel de cuisine et huile rouge avec 2748 kcal et 15,64 % de protéine brute s'est montrée économiquement plus rentable que la ration commerciale






Perspectives :

 

Parvenir à la création d’un complexe de fabrication d’aliment de volaille à base exclusive de sous-produits de récolte endogènes

parv

Structure de mise au point et adresse : CRA-A/INRAB
Auteurs : Dossa S. ; Mensah S. ; Dossa A. ; Vigan O.
Année de génération : 2001
Sources de financement : PARM-Mono
Zone d’application de la technologie : Sud Bénin, Centre-Bénin et le Nord
Bénéficiaires : petits éleveurs de volaille et aviculteurs modernes
Avantages potentiels de l’adoption : amélioration de la productivité, réduction de coût de production et augmentation de revenus des producteurs.
Contraintes potentielles à l’adoption : ...
Rendement de la technologie : 8,71g/j
Rentabilité : 300 330 FCFA/an
Coût estimatif de l’investissement initial : 52 067 FCFA/an
Coût d’utilisation : ...
Main d’œuvre nécessaire : 48 HJ/an

Des pondoirs parallélépipédiques en bois de 30 cm de longueur, 20 cm de largeur et 15 cm de hauteur avec l’ouverture d’une façade sur la largeur, sont fabriqués et mis à la disposition de chaque poule en début de ponte.






Perspectives :

Mettre l’accent sur la vulgarisation et l’adoption par les éleveurs de la technologie véhiculée par la présente fiche technique pour un impact réel sur la productivité des poulets locaux

Conduire l’analyse socio-économique de la technologie et réaliser le Référentiel Technico-Economique

Structure de mise au point et adresse : CRA-A/INRAB
Auteurs : Isidore Tossa GBEGO
Année de génération : 2010
Sources de financement : PIP/APRA
Zone d’application de la technologie : toutes les communes du Bénin
Bénéficiaires : Petits éleveurs de case, aviculteurs modernes
Avantages potentiels de l’adoption : réduction du taux de perte
Contraintes potentielles à l’adoption : néant
Rendement de la technologie : 90 % contre 60% du taux de ponte
Rentabilité : 90 %
Coût estimatif de l’investissement initial : ....
Coût d’utilisation : ...
Main d’œuvre nécessaire : ...

Des extraits de plantes sont utilisés pour traiter les parasites internes et externes chez les poulets locaux






Perspectives :

 

Développer une phytothérapie pour les animaux ce qui limitera l’utilisation des antibiotiques et réduira les résidus de médicaments dans les viandes destinées à la consommation humaine.

Structure de mise au point et adresse : CRA-A/INRAB
Auteurs : Delphin O. KOUNDANDE
Année de génération : 2001
Sources de financement : PIP/APRA
Zone d’application de la technologie : toutes les communes du Bénin
Bénéficiaires : Petits éleveurs de poulets
Avantages potentiels de l’adoption : réduction du coût de traitement
Contraintes potentielles à l’adoption : non disponibilité des plantes
Rendement de la technologie : 2 % contre 45 % de taux de mortalité
Rentabilité : 626 FCFA
Coût estimatif de l’investissement initial : 514,50 FCFA
Coût d’utilisation : 25 FCFA
Main d’œuvre nécessaire : 0,25 HJ

Lorsque les jeunes oiseaux sont laissés en divagation derrière la mère tout juste après l’éclosion, sur cent poussins il ne reste que deux (02) ou trois (03). Le système d’élevage sous panier est une technologie efficace pour réduire le taux de mortalité des poussins. Les poussins sont gardés sous les paniers durant 8 semaines.






Perspectives :

Mettre l’accent sur la vulgarisation et l’adoption par les éleveurs de la technologie véhiculée par la présente fiche technique pour un impact réel sur la viabilité des poussins et l’amélioration de la productivité des poulets locaux

Promouvoir la production des poussins locaux à livrer aux éleveurs par l’INRAB

Structure de mise au point et adresse : FSA/UAC
Auteurs : Christophe CHRISOSTOME
Année de génération : 2009
Sources de financement : CASPA/ PADAV
Zone d’application de la technologie : toutes les communes du Bénin
Bénéficiaires : éleveurs de case et aviculteurs
Avantages potentiels de l’adoption : disponibilité de la plante, amélioration de l'alimentation des poussins
Contraintes potentielles à l’adoption : Néant
Rendement de la technologie : 56 % contre 79 % de taux de mortalité
Rentabilité : 30 FCFA
Coût estimatif de l’investissement initial : 190 FCFA
Coût d’utilisation : 187 FCFA
Main d’œuvre nécessaire : 0,1HJ

Véhicule les méthodes pratiques traditionnelles et modernes, efficaces de traitement de la gale chez les petits ruminants






Perspectives :

 

Développer une phytothérapie pour les animaux, ce qui limitera l’utilisation des antiparasitaires et anti infectieux et réduira les résidus médicamenteux dans les viandes destinées à la consommation humaine

Structure de mise au point et adresse : CRA-A/ INRAB
Auteurs : Camille BANKOLE
Année de génération : 1996
Sources de financement : ...
Zone d’application de la technologie : Sud Bénin
Bénéficiaires : éleveurs de petits ruminants
Avantages potentiels de l’adoption : réduction du coût de traitement
Contraintes potentielles à l’adoption : non disponibilité du produit
Rendement de la technologie : 0 % de taux de mortalité
Rentabilité : 3700 FCFA
Coût estimatif de l’investissement initial : 9600 FCFA
Coût d’utilisation : 400 FCFA
Main d’œuvre nécessaire : 0,5 HJ

Les animaux pâturaient de 7h à 12H sur parcours puis recevaient les fourrages testés et le complément à 12h. Les animaux nourris  avec des aliments à base de manioc sont généralement en bonne santé, résistent bien aux maladies, ont un faible taux de  mortalité et n’ont besoin que de faibles apports d’antibiotiques, voire aucun, dans leur alimentation ».






Perspectives :

 

Promouvoir la culture des plantes expérimentées dans la présente technologie pour bénéficier non seulement des avantages alimentaires mais également des vertus médicinales desdites plantes sur les petits ruminants

Structure de mise au point et adresse : UNB/CPU
Auteurs : Moïse ADESSE
Année de génération : 1999
Sources de financement : Privée
Zone d’application de la technologie : tout le territoire national
Bénéficiaires : éleveurs de petits ruminants
Avantages potentiels de l’adoption : amélioration de l’alimentation
Contraintes potentielles à l’adoption : non disponibilité des plantes
Rendement de la technologie : 5 GMQ
Rentabilité : 3700 FCFA
Coût estimatif de l’investissement initial : 3700 FCFA
Coût d’utilisation : 5475 FCFA
Main d’œuvre nécessaire : 2HJ

La technique consiste à servir 100 à 200 g de feuille de Spondia mombin aux chèvres et aux brebis allaitantes pendant 3 à 5 jours de la première semaine après la mise-bas.






Perspectives :

 

Promouvoir la production de lait de petits ruminants par l’utilisation du Spondia mombin

Structure de mise au point et adresse : CRA-A/INRAB
Auteurs : Isidore TOSSA GBEGO
Année de génération : 2010
Sources de financement : PIP/APRA
Zone d’application de la technologie : Mono, Couffo, Atacora, Borgou
Bénéficiaires : éleveurs de petits ruminants
Avantages potentiels de l’adoption : amélioration de l'alimentation des petits ruminants ; contribution à l’amélioration de la productivité des espèces animales élevées.
Contraintes potentielles à l’adoption : non disponibilité de la plante
Rendement de la technologie : 66,7 g de GMQ chez les agneaux et 35,2 chez les chevreaux au lait, 48 g chez les caprins
Rentabilité : 3700 FCFA
Coût estimatif de l’investissement initial : 9600 FCFA
Coût d’utilisation : 5475 FCFA
Main d’œuvre nécessaire : 2HJ

Les animaux sont nourris de résidus frais de maïs et de Cajanus cajan à volonté plus les compléments tous les deux jours.






Perspectives :

 

Mettre l’accent sur la vulgarisation et l’adoption par les éleveurs de la technologie véhiculée par la présente fiche technique pour un impact réel sur la productivité des petits ruminants

Structure de mise au point et adresse : CRA-A/INRAB
Auteurs : Isidore TOSSA GBEGO
Année de génération : 2000
Sources de financement : PIP/APRA
Zone d’application de la technologie : Sud-Bénin
Bénéficiaires : éleveurs de petits ruminants
Avantages potentiels de l’adoption : amélioration de l’alimentation des petits ruminants
Contraintes potentielles à l’adoption : non disponibilité des plantes
Rendement de la technologie : 40 g/j à 52g/j de GMQ
Rentabilité : 1400 FCFA
Coût estimatif de l’investissement initial : 5 800 FCFA
Coût d’utilisation : 2400 FCFA
Main d’œuvre nécessaire : 0,25 HJ

Les ovins sont complémentés à base de germe d'arachide après l'affouragement






Perspectives :

 

Vulgariser la technologie pour améliorer l’apport de protéines dans l’alimentation des petits ruminants

 

Structure de mise au point et adresse : CRA-A /INRAB
Auteurs : Isidore TOSSA GBEGO
Année de génération : 2003
Sources de financement : PIP/APRA
Zone d’application de la technologie : territoire national du Bénin
Bénéficiaires : éleveurs de petits ruminants
Avantages potentiels de l’adoption : amélioration de l’alimentation des animaux
Contraintes potentielles à l’adoption : concurrence d’utilisation avec la volaille
Rendement de la technologie : 5 QMG
Rentabilité : 1400 FCFA
Coût estimatif de l’investissement initial : 5 800 FCFA
Coût d’utilisation : 2400 FCFA
Main d’œuvre nécessaire : 0,25 HJ

Dans les zones lacustres et les vallées, en période de crue, les petits ruminants sont parqués dans des enclos de fortune sur une litière faite d’herbes séchées qui se dégrade au fur et à mesure que le niveau de l’eau monte. Pour diminuer la pression de ces conditions défavorables sur l’élevage des petits ruminants dans les zones inondées et les vallées, un type d’habitat adapté a été conçu. Il permet d’éviter les cas de noyage, de maladies, de réduire les difficultés d’alimentation et de rentabiliser au mieux l’affouragement des animaux pour des gains de poids appréciables






Perspectives :

 

Promouvoir cette technologie dans les zones pour réduire la mortalité des petits ruminants due à l’absence d’habitat

 

Structure de mise au point et adresse : CRA-A/INRAB
Auteurs : Isidore TOSSA GBEGO
Année de génération : 2000
Sources de financement : PADSA/DANIDA
Zone d’application de la technologie : Zones lacustres et vallées au Bénin
Bénéficiaires : éleveurs de petits ruminants dans les zones lacustres et vallées
Avantages potentiels de l’adoption : amélioration de l’alimentation des animaux et réduction de taux de mortalité
Contraintes potentielles à l’adoption : contraintes financières
Rendement de la technologie : 0 % de taux de mortalité
Rentabilité : 3987 FCFA/animal
Coût estimatif de l’investissement initial : 15 065 FCFA pour 5 chèvres
Coût d’utilisation : 23 450 FCFA pour la construction de l’habitat
Main d’œuvre nécessaire : 3,5 HJ

rélever ¼ d’engrais super triple + ¼ de sel de cuisine + ¼ de chaux éteinte + ¼ de ciment






Perspectives :

 

Mettre l’accent sur la vulgarisation et l’adoption par les éleveurs de la technologie véhiculée par la présente fiche technique

Créer un centre de la fabrication de la pierre à lécher à base des produits locaux

Structure de mise au point et adresse : CRA-A/INRAB
Auteurs : OLAAFA M. ; M. EHOUINSOU ; B. ABOH
Année de génération : 2010
Sources de financement : PIP/APRA
Zone d’application de la technologie : territoire national du Bénin
Bénéficiaires : éleveurs de gros bétails et de petits ruminants
Avantages potentiels de l’adoption : disponibilité de la matière première, amélioration de l'alimentation des ruminants, réduction de coût de production.
Contraintes potentielles à l’adoption : faible taux de fabrication de la pierre à lécher qui peut entrainer de rupture de stock
Rendement de la technologie : ..
Rentabilité : ..
Coût estimatif de l’investissement initial : ...
Coût d’utilisation : ...
Main d’œuvre nécessaire : ...

La technique d'installation de fourrages est décrite ainsi que la méthode d'incorporation à l'alimentation des bœufs de trait






Perspectives :

 

Promouvoir la culture attelée par cette technique

Structure de mise au point et adresse : CRA-A/INRAB
Auteurs : Clotaire ADOUN
Année de génération : 2000
Sources de financement : PIP/APRA
Zone d’application de la technologie : Borgou, Atacora, Donga, Alibori
Bénéficiaires : agro-éleveurs
Avantages potentiels de l’adoption : disponibilité de fourrages, réduction de coût de production
Contraintes potentielles à l’adoption : néant
Rendement de la technologie : 19,75 l/jour de lait produit
Rentabilité : ...
Coût estimatif de l’investissement initial : ...
Coût d’utilisation : ...
Main d’œuvre nécessaire : ...

La technique d'installation de fourrages est décrite ainsi que la méthode d'incorporation à l'alimentation des bœufs de trait






Perspectives :

 

Sédentariser progressivement l’élevage bovin par l’installation des champs fourragers

 

Structure de mise au point et adresse : CRA-A/INRAB
Auteurs : INRAB
Année de génération : 2000
Sources de financement : INRAB
Zone d’application de la technologie : Borgou, Atacora, Donga, Alibori, Collines
Bénéficiaires : agro éleveurs
Avantages potentiels de l’adoption : disponibilité de fourrages, Réduction de coût de production
Contraintes potentielles à l’adoption : non disponibilité d’aire d’installation et insuffisance de pluviométrie
Rendement de la technologie : ...
Rentabilité : ...
Coût estimatif de l’investissement initial : ..
Coût d’utilisation : ...
Main d’œuvre nécessaire : ...

4 lots de race lagunaire et Borgou ont été constitués et testés pour l'attelage






Perspectives :

 

Vulgariser la technologie pour la promotion de la culture attelée

Structure de mise au point et adresse : CRA-A/INRAB
Auteurs : Clotaire ADOUN
Année de génération : 2000
Sources de financement : INRAB
Zone d’application de la technologie : Sud-Bénin, Nord-Bénin
Bénéficiaires : agro éleveurs
Avantages potentiels de l’adoption : amélioration de la productivité des bœufs de trait
Contraintes potentielles à l’adoption : difficulté d’alimentation des bœufs Non disponibilité d’animaux de trait dans certaines régions
Rendement de la technologie : 214 g de GMQ sur 2 mois
Rentabilité : ..
Coût estimatif de l’investissement initial : ...
Coût d’utilisation : ...
Main d’œuvre nécessaire : 1,5 HJ

Toute la description est faite sur les méthodes de conduite d'un élevage d'aulacode






Perspectives :

 

Renforcer les capacités de maîtrise de la technique de production par les éleveurs

Faciliter l’accès aux crédits pour la construction des

 

Structure de mise au point et adresse : LRZVH/CRA-A/INRAB
Auteurs : Apollinaire G. MENSAH
Année de génération : 1998
Sources de financement : Projet de Promotion de l’Elevage des Aulacodes (PPEAu).
Zone d’application de la technologie : territoire national du Bénin
Bénéficiaires : agro-éleveurs
Avantages potentiels de l’adoption : ...
Contraintes potentielles à l’adoption : difficulté d’alimentation des animaux, de commercialisation, manque de main-d’œuvre, coûts élevés de construction des aulacoderies et faible maîtrise des techniques d’élevage.
Rendement de la technologie : 3 % de taux de mortalité/an
Rentabilité : 5.430,4 FCFA
Coût estimatif de l’investissement initial : 2.863 à 5.046 FCFA/Tête jusqu’à la cession
Coût d’utilisation : 800 FCFA/animal
Main d’œuvre nécessaire : 0,1HJ

10 granulés à base de 70 % de fourrage verts, 28 % d'ingrédients alimentaires concentrés et 2 % de minéraux sont séchés au feu 20-35 mn et 72 heures au soleil.






Perspectives :

 

Mettre au point une extrudeuse pour passer du mode artisanal au mode industriel de fabrication des granulés aulacode.

Structure de mise au point et adresse : CRA-A/INRAB
Auteurs : Apollinaire G. MENSAH
Année de génération : 2001
Sources de financement : Projet de Promotion de l’Elevage des Aulacodes (PPEAu).
Zone d’application de la technologie : toutes les communes du Bénin
Bénéficiaires : éleveurs d’aulacodes
Avantages potentiels de l’adoption : permet de diminuer la corvée quotidienne de cueillette de fourrages, de réduire considérablement le temps de nettoyage des aulacodères (enclos et des cages d’élevage) et d’extérioriser les performances zootechniques de l’aulacode d’élevage.
Contraintes potentielles à l’adoption : néant
Rendement de la technologie : 61,1 % de taux de rendement en granulés et 4,79 à 11,2 g de GMQ des aulacodes
Rentabilité : 5.430,4 FCFA
Coût estimatif de l’investissement initial : 2.863 à 5.046 FCFA/Tête jusqu’à la cession
Coût d’utilisation : 90 FCFA /kg de granulé
Main d’œuvre nécessaire : 0,1HJ

La transformation des ananas fruits dégage d’importantes quantités d’épluchures qui ne sont pas jusque-là recyclées et par conséquent constituent une source de pollution pour l’environnement. Ces sous-produits ont été valorisés dans l’alimentation des lapins. Les formules alimentaires sont disponibles.






Perspectives :

 

Poursuivre les expérimentations pour déterminer la composition de la ration alimentaire qui permet d’équilibrer le niveau MAT avec des sous-produits riches en protéine

Conduire les études socio-économiques et élaborer le Référentiel Technico-Economique

Structure de mise au point et adresse : CRA-A/INRAB
Auteurs : André B. ABOH
Année de génération : 2004
Sources de financement : INRAB
Zone d’application de la technologie : Sud du Bénin
Bénéficiaires : éleveurs de lapin
Avantages potentiels de l’adoption : disponibilité de l’ingrédient, amélioration de l'alimentation des lapins et réduction de coût de production
Contraintes potentielles à l’adoption : néant
Rendement de la technologie : 13 à16 g/j de GMQ
Rentabilité : ..
Coût estimatif de l’investissement initial : ...
Coût d’utilisation : ...
Main d’œuvre nécessaire : ...

Conclusion

Ce recueil fait l’état des lieux des innovations technologiques "prometteuses" transférables à la vulgarisation et qui sont générées par le Système National de Recherches Agricoles du Bénin (SNRA) de 1996 à 2015. Il contient 209 innovations technologiques décrites brièvement pour permettre aux acteurs étatiques et non étatiques, aux Partenaires Techniques et Financiers, aux utilisateurs potentiels d’être informés des acquis de recherche disponibles dont ils peuvent s’approprier pour l’amélioration de la productivité agricole au Bénin. Les trois sous-secteurs agricoles ont été abordés. La production végétale demeure le sous-secteur le plus couvert (80 %), suivi de la production animale (14 %), de la production halieutique (6 %). Dix-sept (17) filières ont été touchées par ces technologies prometteuses. Les filières : cultures maraichères, maïs, riz et viande-lait se montrent dominantes en termes de technologies prometteuses.  Cent vingt-huit (128) technologies prometteuses développées au cours des 20 dernières années ont pris en compte les filières phares du Programme d’Action du Gouvernement (PAG) « Bénin Révélé ».

Les utilisateurs potentiels des innovations technologiques présentées brièvement dans ce recueil peuvent se rapprocher de l’Institut National de Recherches Agricoles du Bénin (INRAB), coordonnateur du SNRA, pour s’approprier des fiches techniques et des Référentiels Technico-Economiques sur les technologies de leur intérêt.

Les principaux bénéficiaires de ces innovations technologiques sont les utilisateurs finaux à savoir les semenciers, les agriculteurs, les éleveurs, les pisciculteurs, les transformateurs, les exportateurs, les commerçants, les petites et moyennes entreprises agricoles et industrielles, les équipementiers ainsi que les organisations professionnelles respectives. Les spécificités féminines sont également prises en compte. Les services de vulgarisation et les ONG impliquées dans le conseil agricole sont également intéressés par le transfert de ces technologies.

Au plan macro, les décideurs politiques (Ministère de l’Agriculture, de l’Elevage et de la Pêche, Ministère du Commerce et de l’Industrie, la Chambre Nationale d’Agriculture, la Chambre du Commerce et d’Industrie du Bénin, etc.), les Partenaires Techniques et Financiers, sont des potentiels bénéficiaires de ces technologies et connaissances développées pour les prises de décision.

ADEGBOLA, P., SISSINTO, E., HESSAVI, P., OHOUKO, S., CHABI-ADJOBO, M.,Efficacité et acceptabilité des structures de stockage du maïs dans les communes de Savalou et de Boukombé au Bénin,


ADJANONHOUN, A., BANKOLE, C., AGBO, B., IGUE, K.,Actes de l’Atelier Scientifique National 4,


ADJANONHOUN, A., BANKOLE, HODONOU, H., IGUE, K, AGBO, B., GANGLO, J., SAGBOHAN, J., MATTHESS, A.,Actes de l’Atelier Scientifique 5,


ADJANONHOUN, A., IGUE, K.,Actes de l’Atelier Scientifique 6,


AKOUEHOU, S. G., AZOKPOTA, P., ASSOGBADJO, A.,2015,Procédés de transformation artisanale des fruits et graines du baobab (Adansonia digitata) au Bénin. Fiche technique,...,Dépôt légal N° 8221 du 30/10/2015. Bibliothèque Nationale du Bénin, 4ème Trimestre. ISBN 978 – 99919 – 0 – 810 – 6 CEDEAO-UEMOA-CILSS,


CEDEAO-UEMOA-CILSS,Catalogue Régional des Espèces et Variétés Végétales CEDEAO-UEMOA-CILSS,http://www.insah.org/doc/pdf/Catalogue_Regional_semences_vf_janv_2017.pdf consulté le 30 Mai 2017


CHIKOU, A., SODJINOU, E., d’AlMEIDA, A. F. M., MENSAH, G. A., HOUNDONOUGBO, P. K., ADJILE, A., MONGBO, R., AHOUNENOU, J., HOUSSOU, P., ADEGBOLA, P. Y.,Comment produire à coût réduit des aliments à base de verre de terre destinés à nourrir les poissons d’élevage au Bénin. Référentiel Technico-Economique,


CORNET, D., ADJE, I. T., ADIBA, C., VERNIER, P.,Production durable d’igname dans un système de culture de semis direct sur couverture végétale de Pueraria. Référentiel Technico-Economique,


DJINADOU, K. A., COULIBALY, O. N. ET ADEGBIDI, A.,Genre, Champ École Paysan et diffusion des technologies améliorées du niébé (Vigna unguiculata (L) Walp) au Bénin,


DOSSOU, R., HINVI, J., DJENONTIN, A. J., MALIKI, R.,Production de semenceaux sains pour une culture rentable de d’igname. Référentiel Technico-Economique,


FANDOHAN, P., KOUDANDE, D., HOUSSOU, P., MEGNANGLO, M.,Actes de l’Atelier Scientifique 2002,


HOUSSOU, P., AKISSOE, N., ADEGBOLA, P., DJINADOU, A. K. I., KLOTOE, A. H., DANSOU, V., HOTEGNI, A., METOHOUE, R. Z.,Projet 4- CNS/Maïs : Développement de technologies appropriées de transformation et de conditionnement pour l’amélioration de la qualité de gambari-lifin, ablo et yêkè-yêkè, TROIS produits dérivés du maïs au Bénin.,


ISRA,Catalogue officiel des espèces et des variétés cultivées au Sénégal,


KURT SCHNEIDER,Étude de faisabilité pour la promotion de technologies Post-Récolte améliorées dans deux régions du Bénin,


MAEP,Catalogue Béninois des Espèces et Variétés Végétales (CaBEV),


MALIKI, R., AMADJI, F., ADJE, I. T., AIHOU, K., TEBLEKOU, K.,Production durable d’igname dans un système de cultures avec le Gliricidia sepium et Aeschynomene histrix,


MALIKI, R., AMADJI, F., ADJE, I. T., AIHOU, K., TOUKOUROU, M.,Production durable d’igname dans un système de cultures intégrant l’Aeschynomene histrix. Référentiel Technico-Economique,


MALIKI, R., AMADJI, F., ADJE, I. T., AIHOU, K., TOUKOUROU, M.,Production durable d’igname dans un système de cultures intégrant l’Aeschynomene histrix. Référentiel Technico-Economique,


MALIKI, R., F. AMADJI., , I. T. ADJE., K. AIHOU., , M. TOUKOUROU.,Production durable d’igname dans un système de cultures intégrant le Mucuna pruriens.,


MOUTAHAROU A ; J. A. DJENONTIN., WENNINK. B.,Utilisation du fumier produit dans les parcs de stabulation pour améliorer le rendement des exploitations agricoles au Nord Bénin.,


JEAN-YVES JAMIN, L. SEINY BOUKAR, CHRISTIAN FLORET,Cirad - Prasac,


MALIKI, R,Gestion de la fertilité des sols pour une meilleure productivité dans les systèmes de culture à base d’igname au Bénin. Thèse de doctorat en sciences agronomiques,